« Celui qui désire le salut

trouve la mer inépuisable de la miséricorde du Seigneur »

Sainte Faustine

      La miséricorde est le mystère ultime du Cœur de Dieu : il s’est « ouvert » à l’infini pour nous tous sur la Croix. Cette blessure opérée par la lance du soldat romain (Jn 19,33-34) est la dernière et la plus bouleversante Parole du Père à travers le Cœur de son Fils crucifié. Il l’a voulue de toute éternité pour que pas un seul enfant de cette terre ne doute qu’il est aimé à l’infini…

Comment oublier ici la tendresse de Dieu à travers le regard et les larmes de Jésus face à la dureté de Jérusalem :

« Quand il fut proche, à la vue de la ville, il pleura sur elle, en disant : « Ah ! si en ce jour tu avais compris, toi aussi, le message de paix ! Mais non, il est demeuré caché à tes yeux… » (Lc 19,41-42)

Et Saint Matthieu précise ce véritable « cri maternel » du Cœur de Dieu :

« Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants à la manière dont une poule rassemble ses poussins sous ses ailes… et vous n’avez pas voulu ! » (Mt 23,37).

Cet Evangile a tiré des larmes à la petite Thérèse… et quand on prie à Jérusalem dans la chapelle de « Dominus flevit » (« Le Seigneur pleura »), on voit comme Jésus la ville sainte à travers les vitraux. Là, culmine la beauté et le drame de la Révélation : « Dieu est Amour ! » (1 Jn 4,16). Et quand l’Amour n’est pas aimé jusqu’à le crucifier de tant de manières dans l’histoire des hommes, ce cruel rejet génère une blessure secrète dans le Cœur de Dieu :

Elle se laissera voir dans son côté à la fin de sa Passion où « en transperçant le Cœur de Jésus, la lance du soldat a ouvert un grand mystère… car elle est allée plus loin que le Cœur du Christ, elle a ouvert Dieu, elle est passée pour ainsi dire, au milieu même de la Trinité[1] ! »

Ainsi, comme l’enfant perdu de la parabole, nous sommes tous appelés à nous approcher d’une Vérité qui nous échappe … Dès ses premiers pas de retour, il se découvre si « follement » aimé par « le Père des miséricordes » (2 Co 1,3) : « Tandis qu’il était encore loin, son père le vit et fut ému aux entrailles : il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers ! » (Lc 15,20).

Cette révélation de la miséricorde de Dieu est une vérité absolue offerte sans cesse à tout homme… c’est pourquoi le Démon déchaîne ici sa plus « violente » tentation sur chaque âme car il sait, lui qui la refuse éternellement, que la miséricorde du Christ « n’exclut personne : ni les pauvres, ni les riches. Car Dieu ne se laisse pas conditionner par nos préjugés humains, mais il voit en chacun une âme à sauver et il est spécialement attiré par celles qui sont considérées comme perdues et qui se considèrent comme telles[2]… »

C’est pourquoi le merveilleux Berger de l’Evangile part toujours à la recherche de la brebis perdue… en laissant sur place les 99 autres. Et quand il l’a retrouvée, son indicible joie est le fruit de sa miséricorde : « C’est ainsi, je vous le dis, qu’il y aura plus de joie dans le Ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes, qui n’ont pas besoin de conversion ! » (Lc 15,7).

Cela laisse entendre que la brebis perdue révèle l’indicible miséricorde du Cœur de Dieu que toutes les brebis doivent découvrir : en effet, éloignées ou apparemment plus près du Berger, toutes les brebis doivent être bouleversées par l’indicible miséricorde de Dieu ! Car en réalité, toutes les brebis sont « perdues » et sont sauvées par la miséricorde de Dieu crucifiée…

Tel est le mystère du salut universel par la foi en Jésus-Christ que Saint Paul proclame avec force : « Avant la venue de la foi, nous étions enfermés sous la garde la Loi, réservés à la foi qui devait de révéler… mais la foi venue, nous ne sommes plus sous un pédagogue. Car vous êtes tous fils de Dieu, par la foi, dans le Christ Jésus. Vous tous, en effet, baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ : il n’y a plus ni juif, ni grec ; il n’y a plus ni esclave, ni homme libre ; il n’y a plus l’homme et la femme ; car tous, vous ne faites plus qu’un en Jésus Christ ! Et si vous appartenez au Christ, vous êtes donc de la descendance d’Abraham, héritiers selon la promesse… » (Ga 3,23-29).

