L’Ange gardien : Il me conduit vers le Ciel !

« Notre bon ange nous prend par la main,
dès notre entrée dans la vie…
pour ne plus nous quitter tant que dure notre course mortelle ! »
Sainte Gemma Galgani

L’Ange gardien est toujours près de moi car il est « le signe invisible » de la tendresse de Dieu ! Il n’en est pas moins « réel » au cœur de notre foi et il est donc urgent de le découvrir. Pour cela, confions-nous chaque jour à son inspiration divine et à sa protection efficace… « car dans les combats que nous menons pour rester forts contre les puissances mauvaises, les Anges nous assistent… En effet, si des Anges gardiens ne lui avaient été donnés, notre faiblesse ne pourrait résister aux attaques nombreuses… Elle avait besoin pour cela de l’aide d’une nature supérieure. Nous savons qu’il en est ainsi par les paroles avec lesquelles le Seigneur fortifia Moïse tremblant et craintif : « Mon Ange marchera devant toi ! [1] !» (Ex 23,20-23).
Saint Bernard en avait aussi une « vive conscience » et il nous invite à « découvrir » ce mystère de présence offert à chaque instant par le Très-Haut :

« Votre bon Ange est toujours près de vous ; non seulement il est avec vous, mais il est là pour vous car il cherche à vous protéger et à vous être utile…
Avec un Ange près de vous, que pourriez-vous craindre ? Votre Ange ne peut se laisser vaincre ni tromper, il est fidèle, il est prudent, il est puissant : pourquoi donc avoir peur ?
Si quelqu’un avait le bonheur de voir tomber le voile qui couvre ses yeux, il verrait avec quelle attention, avec quelle sollicitude les Anges se tiennent au milieu de ceux qui prient, au-dedans de ceux qui méditent, sur le lit de ceux qui se reposent[2]… »

Cette présence constante de l’Ange gardien dans ma vie est à vivre dans le « mystère de la foi ». Il ne faut jamais oublier cette parole ultime de Jésus à l’Apôtre Thomas qui avait exigé de « voir et toucher » les plaies sur son Corps ressuscité (Jn 20,24-27) : « Parce que tu me vois, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu ! » (Jn 20,29). Cette béatitude de la foi est notre force et notre joie dans la relation la plus intime possible avec notre Ange gardien.
On ne le dira jamais assez : si la première mission de notre Ange gardien est de « veiller sur nous » durant notre traversée terrestre avec ses tentations, ses épreuves et ses dangers… son ultime mission est de nous protéger du Mal sur la fin de notre vie. Demandons-lui souvent la grâce de « la persévérance finale » pour désirer plus que tout « la place mystérieuse » que Jésus nous a préparé au Ciel… (Jn 14,1-6).
Il nous faut donc développer cette « belle habitude » de proximité avec notre Ange gardien que Saint Padre Pio recommandait magnifiquement à Raffaelina, une de ses filles spirituelles :

« O Raffaelina, comme il est consolant de savoir que nous sommes toujours sous la garde d’un ange céleste qui ne nous abandonne même pas (chose admirable !…) dans l’action par laquelle nous déplaisons à Dieu… Prenez la belle habitude de toujours penser à lui… car, à côté de nous, il y a un esprit céleste qui, du berceau à la tombe, ne nous quitte pas un instant, qui nous guide, qui nous protège comme un ami, comme un frère, qui doit aussi nous consoler toujours, spécialement dans les heures les plus tristes…
O Raffaelina, que ce bon ange prie pour vous : il offre à Dieu toutes les bonnes œuvres que vous faites… Dans les heures où il vous semble être seule et abandonnée… n’oubliez pas cet invisible Compagnon, toujours présent pour vous écouter, toujours prêt à vous consoler. O délicieuse intimité ! O heureuse compagnie [3]… »

Ce texte admirable en dit long sur cette relation à développer avec notre Ange gardien. Et après ce que nous avons essayé de méditer pour mieux découvrir ce compagnon si présent au cœur de notre vie… Comment ne pas voir que notre petit Ange gardien est un don continuel de l’infinie Miséricorde de Dieu ? En effet, devant ma faiblesse et mon péché, devant mon inconstance et mes trahisons, devant mes lâchetés et mes échecs : il ne s’éloigne pas, il est toujours là à me vouloir du bien et à m’offrir son aide pour retrouver les rivages de la grâce ! Envoyé par l’amour du Père, du Fils et du Saint-Esprit, l’Ange gardien est un don et un signe admirable de cette tendresse de Dieu qui fait « tout » pour me protéger et me sauver de la haine de Satan : il est en quelque sorte ce sourire de Dieu qui veille sur moi en me ramenant toujours dans les bras de la Reine des Anges !
En conclusion, je vous invite urgemment à faire aujourd’hui et régulièrement votre « consécration à votre Ange gardien » avec cette très belle prière qui suit :

Consécration à l’Ange gardien

Saint Ange gardien,
Toi que Dieu m’a donné pour être mon Protecteur
et mon Guide dés le début de mon existence…
En présence de Dieu, mon Seigneur et mon Maître,
de Marie, ma céleste Mère,
de Saint Michel Archange, mon Protecteur,
de tous les Anges et de tous les Saints…

Moi, (se nommer… ), pauvre pécheur,
je me consacre à Toi aujourd’hui…
Je te supplie de me prendre par la main
et de ne plus me lâcher !
Par cette main devenue la tienne :
Je promets fidélité et obéissance constantes
à Dieu et à la Sainte Eglise…

Je promets de toujours vénérer Marie
comme ma Souveraine, ma Reine et ma Mère
et d’imiter sa vie !…

Je promets de toujours te vénérer,
Toi, mon saint Protecteur,
et de propager, selon mes moyens, la dévotion aux Saints Anges…
afin d’obtenir les secours de ta Protection
spécialement promis en ces temps-ci…

Obtiens-moi, Saint Ange de Dieu,
qu’une Foi à toute épreuve me garde de tout faux pas…
et que l’Amour parfait me consume !…

Par ta main puissante, écarte de moi les assauts de l’Enfer !
Je te demande par l’humilité de Marie,
de me libérer de tous les dangers
afin que , sous ta Protection,
je parvienne aux portes de la Cité céleste !
Amen !

                                                                                                                                                                                                                                           +M-Mickaël

 

[1] Saint Hilaire, Tract. Psalm. 134 ; P.L. IX, 761.

[2] Ange de l’Eglise, Editions bénédictines, 1999.

[3] Lettre du 20 avril 1915, adressée à Raffaelina Cerase.




Marie déclara à Sainte Faustine : « tu dois parler au monde de Sa miséricorde »

Sœur Faustine Kowalska (1) rapporte dans son Journal une vingtaine d’apparitions de la Vierge, en plus d’une trentaine de visions du Christ, d’anges et de défunts.

Ainsi le 25 mars 1936 :

« Soudain je vis la Mère de Dieu qui me dit : « J’ai donné au monde le Sauveur. Et toi, tu dois parler au monde de Sa miséricorde et préparer le monde à la seconde venue de Celui qui viendra, non comme Sauveur Miséricordieux, mais comme Juste Juge (…). N’aie peur de rien, sois fidèle jusqu’à la fin. » » (Journal, 295).

Ou quelques mois plus tard :

« Je la vis si belle que les mots me manquent pour décrire cette beauté, même en partie. Elle était toute blanche, ceinte d’une écharpe bleue, le manteau bleu aussi, une couronne sur la tête. De toute sa personne rayonnait une lumière inconcevable.

« Je suis la Reine du Ciel et de la Terre, mais surtout votre Mère. »

Elle me serra contre son Cœur et dit : « J’ai compassion de toi« . » (Journal, 295).

 

Extraits par F. Breynaert

Encyclopédie Mariale

Sœur Faustine Kowalska, Polonaise, a été canonisée par le pape saint Jean Paul II le 30 avril 2000.




Le secret admirable du Très Saint Rosaire (15) – la prière du Pater – St Louis-Marie Grignion de Montfort

I2e ROSE

[36] Le Pater, ou l’Oraison dominicale, tire sa première excellence de son auteur, qui n’est pas un homme ou un ange, mais le Roi des anges et des hommes, Jésus-Christ. «Il était nécessaire, dit saint Cyprien[1], que Celui gui venait nous donner la vie de la grâce comme Sauveur, nous enseignât la manière de prier comme Maître céleste ». La sagesse de ce divin Maître paraît bien dans l’ordre, la douceur, la force et la clarté de cette divine prière ; elle est courte, mais elle est riche en instruction, intelligible pour les simples et remplie de mystères pour les savants.

Le Pater renferme tous les devoirs que nous devons rendre à Dieu, les actes de toutes les vertus et les demandes de tous nos besoins spirituels et corporels. Elle contient, dit Tertullien[2], l’abrégé de l’ Évangile. Elle surpasse, dit Thomas à Kempis[3], tous les désirs des saints, elle contient en abrégé toutes les douces sentences des psaumes et des cantiques ; elle demande tout ce gui nous est nécessaire ; elle loue Dieu d’une excellente manière ; elle élève l’âme de la terre au ciel et l’unit étroitement avec Dieu.

[37] Saint Chrysostome[4] dit que celui qui ne prie pas comme le divin Maître a prié et enseigné à prier, n’est pas son disciple, et Dieu le Père n’écoute pas agréablement les prières que l’esprit humain a formées, mais bien celles de son Fils, qu’il nous a enseignées.

Nous devons réciter l’Oraison dominicale avec certitude que le Père éternel l’exaucera, puisqu’elle est la prière de son Fils, qu’il exauce toujours, et que nous sommes ses membres ; car que peut refuser un si bon Père à une requête si bien conçue et appuyée sur les mérites et la recommandation d’un si digne Fils ?

Saint Augustin[5]  assure que le Pater bien récité efface les Péchés véniels. Le juste tombe sept fois. L’Oraison dominicale contient sept demandes par lesquelles il peut remédier à ses chutes et se fortifier contre ses ennemis. Elle est courte et facile, afin que, comme nous sommes fragiles et sujets à plusieurs misères, nous recevions un plus prompt secours en la récitant plus souvent et plus dévotement.

