La Femme revêtue de soleil face au Dragon rouge-feu : l’ultime combat commence !

« Un grand signe apparut dans le Ciel : une Femme !

Elle est vêtue du soleil, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête…

Puis un autre signe apparut dans le ciel : un énorme Dragon rouge feu ! »

Apocalypse 12,1-3

 

Si nos yeux sont ouverts dans la foi et l’espérance, nous voyons bien que des signes fulgurants traversent de plus en plus l’actualité : une 3° guerre mondiale imminente possible avec son terrible risque nucléaire… un écroulement économique qui s’accélère avec un ensauvagement de la société… une évolution numérique puissante et omniprésente qui prépare le marquage de l’humanité… une transformation de l’Eglise en ONG humaniste qui trahit de plus en plus sa mission universelle de toujours : annoncer le salut dans le Christ… une non-écoute de cette même Eglise des messages urgents de la Vierge Marie qui nous appelle urgemment à la conversion évangélique pour nous éviter le pire !

Il est plus que temps de se réveiller et d’éviter deux erreurs fatales :

S’endormir dans le piège de la relativisation…

Céder à la peur en vivant dans le trouble qui tue l’espérance !

En réalité, la seule attitude mariale qui doit dominer notre foi chrétienne est celle, centrale, de l’Evangile de Saint Jean : « être debout » avec Marie au pied de la Croix, les yeux du cœur fixés sur Jésus, notre Unique Sauveur ! Car, dans cette accélération inouïe de la fin des temps, nous sommes arrivés au point majeur de l’histoire humaine et au cœur de tous les combats autour de ce qui fait « la vocation profonde de l’Eglise[1] » : là, apparaît « la Femme enveloppée de soleil » dans le chapitre central de l’Apocalypse (Ap 12,1-17). Et nous sentons bien que ce n’est pas un combat de plus ou une situation internationale de « déjà-vu », si grave soit-elle. Nous sommes au bord d’un abîme où l’histoire de l’humanité peut s’arrêter face au naufrage d’une guerre nucléaire mondiale…

Nous voici donc entrés dans l’ultime supplication du « Rosaire de Marie » qui, seul, fait reculer « encore » cette affreuse issue pour le monde actuel. Mais au plus profond de notre cœur qui espère et s’appuie sur la Parole de Dieu et les prophéties mariales, nous savons que Dieu ne permettra pas à Satan l’effacement total de l’humanité… Il n’en reste pas moins qu’à travers les annonces prophétiques de la Sainte Vierge, le danger d’une terrible 3° guerre mondiale, en partie nucléaire, est désormais au-dessus de nos têtes…

Sortons donc de ces « illusions » du monde actuel qui nous aveuglent et vivons un « nouveau réveil » dans notre vie baptismale : cela consiste à ne plus croire aux fausses promesses de cette civilisation décadente dont « l’identité numérique » prochaine conduit directement à la « domination » de la marque de la Bête[2]… Face à ce péril redoutable, entrons dés maintenant en résistance par « l’Arme puissante et quotidienne » du saint Rosaire de Marie, une vie sacramentelle fervente, et cette espérance « invincible » que nous donnera l’Esprit Saint !

Ainsi, frères et sœurs bien-aimés en Jésus et Marie, demeurons fermes dans cette joie de la foi et cette force de l’espérance qui ne viennent que de Dieu seul ! Et préparons-nous avec ferveur à « l’Avertissement » en écoutant les avertissements du Seigneur dans l’Apocalypse de Saint Jean :

« Ne tient pas secrètes les paroles de ce livre, car le Temps est proche ! Que le pécheur pèche encore, et que l’homme souillé se souille encore ; que l’homme de bien vive encore dans le bien, et que le saint se sanctifie encore. Voici que mon retour est proche !… Je suis l’Alpha et l’Omega !… le Principe et la Fin !… »  (Ap 22,10-13).

 

+Marie-Mickaël

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[1]  Lire le n° 51 de Lumen gentium du Concile Vatican II.