Comment oublier ici la réaction violente du fils ainé dans la parabole de l’enfant-prodigue : il se met en colère contre son père et considère comme un scandale le festin d’un tel accueil pour son frère pécheur : n’a-t-il pas dissipé l’héritage « avec des prostituées » et son père fait « tuer pour lui le veau gras ! » (Lc 15,30). On notera au passage que sa relation au père très extérieure et que, de fait, il se situe plus au niveau de la loi (Lc 15,9) que de l’amour. La relation filiale au père lui échappe…

Comprenons bien ici que la miséricorde n’efface, ni ne contredit la justice mais qu’elle est le feu imprévisible d’un amour mystérieux qui « dit » Dieu : secret unique de son Cœur, la miséricorde jaillit des profondeurs de la Très Sainte Trinité ! En la contemplant sur la Croix, qui pourra dire jusqu’où va la folle tendresse du Cœur de Dieu transpercé ?

En même temps, il faut ici éviter toute ambiguïté en notant « que la miséricorde de Jésus ne s’exprime pas en mettant la loi morale entre parenthèses. Pour Jésus, le bien est le bien, le mal est le mal. La miséricorde ne change pas l’aspect du péché, mais le brûle d’un feu d’amour… En Jésus, Dieu vient nous donner l’amour et nous demander l’amour[3] ! »

En pardonnant à la femme adultère que les pharisiens voulaient lapider, le Seigneur conclut par une invitation à sortir du péché pour vivre une vie nouvelle dans la lumière : « va, désormais ne pèche plus ! » (Jn 8,11). C’est l’invitation à vivre d’un nouvel amour dans la Lumière du Christ…

La miséricorde est la réalité ultime de la foi et elle est notre dernier rempart face aux ténèbres de la désespérance… Saint Benoît a écrit dans sa célèbre Règle cette recommandation finale : « Ne jamais désespérer de la miséricorde de Dieu ! » Et Syméon le Nouveau Théologien lui fait écho dans un texte unique dont le cri poignant traverse le temps :

« Tu connais ma misère… Tu vois ma faiblesse et mon infirmité, Toi qui m’as façonné, mon Dieu… Tu connais tout ! Regarde mon cœur humilié, regarde mon cœur contrit, regarde-moi qui m’approche de Toi dans le désespoir mon Dieu !… Ne tarde donc pas, Miséricordieux, ne détourne pas les yeux…

Dans ton Cœur je m’abrite, derrière ta pitié je me réfugie, c’est ton amour pour les hommes que je t’adresse comme intercesseur ! Je n’ai pas travaillé, je n’ai pas accompli les œuvres de la justice, jamais je n’ai gardé un seul de tes commandements… mais j’ai passé ma vie toute entière dans la débauche : pourtant, tu n’as pas détourné les yeux, tu m’as cherché et trouvé dans mon errance, tu m’as ramené de la route d’égarement… et sur tes épaules immaculées, jusqu’à la lumière de ta grâce, tu m’as soulevé, Ô Christ, tu m’as chargé, Ô Miséricordieux !… Je proclame ta pitié, je célèbre ta miséricorde, je m’émerveille et je rends grâce à la richesse de ta bonté[4] ! »

A la suite de ce cri bouleversant, puissions-nous laisser résonner à jamais en nos cœurs le chant de la Vierge bénie : « Sa Miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent ! » (Lc 1,50).

+M-Mickaël

 

[1] Cardinal Robert Sarah, Dieu ou rien, entretien sur la foi avec Nicolas Diat, Fayard, 2015, p.32.

[2] Pape Benoît XVI, Angélus, 31 octobre 2010.