[38] Désabusez-vous donc, âmes dévotes qui négligez l’Oraison que le propre Fils de Dieu a composée et qu’il a ordonnée à tous les fidèles ; vous qui n’avez d’estime que pour les prières que les hommes ont composées, comme si l’homme, même le plus éclairé, savait mieux que Jésus-Christ comment nous devons prier. Vous cherchez dans les livres des hommes la façon de louer et de prier Dieu, comme si vous aviez honte de vous servir de celle que son Fils nous a prescrite. Vous vous persuadez que les oraisons qui sont dans des livres sont pour les savants et pour les riches, et que le Rosaire n’est que pour les femmes, pour les enfants et pour le peuple, comme si les louanges et les prières que vous lisez étaient plus belles et plus agréables à Dieu que celles qui sont contenues dans l’oraison dominicale. C’est une dangereuse tentation que de se dégoûter de l’Oraison que Jésus-Christ nous a recommandée, pour prendre les oraisons que les hommes ont composées. Ce n’est pas que nous désapprouvions celles que les saints ont composées pour exciter les fidèles à louer Dieu, mais nous ne pouvons souffrir qu’ils les préfèrent à l’Oraison qui est sortie de la bouche de la Sagesse incarnée, et qu’ils laissent la source pour courir après les ruisseaux, et qu’ils dédaignent l’eau claire pour boire l’eau trouble. Car enfin le Rosaire, composé de l’Oraison dominicale et de la Salutation angélique, est cette eau claire et perpétuelle qui coule de la source de la grâce, tandis que les autres oraisons qu’ils cherchent dans des livres ne sont que de bien petits ruisseaux qui en dérivent.

[39] Nous pouvons appeler heureux celui qui, en récitant l’Oraison du Seigneur, en pèse attentivement chaque parole ; là il trouve tout ce dont il a besoin, tout ce qu’il peut désirer.

Quand nous récitons cette admirable prière, tout d’abord nous captivons le cœur de Dieu en l’invoquant par le doux nom de Père.

« Notre Père», le Plus tendre de tous les pères, tout-puissant dans la création, tout admirable dans sa conservation, tout aimable dans la Providence, tout bon et infiniment bon dans la Rédemption . Dieu est notre Père, nous sommes tous frères, le ciel est notre patrie et notre héritage. N’y a-t-il pas là de quoi nous inspirer à la fois l’amour de Dieu, l’amour du prochain et le détachement de toutes les choses de la terre ? Aimons donc un tel Père et disons-lui mille et mille fois : «Notre Père qui êtes aux cieux ». Vous qui remplissez le ciel et la terre par l’immensité de votre essence, qui êtes présent partout ; vous qui êtes dans les saints par votre gloire, dans les damnés par votre justice, dans les justes par votre grâce, dans les pécheurs par votre patience qui les souffre, faites que nous nous souvenions toujours de notre céleste origine, que nous vivions comme vos véritables enfants ; que nous tendions toujours vers vous seul par toute l’ardeur de nos désirs.

«  Que votre nom soit sanctifié. » Le nom du Seigneur est saint et redoutable, dit le prophète-roi, et le ciel, suivant Isaïe, retentit des louanges que les séraphins ne cessent de donner à la sainteté du Seigneur, Dieu des armées. Nous demandons ici que toute la terre connaisse et adore les attributs de ce Dieu si grand et si saint ; qu’il soit connu, aimé et adoré des païens, des Turcs, des Juifs, des Barbares et de tous les infidèles ; que tous les hommes le servent et le glorifient par une foi vive, une espérance ferme, par une charité ardente, et par le renoncement à toutes les erreurs : en un mot, que tous les hommes soient saints parce qu’il est saint lui-même.

« Que votre règne arrive. » C’est-à-dire que vous régniez dans nos âmes par votre grâce, durant la vie, afin que nous méritions, après notre mort, de régner avec vous dans votre royaume, qui est la souveraine et éternelle félicité, que nous croyons, que nous espérons et que nous attendons, cette félicité qui nous est promise par la bonté du Père, qui nous est acquise par les mérites du Fils et qui nous est révélée par les lumières du Saint-Esprit.

« Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Sans doute, rien ne peut se dérober aux dispositions de la Providence divine qui a tout prévu, tout arrangé avant l’événement ; nul obstacle ne l’écarte de la fin qu’elle s’est proposée, et quand nous demandons à Dieu que sa volonté soit faite, ce n’est pas que nous craignions, dit Tertullien, que quelqu’un s’oppose efficacement à l’exécution de ses desseins, mais que nous acquiescions humblement à tout ce qu’il lui a plû d’ordonner à notre égard ; que nous accomplissions toujours et en toutes choses sa très sainte volonté, qui nous est connue par ses commandements, avec autant de promptitude, d’amour et de constance, que les anges et les bienheureux lui obéissent dans le ciel.

[40] « Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour. » Jésus-Christ nous enseigne à demander à Dieu tout ce qui est nécessaire à la vie du corps et à la vie de l’âme. Par ces paroles de l’Oraison dominicale, nous faisons l’humble aveu de notre misère et nous rendons hommage à la Providence, en déclarant que nous croyons, que nous voulons tenir de sa bonté tous les biens temporels. Sous le nom de pain nous demandons ce qui est simplement nécessaire à la vie, le superflu n’y est point compris. Ce pain, nous le demandons aujourd’hui, c’est-à-dire que nous bornons au jour présent toutes nos sollicitudes, nous reposant sur la Providence pour le lendemain. Nous demandons le pain de chaque jour, avouant ainsi nos besoins toujours renaissants et montrant la continuelle dépendance où nous sommes de la protection et du secours de Dieu.

« Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » Nos péchés, disent saint Augustin et Tertullien, sont autant de dettes que nous contractons envers Dieu, et sa justice en exige le paiement jusqu’à la dernière obole. Or nous avons tous ces tristes dettes. Malgré le nombre de nos iniquités, approchons-nous donc de lui avec confiance et disons-lui avec un vrai repentir : Notre Père qui êtes aux cieux, pardonnez-nous les péchés de notre cœur et de notre bouche, les péchés d’action et d’omission qui nous rendent infiniment coupables aux yeux de votre justice, parce qu’en qualité d’enfants d’un père clément et miséricordieux, nous pardonnons par obéissance et par charité à ceux qui nous ont offensés.

Et « ne permettez pas » à cause de notre infidélité à vos grâces, « que nous succombions aux tentations» du monde, du démon et de la chair. Mais «délivrez-nous du mal », qui est le péché, du mal de la peine temporelle et de la peine éternelle, que nous avons méritées.

«Ainsi soit-il. » Parole d’une grande consolation, qui est, dit saint Jérôme, comme le sceau que Dieu met à la fin de nos requêtes pour nous assurer qu’il nous a exaucés, comme si lui-même nous répondait :

Amen !!! Qu’il soit fait comme vous le demandez, vous l’avez obtenu en vérité, car c’est ce que signifie ce mot : Amen.

 

 

[1] S. Cyprianus, De Oratione Dominica, n°1-2, PL4, 537.

[2] Tertullianus, Liber de Oratione « Evangelii Breviarum », C. I, PL 1, 1255.

[3] Thomas A Kempis, Encheridium Monachorum, c. 3

[4] S. Joannes Chrysostomus, Homelia XIX in Mattheum, c.6, PG 57, 278-279.

[5] S. AUGUSTINUS, Sermo 182 De Temf>ore. (Ou mieux: De Civitate. Dei, L. 2X, c. 27, PL 4X, 748 ou: Enchiridion ad Laurentium sive de Fide, Spe et Caritate, c.. 71, PL 40, 265.)

 

Pour lire l’introduction et consulter le plan de l’ouvrage de Grignion de Montfort, cliquer ici.




L’Ange Gardien : mon Ami toujours avec moi !

« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits…

 Car leurs Anges dans les cieux voient sans cesse

la face de mon Père qui est dans les Cieux ! »

Matthieu 18,10

 

 

Notre ange gardien ?… Une réalité de foi absolument unique et bouleversante ! Imaginez-vous un peu : Je le reçois de Dieu à ma naissance et il veille sur moi 24h sur 24… jusqu’au moment « décisif » où je quitterai pour toujours cette terre ! Cela veut dire que durant toute ma vie, il va me protéger de tant de dangers et m’aider chaque instant à me tourner vers mon Créateur et Sauveur !  Durant toute mon existence : il est mon « gardien de la Présence divine ! »

Que je me lève ou que je me couche, que je me repose ou que je travaille, que je marche ou que je sois assis, que je sois seul ou avec des amis, que je sois dans la joie ou dans les larmes, que je sois en paix ou en danger… Il est là, il me regarde, il veille sur moi et m’inspire ce qui est le plus vrai, ce qui est le plus beau ! Et cela : dans la lumière du Très-Haut qu’il voit et adore éternellement tout en veillant sur moi ! N’ayons pas peur des mots : c’est un véritable miracle de la tendresse de Dieu qui m’est offert 24h sur 24 !… Et le monde ne m’en parlera jamais !  Et l’Eglise actuelle l’oublie ou l’annonce si peu… Alors qu’en ces derniers temps où culminent les épreuves, nous avons tant besoin de la Force d’en Haut ! Découvrons donc cet immense cadeau que Dieu nous fait à travers notre Ange gardien… N’est-ce-pas un signe permanent de sa tendresse ?

La présence en nos vies des Anges et de notre ange gardien est d’abord une vérité de la foi catholique. Le Catéchisme l’enseigne clairement :

« Toute la vie de l’Eglise bénéficie de l’aide mystérieuse et puissante des Anges[1]… et dans sa liturgie, l’Eglise se joint aux anges pour adorer le Dieu trois fois saint… elle fête plus particulièrement la mémoire de certains Anges : Saint Michel, Saint Gabriel, Saint Raphaël[2] et les anges gardiens[3] ».

Le catéchisme[4] précise enfin magnifiquement sur l’Ange gardien :

« Du début de l’existence (Mt 18,10) au trépas (Lc 16,22), la vie humaine est entourée de leur garde (Ps 91,10-13) et de leur intercession (Jb 33,23-24) : « Chaque fidèle a à ses côtés un ange comme protecteur et pasteur pour le conduire à la vie[5] ! »

Aujourd’hui, alors que l’Eglise est trop souvent « muette » sur la présence des anges… on trouve sur le net et dans nombres de livres toute une approche ésotérique de « soi-disant anges » qui porteraient chance et bonheur en nos vies ! De fait, c’est une énorme entreprise de récupération : on vous classifie par le signe astrologique ou la date de naissance comme pour certifier que vous êtes l’élu d’une entité mystérieuse… alors qu’en réalité, ces faux pasteurs vous font plutôt « flirter » avec les anges rebelles !