[2] Voir la vidéo de la scientifique Anne-Marie Yim sur l’intelligence artificielle dans « la Voix de Dieu magazine » du 1 juillet 2024 : « L’Identité numérique est la marque de la Bête 666 ».




Le secret admirable du Très Saint Rosaire (25) – Le Rosaire mémorial de la vie et de la Passion de Jésus – St Louis-Marie Grignion de Montfort

23e ROSE LE ROSAIRE MÉMORIAL DE LA VIE ET DE LA MORT DE JÉSUS

[68] Jésus-Christ, le divin Époux de nos âmes, notre très doux ami, Jésus désire que nous nous souvenions de ses bienfaits et que nous les estimions sur toutes choses ; il a une joie accidentelle, aussi bien que la sainte Vierge avec tous les saints du paradis, lorsque nous méditons dévotement et avec affection sur les mystères sacrés du Rosaire, qui sont les effets les plus signalés de son amour pour nous et les plus riches présents qu’il puisse nous faire, puisque c’est par de tels présents que la sainte Vierge même et tous les saints jouissent de la gloire.

La bienheureuse Angèle de Foligno pria un jour Notre-Seigneur de lui enseigner à quel exercice elle l’honorerait le plus. Il lui apparut attaché à la croix et lui dit : « Ma fille, regarde mes plaies. » Elle apprit de ce très aimable Sauveur que rien ne lui est plus agréable que la méditation de ses souffrances. Ensuite il lui découvrit les blessures de sa tête et plusieurs circonstances de ses tourments et lui dit : « J’ai souffert tout cela pour ton salut, que peux-tu faire qui égale mon amour pour toi ? »

[69] Le saint sacrifice de la messe honore infiniment la très sainte Trinité, parce qu’il représente la passion de Jésus-Christ et que nous y offrons les mérites de son obéissance, de ses souffrances et de son sang. Toute la cour céleste en reçoit aussi une gloire accidentelle, et plusieurs docteurs, avec saint Thomas, nous disent, pour la même raison, qu’elle se réjouit de la communion des fidèles, parce que le Saint-Sacrement est un mémorial de la passion et de la mort de Jésus-Christ, et que, par ce moyen, les hommes participent à ses fruits et avancent l’affaire de leur salut.

Or, le saint Rosaire, récité avec la méditation des mystères sacrés, est un sacrifice de louanges à Dieu pour le bienfait de notre Rédemption et un dévot souvenir des souffrances, de la mort, de la gloire de Jésus-Christ. Il est donc vrai que le Rosaire cause une gloire, une joie accidentelle à Jésus-Christ, à la sainte Vierge et à tous les bienheureux, car ils ne désirent rien de plus grand, pour notre bonheur éternel, que de nous voir occupés à un exercice aussi glorieux à notre Sauveur et aussi salutaire pour nous.

[70] L’Évangile nous assure qu’un pécheur qui se convertit et fait pénitence cause de la joie à tous les anges. Si c’est assez pour réjouir les anges qu’un pécheur quitte ses péchés et en fasse pénitence, quelle joie, quelle jubilation sera-ce pour toute la cour céleste, quelle gloire pour Jésus-Christ même, de nous voir sur la terre, méditer dévotement et avec amour sur ses abaissements, sur ses tourments, sur sa mort cruelle et ignominieuse?  Y a-t-il rien de plus efficace, pour nous toucher et nous porter à une sincère pénitence ?

Le chrétien qui ne médite pas sur les mystères du Rosaire montre une grande ingratitude pour Jésus-Christ et le peu d’estime qu’il fait de tout ce que le divin Sauveur a souffert pour le salut du monde. Sa conduite semble dire qu’il ignore la vie de Jésus-Christ, qu’il se met fort peu en peine d’apprendre ce qu’il a fait, ce qu’il a souffert pour nous sauver. Ce chrétien doit fort craindre que, n’ayant pas connu Jésus-Christ, ou que l’ayant mis en oubli, Il ne le rejette au jour du jugement avec ce reproche : « Je vous dis en vérité que je ne vous connais point. » (Mt 25,12) Il

Méditons donc sur la vie et les souffrances du Sauveur par le saint Rosaire, apprenons à le bien connaître et à reconnaître ses bienfaits, afin qu’il nous reconnaisse pour ses enfants et pour ses amis au jour du jugement.