[3] Benoît XVI, Homélie à Assise, 17 juin 2007.

[4] Syméon le Nouveau Théologien, Hymnes XLI, Sources chrétiennes 196.

PREMIÈRE DIZAINE

L’ excellence du saint Rosaire

dans son origine et Son nom.

(suite)

[5. ROSE]

[81] il n’y a [à] proprement parler qu’une sorte de confrérie du Rosaire composé de 150 Ave Maria ; mais par rapport à la ferveur des différentes personnes qui le pratiquent, il y en a de trois sortes, savoir : le Rosaire commun ou ordinaire, le Rosaire perpétuel et le Rosaire quotidien. La confrérie du Rosaire ordinaire n’exige qu’on le récite qu’une fois par semaine. Celle du Rosaire perpétuel qu’une fois par an, mais celle du Rosaire quotidien demande qu’on le dise tous les jours tout entier, c’est-à-dire 150 Ave Maria. Aucun de ces Rosaires n’engage à péché, pas même véniel, si on vient à y manquer, parce que cet engagement est tout à fait volontaire et de surérogation ; mais il ne faut pas s’enrôler dans la confrérie si on n’a pas la volonté déterminée à le réciter selon que la confrérie le demande autant qu’on le pourra sans manquer aux obligations de l’état. Ainsi lorsque la récitation du saint Rosaire se trouve en concurrence avec une action à laquelle l’état engage, on doit préférer cette action au Rosaire, quelque saint qu’il soit. Lorsque dans la maladie on ne peut le dire ni tout entier ni en partie, sans augmenter son mal, on [n’] y est pas obligé. Lorsque par une obéissance légitime, ou par un oubli involontaire, ou par une nécessité pressante, on [n’] a pu le dire, il n’y a aucun péché, même véniel ; on ne laisse pas de participer aux grâces et aux mérites des autres frères et sœurs du saint Rosaire qui le disent dans le monde.

Chrétien, si vous manquez même de le dire par pure négligence, sans aucun mépris formel, vous ne péchez pas aussi, absolument parlant, mais vous perdez la participation des prières et des bonnes œuvres et mérites de la confrérie, et par votre infidélité en choses petites et de surérogation, vous tomberez insensiblement dans l’infidélité aux choses grandes et d’obligation essentielle ; car : Qui spernit modica paulatim decidet [1].

 

[1] Si 19, 1 : Qui méprise les riens peu à peu s’appauvrit.

Pour lire l’introduction et consulter le plan de l’ouvrage de Grignion de Montfort, cliquer ici.

Trevignano Romano, 3 mars 2024

Enfants bien-aimés, merci d’être ici en prière et de vous agenouiller dans ce lieu béni.

Enfants, je vous le demande en ce moment où il y a tant de changements autour de vous : ayez confiance, faites confiance à Jésus !

Enfants, seul Dieu peut vous donner la paix dans un monde si troublé par les guerres, les mensonges et les injustices. Encore une fois, je vous demande de faire confiance à Celui qui est mort pour votre salut.

Criez aussi depuis cette colline, pour suivre l’Évangile ! Rien que la voix de l’Évangile. Je suis avec vous, n’ayez pas peur.

Maintenant je vous bénis, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

Dans une lettre adressée au pape François et à tous les évêques,

Mgr Strickland a exhorté l’Église à « résister aux voix » qui nous appellent à « abandonner la vérité que Jésus-Christ a proclamée ».

(LifeSiteNews) — Le texte suivant est le suivant texte complet d’une lettre sacerdotale du 29 février écrite par l’évêque émérite de Tyler, Texas, Joseph Strickland.

jeu Fév 29, 2024 – 9:48 am EST

Mes chers frères évêques, 

« Ce qui était dès le commencement… »

1 Jn 1,1

 