La vérité, c’est que notre « ange gardien » est un cadeau immense envoyé par Dieu, lui-même, et qu’il est un signe de son infinie tendresse au quotidien. Saint Jean de la Croix nous le confirme avec force :

« Les Anges sont nos pasteurs ; non seulement ils portent à Dieu nos messages, mais ils nous apportent aussi ceux de Dieu. Ils nourrissent nos âmes de leurs douces inspirations et des communications divines ; en bons pasteurs ils nous protègent et nous défendent contre les loups, c’est-à-dire contre les démons[6] ! »

Je conclurai cette première partie en proposant une courte prière quotidienne à notre Ange gardien :

« Ange de Dieu, Toi mon gardien…

Veille sur moi, aujourd’hui :

Le jour, la nuit, le soir et le matin…

A tout instant, sois mon soutien !

Protège-moi des embûches de l’Ennemi,

et guide-moi vers la joie de la Patrie céleste… »

 

+M-Mickaël

 

[1] Catéchisme de l’Eglise catholique 334.

[2] Le 29 septembre.

[3] Le 2 octobre.

[4] Catéchisme de l’Eglise catholique 336.

[5] Saint Basile, Eun. 3,1.

[6] Saint Jean de la Croix, Avis 220.




Le secret admirable du Très Saint Rosaire. (14)- La prière du Credo – Saint Louis Marie Grignion de Montfort.

DEUXIÈME DIZAINE

L’excellence du saint Rosaire dans

les prières dont il est composé.

 

11e ROSE

[34] Le Credo ou le Symbole des Apôtres qu’on récite sur la croix du Rosaire ou du chapelet, étant un sacré raccourci et abrégé des vérités chrétiennes, est une prière d’un grand mérite, parce que la foi est la base, le fondement et le commencement de toutes les vertus chrétiennes, de toutes les vertus éternelles et de toutes les prières que Dieu a [pour] agréables. Accedentem ad Deum credere oportet (He 11, 6). Il faut que celui qui s’approche de Dieu par la prière commence par croire, et plus il aura de foi, et plus sa prière aura de force et de mérite en elle-même et rendra de gloire à Dieu.

Je ne m’arrêterai pas à expliquer les paroles du Symbole des Apôtres ; mais je ne puis m’empêcher de déclarer que ces trois premières paroles : Credo in Deum : « Je crois en Dieu », renfermant les actes des trois vertus théologales : la foi, l’espérance et la charité, ont une efficace merveilleuse pour sanctifier l’âme et terrasser le démon. C’est avec ces paroles que plusieurs saints ont vaincu les tentations, particulièrement celles qui sont contre la foi, l’espérance ou la charité, soit pendant la vie, soit à l’heure de la mort. Ce furent les dernières paroles que saint Pierre le martyr écrivit le mieux qu’il put avec le doigt sur le sable, lorsque ayant la tête fendue en deux par un coup de sabre qu’un hérétique lui donna, il était près d’expirer.

[35] Comme la foi est la seule clef qui nous fait entrer dans tous les mystères de Jésus et de Marie renfermés au saint Rosaire, il faut le commencer en récitant le Credo avec une grande attention et dévotion, et plus notre foi sera vive et forte, et plus le Rosaire sera méritoire. Il faut que cette foi soit vive et animée par la charité, c’est-à-dire que pour bien réciter le saint Rosaire, il faut être en grâce de Dieu ou dans la recherche de cette grâce ; il faut que la foi soit forte et constante, c’est-à-dire qu’il ne faut pas chercher dans la pratique du saint Rosaire seulement son goût sensible et sa consolation spirituelle, c’est-à-dire qu’il ne faut pas l’abandonner parce qu’on a une foule de distractions involontaires dans l’esprit, un dégoût étrange dans l’âme, un ennui accablant et un assoupissement presque continuel dans le corps ; il n’est pas besoin de goût ni de consolation, ni de soupirs, ni d’élans, ni de larmes, ni d’application continuelle de l’imagination, pour bien réciter son Rosaire. La foi pure et la bonne intention suffisent. Sola fides sufficit[1].

[1] Hymne Pange Lingua

 

Pour lire l’introduction et consulter le plan de l’ouvrage de Grignion de Montfort, cliquer ici.




La spiritualité de Bernadette en quelques mots

Article de l’encyclopédie mariale du site Marie de Nazareth.

Si les débuts de la vocation de Bernadette sont bien ceux d’une « voie extraordinaire », toute sa vie, depuis la fin des apparitions et son entrée en religion, est celle d’une « voie ordinaire ».

***

N’ayant pas la moindre propension à l’introspection, Bernadette ne s’analyse jamais et se confie à peine. Pourtant, dans son petit carnet intime on retrouve des notes, telle celle-ci à la Vierge Marie :

« Ô ma Mère, prenez mon cœur et enfoncez-le dans le cœur de mon Jésus »,

ou cette affirmation ardente :

« Jésus, mon Dieu, je vous aime par-dessus toutes choses »,

qui en disent beaucoup sur ce véritable tempérament mystique qui s’ignore.

Elle écrit encore dans son carnet : « L’important n’est pas de faire beaucoup, mais de bien faire ». Tous ses actes en seront le témoignage. Trente ans avant Thérèse de l’Enfant Jésus, cette pratique de l’amour dans les occupations les plus quotidiennes, si elle est depuis toujours recommandée à la vie chrétienne, n’est pas le canon le plus reconnu de la sainteté et le comportement de Bernadette a souvent dérouté ceux qui la rencontraient, parfois même jusqu’à ses supérieures.

Pour l’une d’elles qui, agacée par sa simplicité un peu fruste, son absence de mysticisme, son espièglerie peu dévote, refuse de croire que la Mère de Dieu ait pu la choisir et lui demande une preuve, elle soulève un pan de sa robe, révélant la plaie de son genou [tuberculose malgré laquelle elle travaille] et répond : « Ceci, peut-être ». Son interlocutrice en sera bouleversée.

L’année 1879, la dernière de sa vie terrestre, sera très dure. À la souffrance physique s’ajoute celle de la nuit de la foi. Comme quelques années plus tard la carmélite de Lisieux, Bernadette va connaître les affres du doute intérieur. De cette épreuve d’amour pur, elle triomphera avec toute la force de sa volonté tendue dans une foi aveugle, s’enfermant dans le sein de Marie, se reposant coûte que coûte sur le cœur de Jésus, demandant sa grâce pour rester fidèle.




Messages reçus par Luz de Maria du 14 mars au 15 avril 2024

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
11 AVRIL 2024

Mes enfants bien-aimés, Je vous aime, Mes enfants, Je vous aime.

Mes bien-aimés, recevez Ma bénédiction.

MA MISÉRICORDE EST OUVERTE À VOUS TOUS.

J’ai ouvert Ma Miséricorde, venez goûter à cette source d’amour et de pardon (cf. Jn. 4, 13-14). Ma Très Sainte Mère vous guide en tant que Mère et Enseignante pour vous sortir des ténèbres dans lesquelles certains de Mes enfants ont plongé.

Mes enfants,

MA MISÉRICORDE EST INFINIE, COMME EST INFINI L’AMOUR DE NOTRE TRINITÉ.

Je vous offre Mes Mains, Je vous offre Mes Pieds, Je vous offre Mon Côté blessé…
Mon Amour vous appelle, Mes enfants, Mon Amour vous montre la nécessité de vous unir à Moi pour sauver l’âme.

AUGMENTEZ VOTRE FOI, BUVEZ DE MON AMOUR ET
NOURRISSEZ AINSI VOTRE FOI.
IL EST IMPORTANT QUE VOTRE FOI SOIT FERME ET FORTE AFIN DE POUVOIR CONTINUER À SUPPORTER CE QUE LES ÉLÉMENTS ET L’ÊTRE HUMAIN VONT APPORTER À L’HUMANITÉ.

Mes bien-aimés, les éléments continuent à fouetter toute l’humanité en guise de purification pour le genre humain. Les phénomènes naturels ne diminueront pas, mais augmenteront fortement face à la folie du genre humain.

Mes enfants, ne confondez pas le fait que Ma Miséricorde est ouverte à chacun de vous, avec l’idée que la purification de l’humanité ait été arrêtée : continuez avec le processus de conversion en étant fidèles à tout moment, sans faiblir.

L’eau des mers est dangereuse en ce moment où il y aura de grands tremblements de terre dans la mer et où des vagues de grandes dimensions pénétreront dans la terre avec force.

L’être humain est enclin à la haine et, dans son désir de vengeance, initiera directement la mise en suspens de toute l’humanité. Les armes qui ne sont pas encore connues de la grande majorité des nations et qui ont été créées en secret par une nation de l’Est, émergeront d’un moment à l’autre, frappant de leur puissance destructrice des nations qui possèdent des armes nucléaires.

Mes enfants, tout en restant étonnée par l’utilisation de l’intelligence humaine pour provoquer une grande tragédie au sein de l’humanité, chaque nation fera connaître l’abus de la technologie mal utilisée au plus haut degré.

L’histoire de cette génération est pitoyable, la dureté de son cœur est sans pareille (cf. Héb. 3, 7-9). Je vous appelle à l’amour et, au lieu de cela, on m’accable continuellement, on ne veut pas être fraternel, mais seulement faire preuve de puissance pour vaincre son frère et, s’il faut le mettre à mort, on le fera.

LE RESSENTIMENT EST UN MAUVAIS CONSEILLER : il vous aveugle, obscurcit totalement votre pensée et dans ces conditions, l’être humain est saisi par le manque d’amour et le manque de respect envers son frère, il est en proie à l’avidité et au manque de respect envers ses semblables.

Je ne vis pas chez les êtres humains au cœur de pierre, mais ils ont un léger vernis de Mes Lois, qu’ils ne respectent pas, et de Mes Commandements, auxquels ils ne vont pas obéir. Cette attitude n’est pas digne de ceux qui se disent Mes enfants.