La sagesse maternelle de Sainte Teresa de Calcutta

Certains détails de ma première rencontre avec sainte Teresa de Calcutta sont restés gravés dans ma mémoire. Sa taille, plus exactement son manque de taille, m’a particulièrement frappé. Toute petite et voûtée, elle semblait un peu frêle. Mais j’étais totalement convaincue que cette « petite » femme était une véritable force de foi, d’espérance et d’amour. Je savais que par la grâce de Dieu, elle était à l’origine d’incroyables transformations dans la vie des « plus pauvres des pauvres » partout dans le monde.

Mon cœur s’est dilaté de joie un matin d’été lorsque, juste après une messe à laquelle j’avais assisté avec les sœurs des Missionnaires de la Charité, Mère Teresa s’est approchée de moi. J’ai été immédiatement envahie par une paix incroyable.

L’infatigable servante des pauvres a pris le temps de me parler de mes enfants. Elle m’a demandé si ma fille Jessica (que je tenais étroitement serrée dans mes bras pour qu’elle se tienne sage!) était le « bébé qui chantait à la messe » (sans doute une façon polie de dire qu’elle avait remarqué mes allers-retours incessants à la messe avec ma petite fille agitée). Puis elle m’a dit : « Vos enfants ont beaucoup de chance d’avoir une famille ». Je me suis sentie obligée de lui dire que j’avais beaucoup de chance de les avoir. À l’époque, j’avais trois enfants sur terre et trois au ciel.

Quand j’étais enceinte de ma fille Mary-Catherine, j’avais dû être complètement alitée. Mère Teresa m’a dit de confier ma grossesse à risque à la Sainte Mère, avec ce conseil : « Remettez-vous entre les mains de notre Sainte Mère et laissez-la prendre soin de vous. Quand vous êtes triste ou troublée, dites-le-lui. Elle se montrera toute maternelle avec vous. Dites-lui souvent : ‘Marie, Mère de Jésus, faites que tout aille bien; Marie, Mère de Jésus, soyez une mère pour moi en cette heure’  ».

J’ai souvent prié cette prière ! Grâce à Dieu, Mary-Catherine a maintenant 20 ans.

Donna-Marie Cooper O’Boyle, 11 avril 2024

www.catholicreview.org




Medjugorje : message de la Vierge Marie du 25 juin 2024

Chers enfants,

Je me réjouis avec vous et je remercie Dieu qui m’a permis d’être avec vous pour vous guider et vous aimer.

Petits enfants, la paix est en danger et la famille est sous attaque.

Je vous appelle, petits enfants : revenez à la prière en famille ! Mettez les Saintes Écritures dans un endroit visible et lisez-les chaque jour.

Aimez Dieu par-dessus tout, afin que vous soyez bien sur la terre.

Merci d’avoir répondu à mon appel.




Ces célébrités attachées à la Vierge Marie : Laurent Voulzy

Il est passionné dès l’enfance par l’histoire du Moyen-Âge et par l’art gothique.

L’auteur de la chanson « Jésus », confie dans une interview au quotidien La Croix qu’entrer dans une cathédrale ou une petite église, y entendre les chants, le transforme intérieurement.

Face aux situations de la vie, le chanteur français prie Jésus et Marie tous les jours et en silence. C’est la « prière du cœur » qui est sa préférée : « Seigneur Jésus, aie pitié de moi ». Mais il prie « aussi la Vierge sans oublier des prières de son invention, qu’il répète depuis de longues années », confie-t-il.