JE VIENS AVEC MA JUSTICE QUI NE CESSE D’INCLURE MA MISÉRICORDE. AUTREMENT, VOUS MÉRITEZ UN TEL CHÂTIMENT QUE JE DEVRAIS ACCÉLÉRER TOUS LES ÉVÉNEMENTS, TOUTE LES RÉVÉLATIONS.

Priez, Mes enfants, priez : une poussière jaunâtre est l’arme mortelle possédée par une grande nation. Elle causera des morts en abondance en la répandant sur le champ de bataille.

Priez, Mes enfants, priez, la maladie se propagera, elle fera en sorte que les frontières se fermeront rapidement à nouveau.

Priez, Mes enfants, priez, le Moyen-Orient est un foyer de guerre, Mes enfants ne s’attendent pas à une telle cruauté.

Priez, Mes enfants, priez, le pays du Nord sera fortement secoué.

Priez, Mes enfants, priez, le Chili sera secoué, la Bolivie sera secouée.

Priez Mes enfants, priez, la France attirera l’attention et il y aura grande douleur.

Priez, Mes enfants, priez, Mon Eglise souffre.

Priez Mes enfants, priez, l’agriculture sera insuffisante pour Mes enfants à cause de l’action du soleil.

Mes enfants bien-aimés,

LES DATES DES ÉVÉNEMENTS SONT PLUS PROCHES QUE VOUS NE LE PENSEZ.

PRÉPAREZ VOTRE CORPS DÈS MAINTENANT, prenez des vitamines et des minéraux, renforcez votre système immunitaire, mais avec prudence.

Vous êtes aimés de Moi, c’est pourquoi Je ne permettrai pas que vous soyez confrontés à de si grands événements.

Priez le Credo lorsque vous êtes seuls.

La maladie vient à l’humanité : utilisez l’Huile du Bon Samaritain.*

MA BÉNÉDICTION VOUS INVITE À OBSERVER LES CHANGEMENTS DANS LE COMPORTEMENT HUMAIN ET DANS TOUTE L’HUMANITÉ : ILS SONT GRAVES.
VOUS ÊTES AVEC MOI ET MA PROTECTION NE VOUS ABANDONNERA PAS. AFFRONTEZ SANS CRAINTE LES CHANGEMENTS NÉCESSAIRES POUR QUE L’HOMME SOIT SAUVÉ.

Le cœur de chair, pour survivre, doit être immergé dans les eaux profondes de Mon Amour pour accomplir sa transformation, sinon il risque de tomber dans les griffes de Satan.

SOYEZ ATTENTIFS, MES ENFANTS, VOUS VOUS TROUVEZ DANS LE DÉROULEMENT DE CE QUI A ÉTÉ ANNONCÉ ; RENFORCEZ-VOUS SPIRITUELLEMENT !

Je vous bénis, Mon Amour est infini pour qui veut s’abreuver à cette Source inépuisable.

Votre Jésus

 

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
3 AVRIL 2024

Enfants bien-aimés, Je bénis toute l’humanité.

RECEVEZ MON AMOUR INFINI, MES ENFANTS.

Certains de Mes enfants, devant la confirmation des Révélations données par Ma Mère, par Mon bien-aimé Saint Michel Archange, par Moi et par certains de Mes Saints, ont décidé de commencer à modifier leur vie et d’opter pour le chemin de la conversion, en M’adorant, en me donnant la gloire et l’honneur que Je mérite. C’est la reconnaissance que J’attendais de la part des humbles de cœur.

JE VOUS APPELLE À ME RECONNAÎTRE COMME VOTRE SEIGNEUR ET VOTRE DIEU, (cf. Rom, 10, 9-10) FACE AU MÉPRIS DE TANT DE MES ENFANTS QUI NE M’AIMENT PAS ET QUI NE VEULENT RIEN SAVOIR DE MOI. C’EST POURQUOI JE VIENS DEVANT CHACUN DE VOUS COMME UN MENDIANT DE L’AMOUR POUR QUE VOUS SOYEZ SAUVÉS.

L’impiété règne dans les conflits du moment. Les nombreux foyers de conflit dans lesquels se trouve l’humanité sont révélateurs de l’extension du grand conflit de la Troisième Guerre Mondiale.

Mes enfants bien-aimés, chaque chose qui se passe au niveau mondial fait partie de l’intensification des événements, parmi lesquels les signes et signaux que Je permets d’en haut quand vous passez de la lumière à l’obscurité.

JE VOUS APPELLE AU REPENTIR ET À LA CONVERSION. Il est urgent que Mes enfants, tous Mes enfants, se convertissent et M’adorent comme leur Seigneur et leur Roi, sans oublier Ma Très Sainte Mère qui vous protège constamment.
Je viens vous appeler à vous repentir dès maintenant !
Je viens vous appeler à la prière dès maintenant !
Je viens vous appeler à rester spirituellement attentifs dès maintenant !
On croit que seuls les États-Unis se trouvent en danger par rapport à la trajectoire des ténèbres.* Ce n’est pas le cas, petits enfants, c’est une alerte pour toute l’humanité, c’est un appel à l’attention pour toute l’humanité. FAITES ATTENTION ! Chaque endroit où passe l’ombre des ténèbres a une grande signification, qui se répandra et se reproduira sur chaque continent.

PETITS ENFANTS, JE VOUS APPELLE À FAIRE PREUVE DE COMPASSION ET DE MISÉRICORDE LES UNS ENVERS LES AUTRES.

Cet événement est à la fois un signal et un signe pour vous, Mes enfants, non pas pour que vous fassiez des interprétations, mais pour que vous restiez attentifs à l’accomplissement des prophéties.

Petits enfants, pour montrer Ma Miséricorde, Je vous offre Mon Cœur pour que vous puissiez vous réfugier en Lui et, par le repentir, la prière et la réparation, empêcher les eaux des mers d’envahir certaines terres et la famine d’augmenter sur la Terre.

Petits enfants, les ténèbres conduiront la Terre au combat entre les nations et à ce qui émergera de ce combat.

Soyez fraternels, vivez dans Mon Amour pour que vous puissiez accomplir Ma Volonté ; sans amour, vous n’êtes rien. Finissez dès maintenant avec les intérêts personnels : l’envie est une très mauvaise conseillère (Prov. 14, 30 ; I Cor. 13, 4). Que le pauvre déborde d’amour, que les riches ne fassent pas étalage de leurs richesses temporelles, mais que tous prient d’une seule voix. C’est le moment où la Grâce devrait déborder en chacun de vous. Non seulement le pécheur doit se lamenter sur ses péchés, mais aussi se repentir et confesser ses péchés, retournant ainsi à une nouvelle vie.

SOYEZ CONSCIENTS, MES ENFANTS, QUE LE BUT DES ALERTES N’EST PAS QUE VOUS AYEZ PEUR, MAIS QUE VOUS PUISSIEZ VOUS RÉVEILLER ET VOUS ÉLOIGNER DU PÉCHÉ. Marchez prudemment, car l’ennemi de l’âme veut vous éloigner afin que, d’un instant à l’autre, vous deveniez les persécuteurs de ceux qui sont vos frères et sœurs (I Jn. 3, 11-12).

MA LOI EST UNE ET ELLE NE VARIE PAS !

Priez, Mes enfants, priez, la terre tremblera à un endroit et à un autre.

Priez, Mes enfants, priez, le Mexique sera fortement secoué.

Priez, Mes enfants, priez, l’humanité tournera son regard vers le pays de l’Aigle.

Priez, Mes enfants, priez pour la ville aux multiples nationalités, San Francisco sera secoué.

Priez, Mes enfants, priez pour vous-mêmes, tout le monde a besoin de prière et de conversion.

Priez, Mes enfants, priez, vous devez vous préparer spirituellement, grandir, être humbles.

Priez, Mes enfants, pour Mon Église, c’est nécessaire.

Priez, Mes enfants, priez, le Diable volera dans les hauteurs en provoquant l’étonnement.

Enfants bien-aimés de Mon Cœur,

JE BÉNIS TOUTE L’HUMANITÉ, QUE JE NE LAISSE PAS SEULE : J’ENVOIE MON ANGE DE LA PAIX, QUI VOUS ACCOMPAGNERA AVEC MA PAROLE POUR LE BIEN DE TOUS MES ENFANTS.

Mon Cœur reste ouvert et glorieux. Venez, prenez place dans Mon Cœur, car J’ai soif d’âmes. Le Cœur Immaculé de Ma Mère vous attend, Elle vous accompagne sur le chemin en tant que Mère et Enseignante des âmes.

Je vous bénis, petits enfants, Je vous aime.

Votre Jésus

(* Lors de l’éclipse solaire du 8 avril)

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
31 MARS 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur,

EN TANT QUE REINE ET MÈRE DES DERNIERS TEMPS, JE VIENS VERS VOUS AVEC LA LUMIÈRE QUE MON DIVIN FILS A FAÇONNÉE DANS SA RÉSURRECTION AFIN QUE VOUS, EN TANT QUE SES ENFANTS, SOYEZ LE SEL DE LA TERRE ET LA LUMIÈRE QUI ÉCLAIRE LE MONDE. (cf. Mt. 5, 13-14)

Les peurs sont terminées, la foi surmonte les épreuves, elle surmonte les peurs et les appréhensions grâce à la Lumière qui illumine les pensées, l’esprit et le cœur de chaque être humain avec l’envoi du Saint-Esprit, pour qu’Il demeure chez les êtres humains avec Ses Dons, Ses Vertus et Sa Vérité et vous guide vers le Bonheur Céleste.

Une seule unique Vérité demeure chez l’humanité :

MON DIVIN FILS EST RESSUSCITÉ AFIN ÊTRE LA LUMIÈRE QUI GUIDE L’HUMANITÉ AVEC SON AMOUR, AFIN QU’ELLE APPARTIENNE PLUS À LA TRÈS SAINTE TRINITÉ QU’AUX CHOSES DU MONDE.

Celui qui aime donne tout ; Il protège Ses enfants s’ils sont en danger, Il anticipe les obstacles, dans la maladie Il est le médicament ; c’est Mon Divin Fils qui pardonne aux pécheurs.

Enfants bien-aimés, soyez des experts en amour et le reste vous sera ajouté par surcroît :

« Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. » (Mt. 5, 3-11)

Saintes Pâques, Mes enfants !

Je vous aime.

Maman Marie

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
27 MARS 2024

Chers enfants bien-aimés de Mon Cœur, recevez Mon Amour.

Chers enfants,

JE VOUS INVITE À VIVRE « EN ESPRIT ET EN VÉRITÉ » (Jn. 4, 23-24) À CHAQUE INSTANT, EN ÉTANT UN AVEC MON DIVIN FILS.

Les êtres humains se sont débarrassés de tout ce qui limite leur libre arbitre mal utilisé et pécheur. Mes enfants, sans assumer la tâche de regarder au-delà de vos yeux, vous continuez à mépriser Mon Divin Fils et à vous livrer à l’ennemi de l’âme qui vous conduit à vous livrer à l’Antéchrist.

VOUS DEVEZ CONNAÎTRE ET RECONNAÎTRE MON DIVIN FILS (cf. Jn. 17, 3; Phil. 3, 8) AFIN DE NE PAS ÊTRE TROMPÉS PAR L’ANTÉCHRIST.

Vous allez expérimenter, Mes enfants, l’obscurité ; l’obscurité de l’âme lorsque vous verrez vos péchés même si vous ne voulez pas les voir, et la force du Saint-Esprit vous fera vous voir tels que vous êtes, sans masque, même si vous ne le voulez pas. L’obscurité envahira la Terre et fera que les êtres humains se sentiront seuls sur Terre.

Cette génération de grandes avancées pour le bien est une génération de grandes avancées mal employées, mal utilisées afin de rendre les êtres humains malades, pour exterminer l’humanité. Cette génération a été bénie avec de grandes avancées pour le bien !

MON FILS VIENDRA EN AIDE À SES ENFANTS QUAND CETTE GÉNÉRATION UTILISERA L’INTELLIGENCE POUR ESSAYER D’EXTERMINER TOUTE L’HUMANITÉ. MON FILS VIENDRA AU SECOURS DE SES ENFANTS ET DÉMONTRERA UNE FOIS ENCORE QU’IL EST LE ROI DE L’UNIVERS ET LE MAÎTRE DE TOUTES LES CHOSES CRÉÉES (cf. Apoc. 17, 14; 1 Tim. 6, 13-16).

Enfants, de grandes rébellions éclatent dans les pays ; évitez les grands rassemblements, Mes enfants, les endroits où il y a de grands rassemblements, car la terreur s’empare des nations, Mes petits enfants, et Je ne veux pas que vous souffriez.

Priez et faites réparation, soyez fidèles à Mon Divin Fils.

Priez pour l’Église, vous serez surpris par une nouvelle venant de l’Église.

Mes enfants, cette Mère qui vous parle avec Amour veut que vous écoutiez les alertes que Je vous ai apportées, et au moment où l’ingratitude et le manque d’amour sont en train de devenir plus présents dans l’humanité, que ce soient les créatures de foi qui prient et réparent pour ceux qui ne prient pas et ne réparent pas.

TOUT N’EST PAS DOULEUR, PETITS ENFANTS : APRÈS LA PURIFICATION VIENDRA LA LUMIÈRE ET LA VRAIE VIE, OÙ LA FOI SERA LA BANNIÈRE DES ÊTRES HUMAINS ET VOUS GOÛTEREZ LE CIEL D’AVANCE ET VIVREZ EN PAIX, ET LE MAL NE VIENDRA PAS VOUS TENTER.

Je vous bénis de Mon Cœur Maternel qui est rempli d’Amour pour chacun de vous.

Élevez vos sacramentels, Mes enfants, Je veux vous bénir au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen. Je vous demande pourtant du respect et de la Foi dans l’usage des sacramentaux car vous ne devez pas oublier qu’il est nécessaire que vous soyez en état de grâce.

Je vous aime, Mes enfants, Je vous aime.

Maman Marie

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
23 MARS 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé,

QUE MA BÉNÉDICTION SOIT POUR CHACUN D’ENTRE VOUS UN BAUME DANS CES MOMENTS DE DOULEUR POUR L’HUMANITÉ, moments de douleur semblable à la douleur que Mon cher Fils bien-aimé a éprouvée par amour de l’humanité depuis Son arrestation par les soldats romains. Douleur qui a duré trois longs jours jusqu’au dimanche de Sa Résurrection, douleur qui continue de se répéter pour chacun de Ses enfants qui le renie, qui l’offense, qui le méprise, qui commet des sacrilèges, pour chaque acte de désobéissance, pour chacun de Ses enfants qui me méprise.

On commence la commémoration de la Semaine Sainte avec des acclamations et une jubilation qui se terminera bientôt, comme chez certains de Mes enfants qui s’approchent de Mon Divin Fils et puis, voyant ce que Mon Divin Fils dans Sa Volonté ne leur donne pas, ils s’éloignent de Lui en le reniant et sans l’aimer.

PETITS ENFANTS, JE VOUS PRIE DE VIVRE CETTE SEMAINE SAINTE, QUI A ÉTÉ QUALIFIÉE PAR MON DIVIN FILS DE SEMAINE SPÉCIALE, à cause des œuvres et actions de l’homme, face à la nature qui continue d’agir avec force, face au refus de prendre au sérieux ces jours saints de réflexion, de pardon, de miséricorde, pour ce qu’elle est : UN MOMENT DIFFÉRENT DANS LA VIE ET L’ESPRIT DE L’ÊTRE HUMAIN.

PENDANT CETTE SEMAINE SAINTE, LE SAINT-ESPRIT SERA DÉVERSÉ D’UNE MANIÈRE SPÉCIALE, en préparation pour que vous, Mes enfants, puissiez continuer événement après événement sans perdre la foi ; mais pour cela, vous devez rester dûment unis à Mon Divin Fils.

EN TANT QUE MÈRE, JE SUPPLIE CHACUN D’ENTRE VOUS, PETITS ENFANTS, DE VOUS PRÉPARER À UN CHANGEMENT DE VIE D’UN INSTANT À L’AUTRE.

L’humanité est à un souffle de subir des événements graves et forts, annoncés auparavant par Mon Divin Fils, par cette Mère et par Mon bien-aimé Saint Michel Archange.

Certains de Mes enfants ne voient pas les tentacules de la guerre ; ils arrivent silencieusement, provoquant douleur et peur à travers le terrorisme.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Amérique du Nord : cette nation a besoin de conversion.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Amérique Centrale : elle sera secouée.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Argentine : elle souffrira de la maladie et à cause de ses habitants.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Europe : priez, petits enfants.

Le firmament s’assombrira, les enfants de Mon Divin Fils donneront de la lumière avec leurs lampes allumées à la meilleure huile (cf. Lc. 12, 35-36). C’est pourquoi je vous appelle, petits enfants, à entrer en profondeur dans chaque jour de cette Semaine Sainte en vous repentant de vos mauvais actes et en demeurant en paix avec la Très Sainte Trinité.

PLIEZ VOS GENOUX, PETITS ENFANTS, PLIEZ VOS GENOUX. (cf. Eph. 3, 14-16)
VOUS PENSEZ QUE TOUT EST TRÈS LOIN…
LA SOUFFRANCE DE MES ENFANTS CONTINUE…
REPENTEZ-VOUS, REGARDEZ AVEC VOTRE CŒUR LES SIGNES ET LES SIGNAUX. CONVERTISSEZ-VOUS, CONVERTISSEZ-VOUS, PETITS ENFANTS, CONVERTISSEZ-VOUS !

Mes petits enfants, ne méprisez pas Mes avertissements. Unissez-vous, aimez-vous et aidez-vous les uns les autres.

Je vous bénis, je vous aime.

Maman Marie

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
18 MARS 2024

Enfants bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, en tant que Prince des Milices Célestes, Je viens vers vous par Ordre Divin.

Vous êtes des enfants de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère :

Nourrissez votre foi en accomplissant la Volonté de Dieu, en recevant Notre Roi et Seigneur dans le Sacrement de la Sainte Eucharistie.
Nourrissez votre foi avec la pratique de l’Écriture Sainte, en aimant vos frères et sœurs, en accomplissant les Sacrements et toutes les Œuvres de Miséricorde, en lisant les livres des Pères de l’Église.

LUTTEZ POUR ÉRADIQUER L’ÉGOÏSME ; il vous amène à ne regarder que vous-mêmes et vous fait croire que tout ce qui existe est pour vous. L’égoïsme vous amène à tomber dans l’arrogance. Il y a tant de personnes arrogantes qui ne se voient pas et continuent à être de plus en plus arrogants à chaque instant, pensant qu’ils méritent tout ; et lorsqu’ils se verront, l’égoïsme aura provoqué la lèpre spirituelle chez eux (cf. Prov. 16, 18-19).

En ce moment:
Les êtres humains spirituels font défaut…
La vérité manque…
L’humilité manque…
Il manque la connaissance correcte de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ pour que vous soyez disposés à cesser de chercher des chemins erronés, pour vouloir en savoir plus sur Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ.

En tant que Prince des Légions Célestes :
Je vous appelle à vivre en étant authentiques : vous n’y parviendrez que par l’humilité.
Je vous appelle à vous respecter mutuellement en tant que frères et sœurs.
Je vous appelle à respecter les vrais instruments que la Très Sainte Trinité et Notre Reine et Mère ont choisis pour ce moment tellement difficile.

ENFANTS DE NOTRE REINE ET MÈRE, VOUS ALLEZ VIVRE DES MOMENTS TRAGIQUES, VRAIMENT GRAVES ; SI LA FOI N’EST PAS FORTE ET FERME, (CF. I COR 16, 13) IL SERA PLUS DIFFICILE POUR LES ÊTRES HUMAINS D’Y FAIRE FACE.

Continuez sans ressentir de peur, vivez sans peur, en connaissant la Parole Divine (cf. II Tim. 3, 16-17) pour apprendre à être amour envers vos semblables ; essayez de parler, les enfants, sans crier, aussi animée que soit la conversation.

Enfants de la Très Sainte Trinité, il y a tant de mal au sein de l’humanité, tant d’envie (cf. Jacques 1, 22 ; I Cor. 13, 4) que la puissance du Diable déborde et que ses manières de faire le mal sont recherchées par l’homme lui-même à travers des frères qui se sont livrés aux ténèbres.

Enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ,

JE SUIS CHARGÉ D’ACCOMPAGNER LES ÂMES AU CŒUR IMMACULÉ DE NOTRE REINE ET MÈRE DE L’HUMANITÉ ; C’EST NOTRE REINE ET MÈRE QUI VOUS MÈNE JUSQU’AU TRÔNE DE LA TRINITÉ.

MON INTERCESSION EST POUR CHACUN D’ENTRE VOUS, AFIN DE VOUS RECEVOIR ET VOUS AMENER DEVANT NOTRE REINE ET MÈRE, POUR QUE VOUS PUISSIEZ GOÛTER AU BANQUET CÉLESTE.

Recevez Ma Protection continue.

Saint Michel Archange

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
14 MARS 2024

(Le Message suivant est publié ce jour, mais a été reçu le 14 dans un groupe de prière)

Mes enfants bien-aimés, Je vous bénis.

EN TANT QUE PÈRE AIMANT, JE VIENS VERS VOUS POUR ME DONNER À CHACUN, POUR VOUS DONNER MON AMOUR AFIN QUE VOUS LE VIVIEZ.

Je ne veux pas que vous vous arrêtiez à cause du libre arbitre…
Je ne veux pas que vous partagiez la mauvaise compréhension du respect humain…
Je veux que vous aimiez et respectiez la Volonté Divine afin qu’elle ne soit remplacée à aucun moment par vos désirs ou caprices…

En ce moment, Mes enfants, bien-aimés de Mon Cœur, le libre arbitre mal utilisé M’oblige à agir en tant que Juste Juge, face à la volonté humaine qui s’élève contre Ma Volonté.

MON ÉGLISE EST EN CHEMIN, MES ENFANTS, MAIS ELLE CHEMINE EN GOÛTANT LE CALICE AMER.

Je vous mets en alerte et vous préviens pour que vous ne ressentiez pas une douleur plus grande que vous ne pouvez supporter, mais même si Je vous préviens, vous n’êtes pas obéissants, ce que vous regretterez sous l’ombre de la mort sur terre. Vous regretterez de ne pas avoir obéi quand la terre tremblera, quand vous verrez les flammes sur terre, vous verrez une terre en train de brûler au milieu du combat des nations – une humanité que les grandes puissances de la terre veulent éteindre par la guerre.

MA MAISON VOUS MONTRE DE LA PITIÉ, MAIS LE GENRE HUMAIN NE CONNAIT PAS DE LIMITE ET CONTINUE DE M’OFFENSER CONSTAMMENT ; ET POURTANT JE CONTINUE DE PARDONNER ET D’AIMER, J’AIMERAI ET PARDONNERAI LE GENRE HUMAIN JUSQU’À CE QUE JE VIENNE À VOUS SANS VOUS AVERTIR ET QUE VOUS SEREZ SURPRIS PAR TOUT LE MAL QUE VOUS AVEZ COMMIS.

Cette génération, enfants de Mon Cœur, participera au combat – dans une lutte née du libre arbitre (cf. Jacques 1, 13-15; Gal. 5, 13), produit de la violence et produit de l’inconscience humaine. Vous ne voyez pas « Goliath », qui s’élève avec toujours plus de force et de pouvoir sur l’humanité, avec cette ombre de mort qui intimide tout le monde ; et ce « Goliath », c’est l’énergie nucléaire, Mes enfants bien-aimés.

Il y aura ceux qui célébreront en battant d’autres frères par des actes de violence grands et fatidiques. Cependant, Ma Miséricorde veut que ceux qui restent à Mes côtés, veut que ceux qui maintiennent leur foi en Moi, veut que ceux qui ne rentrent pas dans les terriers, parce qu’ils ont foi en Moi, témoignent de cette foi. Non pas en affrontant leurs frères qui viendront flageller un pays après l’autre, mais par la prière et l’action, en aidant ceux qui M’ont peut-être renié jusqu’à maintenant. Mais n’oubliez jamais que Je pardonne et J’aime, J’aime et Je pardonne, et Je veux que vous fassiez de même.

Mes enfants, il y aura tellement, tellement de choses qui seront altérées et affectées par la radioactivité ! Mais c’est précisément pour cela qu’il y a tant de menaces en ce moment de la part de certains pays puissants envers d’autres, parce que personne ne veut que l’histoire le montre du doigt comme celui qui a déclenché l’hécatombe de l’humanité.

AYEZ CONFIANCE EN MOI, SOYEZ DE VRAIS ENFANTS DE MA VOLONTÉ. NE LAISSEZ PAS LA PEUR VOUS PÉNÉTRER, CAR MOI, MES ENFANTS, JE NE VOUS ABANDONNERAI JAMAIS. (cf. Jn 14, 1-2)
JE PRENDS VOS DEMANDES ET JE LES METS DANS MON CŒUR, CAR JE VIENS VERS MES ENFANTS AFIN QU’ILS N’AIENT PAS PEUR, POUR LES PRÉVENIR ET POUR QU’ILS NE TOMBENT PAS DANS LES TENTATIONS DU MAL.

Mes petits enfants, si vous voyez certains ou un grand nombre de vos frères et sœurs courir d’un endroit à un autre, gardez la foi, gardez l’équanimité et ne courez pas comme des créatures sans foi, car où que vous soyez, Mes Légions d’Anges arriveront et vous protégeront, mais en échange J’ai besoin que vous soyez en état de grâce et si vous ne l’êtes pas, Je voudrais vous trouver en train de lutter pour avoir la grâce en vous, Mes enfants.

Je vous aime et Je ne veux pas vous faire peur, mais :
Je veux que vous suiviez la bonne voie et renforciez votre foi.
Je souhaite que vous banniez l’égoïsme et que vous agissiez à Ma Manière plutôt qu’à la manière du monde.

JE VOUS AIDE EN VOUS APPORTANT DE LA FORCE POUR QUE VOUS TRAVAILLEZ ET AGISSEZ DANS MA VOLONTÉ, et si vous n’avez rien à manger, Mes petits enfants, J’enverrai, si c’est nécessaire, la Manne du Ciel pour nourrir Mes fidèles, pour nourrir Mes enfants, tous Mes enfants, absolument tous Mes enfants.

Vous avez la certitude que votre Jésus – Celui qui a marché avec la Croix, Celui qui a été cloué sur une Croix, a permis tout cela, et Je l’ai assumé avec beaucoup d’Amour pour qu’à ce moment précis vous continuiez à marcher dans Mon Amour et avec l’assurance que Je ne vais pas vous laisser seuls, mais que J’écoute toujours ceux qui crient avec un cœur sincère.

Vous serez confrontés à de terribles flagellations, mais si vous gardez la foi, si vous êtes convaincus, vous pourrez déplacer une montagne d’un lieu à un autre (cf. Mt. 17, 20-21). Sauvez votre âme, Mes enfants, réveillez-vous, Mes enfants, ne restez pas prosternés par terre ; exaltez Mon Nom, qui est au-dessus de tout nom, et Je continuerai à protéger votre chemin.

Petits enfants de Mon Cœur, Je vous emmènerai Moi-même au Cœur Immaculé de Ma Mère bien-aimée car le Cœur Immaculé de Ma Mère est l’Arche de Salut pour Mes enfants.

Vous devez prier, être obéissants et être des créatures du bien.

Mes petits enfants, Je bénis les Sacramentaux que chacun de vous porte en ce moment, Je les scelle de Mon Précieux Sang et Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Votre Jésus




Saint Jean, l’apôtre bien-aimé du Seigneur (3) : « Toi qui reposas si souvent sur sa poitrine ! »

Dans son Evangile, Saint Jean nous révèle son attitude d’intimité unique avec le Maître : elle est dévoilée au moment troublant où le Seigneur annonce de manière mystérieuse la trahison de Judas… Là, Jean se définit à travers une tendre proximité avec Jésus :

« Les disciples se regardaient les uns les autres, ne sachant de qui il parlait. Un de ses disciples, celui que Jésus aimait, se trouvait à table tout contre Jésus. Simon Pierre lui fait signe et lui dit : « Demande quel est celui dont il parle. » Se penchant alors vers la poitrine de Jésus, le disciple lui dit : « Seigneur, qui est-ce ? » Jésus répond : « C’est celui à qui je donnerai la bouchée que je vais tremper ! … » il la prend et la donne à Judas… Après la bouchée, Satan entra en lui… et aussitôt la bouchée prise, il sortit ; il faisait nuit… » (Jn 13,22-30).

On découvre d’abord dans cet Evangile que Saint Pierre reconnaissait cette proximité unique que Jean avait avec le Maître. A travers Pierre, Roc précieux de la foi choisi par Jésus (Mt 16,18), nous est révélée ensuite en Jean, si proche du Cœur de Jésus, la dimension contemplative future de l’Eglise dont la Vierge est la plénitude : sa silencieuse proximité avec Elle, déjà, durant le ministère du Seigneur, le conduira à être le seul Apôtre présent au pied de la Croix. Et c’est pourquoi si Jean est présent au début de la mission apostolique près de Pierre (Ac 4,13-22), il disparaît ensuite après les premières persécutions pour protéger et conduire la Vierge Marie à Ephèse, à l’écart…

Certes, il continuera à évangéliser… mais de manière plus contemplative, comme il le laisse entendre au début de l’Apocalypse avant de témoigner de sa vision bouleversante du Christ glorieux :

« Moi, Jean, votre frère et votre compagnon dans l’épreuve, la royauté et la constance, en Jésus. Je me trouvais dans l’île de Patmos, à cause de la Parole de Dieu et du témoignage de Jésus. Je tombais en extase, le jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix clamer, comme une trompette : « Ce que tu vois, écris-le dans un livre pour l’envoyer aux sept Eglises… Je me retournais pour regarder la voix qui me parlait… et je vis comme un Fils d’homme revêtu d’une longue robe serrée à la taille par une ceinture en or… ses yeux comme une flamme ardente… et son visage, c’est comme le soleil qui brille dans tout son éclat ! A sa vue, je tombai comme mort à ses pieds… » (Ap 1,9-17).

Cet évènement constituera pour lui une étape décisive : il demeurera l’Apôtre témoin du Seigneur, mais sous une forme plus cachée, contemplative et prophétique dont témoigne son Apocalypse. Car prés de Marie, il entre alors dans le rayonnement silencieux[1] de « la Femme » enveloppée du « Soleil » (Ap 12,1). Et l’on peut affirmer que Jean n’aurait jamais écrit son « Evangile spirituel » s’il n’avait été auparavant « imprégné » par le silence contemplatif de la Vierge. Il a reçu d’Elle, au-delà des paroles, une pénétration unique du mystère de l’Incarnation : en effet, derrière la beauté contemplative de son Evangile et de ses Epîtres, se cache le regard silencieux du Cœur de Marie (Lc 2,19) … et cette profondeur mariale initiée par l’Esprit est passée dans le regard de Jean. Comme l’écrit splendidement un Père de l’Eglise :

« Il faut donc oser dire que, de toutes les Ecritures, les Evangiles sont les prémices et que, parmi les Evangiles, les prémices sont celui de Jean, dont nul ne peut saisir le sens s’il ne s’est reposé sur la poitrine du Seigneur et n’a reçu de Jésus, Marie pour Mère[2]… »

Alors, comment interpréter ce paradoxe johannique où l’Apôtre ne se nomme pas mais se définit comme « Celui que Jésus aimait » en reposant souvent sur son Cœur… (Jn 19,26-27 / Jn 20,2-10 / 21,7.20-23).

Cette expression unique nous touche en même temps qu’elle peut nous interroger ? Pourquoi l’Apôtre se définit-il si intime du Seigneur, au point de paraitre « unique » dans le Collège apostolique ? Il faut d’abord constater que dans les relations humaines, il y a déjà des nuances évidentes en nos vies entre les amis intimes et les connaissances au sens large. On remarquera aussi que si Jean ne se « nomme » pas dans sa proximité avec Jésus, c’est qu’il se veut un simple disciple… Ne sommes-nous pas là devant « un choix d’humilité » qui le fait s’effacer devant l’amour infini du Seigneur ?

Enfin, n’y-a-t-il pas aussi de sa part un enseignement secret pour nous dire que la vie « commence » vraiment quand on regarde « Celui que l’on a transpercé » (Jn19,37). On découvre alors, comme il l’a écrit, que « devant Lui, nous apaiserons notre cœur si notre cœur venait à nous condamner, car Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît tout ! » (1 Jn 3,20).

En conclusion, cela signifie que si « Dieu est Lumière » (1 Jn 1,5) et qu’il opère une vérité libératrice en nos vies, c’est pour nous plonger plus profondément en ce « Dieu qui est Amour ! » Car « ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés et qui as envoyé son Fils » (1 Jn 4,10).

Ce mystère a habité très tôt dans le cœur du disciple bien-aimé et à travers les personnages de son Evangile, il veut nous ouvrir la voie vers l’Amour incompréhensible que Jésus nous porte… Souvenons-nous de son dialogue bouleversant avec la Samaritaine (Jn 4,7-47) ou la femme adultère (Jn 8,2-11)  car en vérité, il nous aime tous, chacun et chacune, d’une manière « unique » que l’on commence à découvrir en cette vie et se dévoilera en la vie éternelle !

A travers Sainte Faustine, ne nous dira-t-il pas à en tant que Christ miséricordieux :

« Je veux répandre mes grâces inconcevables sur les âmes qui ont confiance en ma miséricorde (687) … Qu’elles s’approchent de cet océan de miséricorde avec une très grande confiance : les pécheurs obtiendront justification et les justes seront affermis dans le bien (1520) … Les grâces de ma miséricorde se puisent à l’aide d’un unique moyen, et c’est la confiance. Plus la confiance est grande, plus l’âme reçoit ! » (1578)

Ainsi, la « confiance » est le secret ultime pour être sauvé et brûlé par le feu de l’infinie Miséricorde ! Elle seule peut nous plonger dans l’océan de la Miséricorde… La petite Thérèse en a fait le cœur battant de sa voie d’enfance spirituelle :

« Ce qui plaît au Bon Dieu dans ma petite âme, c’est de me voir aimer ma petitesse et ma pauvreté, c’est l’espérance aveugle que j’ai en sa miséricorde… Voilà mon seul trésor !… Restons bien loin de tout ce qui brille, aimons notre petitesse, aimons à ne rien sentir, alors nous serons pauvres d’esprit et Jésus viendra nous chercher, si loin que nous soyons il nous transformera en flammes d’amour… Oh ! que je voudrais pouvoir vous faire comprendre ce que je sens !… C’est la confiance et rien que la confiance qui doit nous conduire à l’Amour[3]… »

 

+ Marie-Mickaël

 

[1] « La sainteté est plus décisive que le ministère épiscopal, même si celui-ci est indispensable. Il est plus important d’être saint que d’être laïc, consacré, diacre, prêtre, évêque ou pape… Malgré l’importance du ministère de Pierre, Marie est plus décisive que lui pour l’avenir de l’Eglise ! » Monseigneur Léonard, Le cœur de la foi chrétienne, Edition de l’Emmanuel, 2003, p.70.

[2] Origène, Sur l’Evangile de Jean.

[3] Sainte Thérèse de Lisieux, Œuvres complètes, Lettre 197, Cerf-DDB 1992, p.552-553.




Le choix a été fait…

Article de Mark Mallett du 9 avril 2024

Il n’y a pas d’autre moyen de le décrire qu’une lourdeur oppressante. J’étais assis là, penché sur mon banc, m’efforçant d’écouter les lectures de la messe du dimanche de la Divine Miséricorde. C’était comme si les mots frappaient mes oreilles et rebondissaient.

J’ai finalement supplié le Seigneur : « Quelle est cette lourdeur , Jésus ? Et je l’ai senti dire en mon intérieur :

Le cœur de ce peuple s’est endurci. Mes paroles ne percent plus leur âme. C’est un peuple au cou raide comme à Mériba et à Massah  (cf. Ps 95, 8).  Cette génération a maintenant fait son choix et vous êtes sur le point de vivre les fruits de ces choix… 

Ma femme et moi étions assis sur le balcon – ce n’est pas un endroit où nous allons habituellement, mais aujourd’hui, c’était comme si le Seigneur voulait que je voie quelque chose. Je me suis penché en avant et j’ai baissé les yeux. La cathédrale était à moitié vide en cette fête de la Miséricorde – plus vide que je ne l’avais jamais vue. C’était un point d’exclamation dans ses paroles selon lesquelles, même maintenant – même avec le monde au bord d’un conflit nucléaire, d’un effondrement économique, d’une famine mondiale et d’une autre « pandémie » – les âmes ne recherchaient pas sa miséricorde et « l’océan de grâces ». [1] qu’Il offrait ce jour-là. [2]

Je me suis souvenu encore de ses paroles déchirantes à Sainte Faustine :

Je ne veux pas punir l’humanité souffrante, mais Je désire la guérir, en la pressant contre Mon Cœur Miséricordieux. J’utilise la punition lorsqu’ils Me forcent eux-mêmes à le faire ; Ma main hésite à saisir l’épée de la justice. Avant le Jour de la Justice, j’envoie le Jour de la Miséricorde… Je prolonge le temps de la miséricorde pour le bien des [pécheurs]. Mais malheur à eux s’ils ne reconnaissent pas ce moment de Ma visitation…—Jésus à Sainte Faustine,  La Divine Miséricorde dans mon âme , Journal, n. 126I, 1588

Bien que la miséricorde de Dieu ne finisse jamais, il me semble qu’Il dit que « le temps de la miséricorde » touche maintenant à sa fin. Quand? Depuis combien de temps savons-nous que nous sommes en sursis ?

La phase d’alerte

En effet, le Seigneur DIEU ne fait rien sans révéler Son plan à ses serviteurs les prophètes. (Amos 3:7)

Lorsque Dieu désire avertir l’humanité, il appelle des prophètes ou des veilleurs, souvent à travers une rencontre profonde qui retient leur attention.

Dans leurs rencontres « individuelles » avec Dieu, les prophètes puisent lumière et force pour leur mission. Leur prière n’est pas la fuite de ce monde infidèle, mais plutôt l’attention à la Parole de Dieu. Parfois leur prière est une dispute ou une plainte, mais c’est toujours une intercession qui attend et prépare l’intervention du Dieu Sauveur, Seigneur de l’histoire. — Catéchisme de l’Église catholique,  n. 2584

Le prophète ressent une urgence lorsque Dieu lui donne une parole à transmettre. La parole remue dans son âme, brûle dans son cœur et devient même un fardeau jusqu’à ce qu’elle soit prononcée. [3] Sans cette grâce, la plupart des prophètes seraient simplement enclins à douter, à tergiverser ou même à enterrer le mot « pour une autre fois ».

L’urgence ressentie par le prophète n’indique cependant pas l’ imminence de la prophétie ; c’est simplement le propulseur pour faire passer la parole au Corps du Christ et même au reste du monde. Le moment exact où cette parole s’accomplira, ou si elle sera atténuée, reportée ou annulée, et combien d’années, voire de siècles, il s’écoulera après que le prophète l’aura prononcée pour la première fois, n’est connu que de Dieu – à moins qu’Il ne le révèle (par exemple Gen 7). :4, Jonas 3:4). De plus, il faut laisser le temps à la parole de parvenir aux gens .

Cet apostolat d’écriture a commencé il y a environ 18 ans. Il a fallu de nombreuses années pour que ce message parvienne à travers le monde, et même alors, jusqu’à un simple reste.

La phase d’exécution

La phase d’accomplissement arrive souvent « comme un voleur dans la nuit ». [4] Il n’y a que peu ou pas d’avertissement, car le temps de l’avertissement est passé — le verdict est tombé. Dieu, qui est amour et miséricorde même, attend toujours que soit la justice l’exige d’agir, soit qu’il y ait une telle dureté de cœur, seul le châtiment reste comme instrument de miséricorde.

Car le Seigneur corrige celui qu’il aime et châtie tout fils qu’il reçoit. (Hébreux 12:6)

Souvent, la première étape de ce châtiment consiste pour l’individu, la région ou la nation à récolter simplement ce qui a été semé.

… ne disons pas que c’est Dieu qui nous punit ainsi ; au contraire, ce sont les hommes eux-mêmes qui préparent leur propre châtiment. Dans sa bonté, Dieu nous avertit et nous appelle au droit chemin, tout en respectant la liberté qu’il nous a donnée ; donc les gens sont responsables. –Sr. Lucia, une des visionnaires de Fatima, dans une lettre au Saint-Père, 12 mai 1982

Je n’ai aucun doute sur le fait que les « sceaux » de l’Apocalypse ne sont pas seulement créés par l’homme mais sont délibérés. C’est pourquoi Notre Sainte Mère a mis en garde à Fatima contre les conséquences de laisser les erreurs de la franc-maçonnerie (c’est-à-dire les « erreurs de la Russie ») se propager à travers le monde. Cette « bête » qui surgit de la mer utilise des mots doux et des slogans comme « reconstruire en mieux » et « Grande Réinitialisation » pour cacher ses intentions de créer de l’ordre à partir du chaos ( ordo ab chaos ). Il s’agit, en un sens, du « châtiment de Dieu » – dans la mesure où le « fils prodigue » a été autorisé à récolter ce qu’il avait semé par sa rébellion.

Dieu… est sur le point de punir le monde pour ses crimes, au moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l’Église et contre le Saint-Père. Pour éviter cela, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice les premiers samedis. Si mes demandes sont entendues, la Russie se convertira et il y aura la paix ; sinon, elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés ; le Saint-Père aura beaucoup à souffrir ; diverses nations seront anéanties.  — Message de Fatima,  vatican.va

Je ne connais pas le programme du Seigneur pour ce Triomphe. Mais le « mot du présent » aujourd’hui est très clair : l’humanité a collectivement rejeté le Christ, son Église et l’Évangile. Ce qui reste avant  le Jour de la Justice  me semble être un dernier acte de miséricorde – un avertissement mondial qui ramènera immédiatement à la maison de nombreux fils et filles prodigues… et triera les mauvaises herbes du blé.
Avant de venir en tant que juste Juge, je viens d’abord en tant que Roi de Miséricorde. Avant que le jour de justice n’arrive, un signe semblable sera donné aux hommes dans les cieux : Toute lumière dans les cieux s’éteindra et il y aura de grandes ténèbres sur toute la terre. Alors le signe de la croix sera visible dans le ciel, et des ouvertures où furent cloués les mains et les pieds du Sauveur sortiront de grandes lumières qui éclaireront la terre pendant un certain temps. Cela aura lieu peu avant le dernier jour. — Jésus à Sainte Faustine, Journal de la Divine Miséricorde, Journal, n. 83

Hâtez-vous d’être en état de grâce

Nous avons atteint un point où nous devons être prêts à rencontrer le Seigneur à tout moment. Des dizaines de fois dans les messages adressés à la voyante américaine Jennifer, Jésus appelle les gens à être prêts à se tenir devant Lui « en un clin d’œil ».

Mon peuple, le temps d’avertissement qui a été prédit va bientôt se révéler. Je vous ai patiemment supplié, Mon peuple, mais vous êtes trop nombreux à continuer à vous consacrer aux voies du monde… C’est un moment où Mes fidèles sont appelés à une prière profonde. Car en un clin d’œil, vous pourriez vous tenir devant Moi… Ne soyez pas comme l’homme insensé qui attend que la terre commence à trembler et à trembler, car alors vous pourriez périr… — Jésus aurait dit à Jennifer ; Paroles de Jésus , 14 juin 2004

Des avions à réaction dotés de l’arme nucléaire sont déployés au-dessus de la Terre tandis que les dirigeants menacent de s’anéantir les uns les autres. Les « experts » préviennent qu’une pandémie « 100 fois pire que le Covid » circule déjà aux États-Unis. Le virologue de renommée mondiale, le Dr Geert Vanden Bossche, a averti que nous entrons dans une « crise hyper-aiguë » parmi les populations hautement vaccinées et que nous assisterons bientôt à « un tsunami massif et massif » de maladies et de décès parmi elles. [5] Et des centaines de millions de personnes sont confrontées à la famine en raison de l’hyperinflation et d’une crise alimentaire mondiale croissante. À un moment donné, nous allons traverser cette tempête… et elle apparaît tôt ou tard.
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Interrogé sur le troisième secret de Fatima, le pape Jean-Paul II a déclaré à un groupe de pèlerins :
S’il existe un message dans lequel il est dit que les océans vont inonder des pans entiers de la terre ; que, d’un moment à l’autre, des millions de personnes vont périr… ça ne sert plus à rien de vouloir vraiment publier ce [troisième] message secret [de Fatima]… Il faut être prêt à subir de grandes épreuves dans le pas trop -futur lointain; des épreuves qui exigeront que nous soyons prêts à renoncer même à notre vie et à un don total de nous-mêmes au Christ et pour le Christ. Par vos prières et les miennes, il est possible d’atténuer cette tribulation, mais il n’est plus possible de l’éviter, car c’est seulement ainsi que l’Église pourra être renouvelée efficacement. Combien de fois en effet le renouveau de l’Église s’est-il opéré dans le sang ? Cette fois encore, il n’en sera pas autrement. Il faut être fort, il faut se préparer, il faut se confier au Christ et à sa Mère, et il faut être attentif, très attentif, à la prière du Rosaire. —PAPE JEAN-PAUL II, entretien avec des catholiques à Fulda, Allemagne, novembre 1980 ; « Inondation et incendie » du P. Régis Scanlon, ewtn.com
Je suppose que ce que je dis, c’est qu’il ne reste que peu de temps, voire aucun temps, pour atténuer ne serait-ce que cette tribulation. Collectivement, le choix a été fait d’éjecter Dieu de la place publique. Cela devrait être évident pour tous. Pourtant, « nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement… nous voyons indistinctement, comme dans un miroir » (1 Co 13, 9, 12).
Et tout n’est pas perdu. Ces douleurs de l’accouchement ne sont pas la fin mais le début d’une nouvelle naissance à venir, une nouvelle ère de paix .
À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie, elle se convertira et une période de paix sera accordée au monde. —Message de Fatima,  vatican.va
Oui, un miracle a été promis à Fatima, le plus grand miracle de l’histoire du monde, juste après la Résurrection. Et ce miracle sera une ère de paix qui n’a jamais vraiment été accordée au monde auparavant. —Cardina l Mario Luigi Ciappi, 9 octobre 1994 (théologien papal de Jean-Paul II, Pie XII, Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul Ier) ; Catéchisme familial de l’apostolat



Le secret admirable du Très Saint Rosaire (13) – St Louis-Marie Grignion de Montfort

10e ROSE

[31] Lorsque saint Dominique prêchait cette dévotion dans Carcassonne, un hérétique tournait en ridicule ses miracles et les 15 mystères du saint Rosaire, ce qui empêchait la conversion des hérétiques. Dieu, pour punir cet impie, permit à quinze mille démons d’entrer en son corps ; ses parents l’amenèrent au bienheureux Père pour le délivrer de ces malins esprits. Il se mit en oraison et exhorta toute la compagnie de réciter avec lui le Rosaire tout haut, et voilà qu’à chaque Ave Maria, la sainte Vierge faisait sortir cent démons du corps de cet hérétique en forme de charbons ardents. Après qu’il fut délivré, il abjura ses erreurs, se convertit et se fit enrôler en la confrérie du Rosaire avec plusieurs de son parti qui furent touchés de ce châtiment et de la vertu du Rosaire.

[32] Le docte Cartagène, de l’ordre de Saint-François, avec plusieurs auteurs, rapporte que l’an 1482, lorsque le vénérable Père Jacques Sprenger et ses religieux travaillaient avec grand zèle à rétablir la dévotion et la confrérie du saint Rosaire dans la ville de Cologne, deux fameux prédicateurs, jaloux des grands fruits qu’ils faisaient par cette pratique, tâchaient de la décrier par leurs sermons, et comme ils avaient du talent, et un grand crédit, ils dissuadaient beaucoup de personnes de s’y enrôler ; l’un de ces prédicateurs, pour mieux venir à bout de son pernicieux dessein, prépara un sermon exprès et l’assigna à un jour de dimanche. L’heure du sermon étant venue le prédicateur ne paraissait point ; on l’attendit, on le chercha, et enfin on le trouva mort  sans avoir été secouru de personne. L’autre prédicateur, se persuadant que cet accident était naturel, résolut de suppléer à son défaut pour abolir la confrérie du Rosaire. Le jour et l’heure du sermon étant arrivés, Dieu châtia ce prédicateur d’une paralysie qui lui ôta le mouvement et la parole. Il reconnut sa faute et celle de son compagnon, il eut recours à la sainte Vierge dans son coeur, lui promettant de prêcher partout le Rosaire avec autant de force qu’il l’avait combattu. Il la pria de lui rendre pour cela la santé et la parole, ce que la sainte Vierge lui accorda, et se trouvant subitement guéri il se leva comme un autre Saul, de persécuteur devenu défenseur du saint Rosaire. Il fit réparation publique de sa faute, et prêcha avec beaucoup de zèle et  d’éloquence l’excellence du saint Rosaire.

[33] Je ne doute point que les esprits forts et critiques de ce temps, qui liront les histoires de ce petit traité, ne les révoquent en doute, comme ils ont toujours fait, quoique je n’aie fait autre chose que les transcrire de très bons auteurs contemporains et en partie dans un livre nouvellement composé par le Révérend Père Antonin Thomas, de l’ordre des frères prêcheurs, intitulé : le Rosier mystique.

Tout le monde sait qu’il y a trois sortes de foi aux histoires différentes. Nous devons aux histoires de l’Écriture sainte une foi divine ; aux histoires profanes qui ne répugnent point à la raison et écrites par de bons auteurs, une foi humaine ; et aux histoires pieuses rapportées par de bons auteurs et nullement contraires à la raison, à la foi ni aux bonnes mœurs, quoiqu’elles soient quelquefois extraordinaires, une foi pieuse ; j’avoue qu’il ne faut être ni trop crédule ni trop critique, et qu’il faut tenir le milieu en tout pour trouver le point de la vérité et de la vertu ; mais aussi je sais que, comme la charité croit facilement tout ce qui n’est point contraire à la foi ni aux bonnes mœurs : Charitas omnia credit (1 Co 13,7), de même l’orgueil porte à nier presque toutes les histoires bien avérées, sous prétexte qu’elles ne sont point dans l’Écriture sainte. C’est le piège de Satan, où les hérétiques qui nient la tradition sont tombés, et où les critiques du temps tombent insensiblement, ne croyant pas ce qu’ils ne comprennent pas, ou ce qui ne leur revient pas, sans aucune autre raison que l’orgueil et la suffisance de leur propre esprit.

Pour lire l’introduction et consulter le plan de l’ouvrage de Grignion de Montfort, cliquer ici.