Voici que nous allons approcher la beauté mystérieuse de l’Apôtre le plus contemplatif et le plus intime de Jésus, au point d’avoir reposé, si souvent, sur sa poitrine… comme pour écouter battre l’Amour du Cœur de Dieu ! (Jn 13,25).  En effet, « Saint Jean reposait sur le sein du Seigneur comme le Seigneur reposait sur le sein de son Père. Cette inoubliable formule, qu’Origène frappa au coin de son génie, proclame la splendeur de l’acte théologique : il est communion au mystère du Dieu vivant, contemplation de son Visage en Jésus-Christ[1]… »

C’est dans cette perspective que nous allons entrer ici dans la méditation des prières quotidiennes à Saint Jean Apôtre. On les retrouve dans notre « Livre de vie[2]» : là, nous est proposé pour chaque jour un texte à la fois évangélique, contemplatif et marial. Laissons résonner en nos cœurs celui du lundi :

« O Saint Jean, Apôtre bien-aimé du Seigneur, (Ap 1,9),

dès le commencement, (Jn 1,1-2 / 1 Jn 1,1-4),

tu fus saisi à jamais par le Regard du Maître… (Jn 1,35-39 / Ap 1,14)

Toi qui reposas si souvent sur sa poitrine… (Jn 13,25)

Toi qui contemplas, près de Notre Dame des larmes,

le mystère insondable de son Cœur ouvert sur la Croix… (Jn 19,25-37)

Par l’intercession de Marie, notre Mère, (Ac 1,14 / Jn 2,1-5)

aide-nous à accueillir, jour après jour,

« l’onction du Saint-Esprit » … (1 Jn 2,18-28)

Fais grandir en nous la certitude de la foi (Lc 18,8)

que « Dieu est Amour » … (1 Jn 4,7-16)

lui qui est « plus grand que notre cœur » (1 Jn 3,20)

et nous connaît en sa Miséricorde … (Jn 21,15-17)

Jean est le « bien-aimé » du Seigneur ! Apôtre particulièrement contemplatif, il laisse deviner son intimité la plus continuelle possible avec ce Dieu qui lui a révélé son Visage et son Cœur… et à travers une mission plus effacée qu’un Pierre ou un Paul, il est cependant un des visages éminent du Collège des douze : « Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru : Dieu est Amour ! » (1 Jn 4,16). Tel est le regard de foi d’une Eglise qui se découvre aimée… Tout part d’une puissance baptismale cachée dans le cœur face à « l’esprit de l’Antichrist » (1 Jn 4,3) : « Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu et vous les avez vaincus. Car Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde ! » (1 Jn 4,4).

1. « Dès le commencement… »

L’Evangile rapporte deux approches johanniques du « commencement » :

Le premier commencement est historique. Il se dévoile à la première rencontre avec Jésus après le regard et la parole mystérieuse de Jean-Baptiste qui n’a pas échappé à l’Apôtre : « Regardant Jésus qui passait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu ! » (Jn 1,29). A cet instant, la vie de Jean va « basculer » à jamais avec celle d’André, le frère de Simon-Pierre : « Les deux disciples entendirent ses paroles et suivirent Jésus… et ils demeurèrent auprès de Lui ce jour-là. » (Jn 1,37-39). C’est cette première rencontre Unique que décrit Jean avec bouleversement au prologue de sa première Epître : un véritable credo que l’on peut répéter inlassablement en entrant peu à peu dans le regard contemplatif de l’Apôtre bien-aimé…

« Ce qui était dès le commencement,

ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux,

ce que nous avons contemplé,

ce que nos mains ont touché du Verbe de vie ;

car la Vie s’est manifestée…

Nous l’avons vue, nous en rendons témoignage

et nous vous annonçons cette Vie éternelle,

qui était tournée vers la Père et qui nous est apparue… »

(1 Jn 1,1-2)

L’autre commencement de Jean nous projette dans l’éternité au cœur de l’origine de tout. On entre là dans une contemplation unique de la foi qui invite au silence, à la profondeur… car l’Apôtre n’aurait jamais pu écrire de telles lignes sacrées s’il n’avait découvert en Jésus, « le Verbe fait chair » (Jn 1,14), le seul Seigneur et Médiateur entre Dieu et les hommes : « Nul n’a jamais vu Dieu ; le Fils unique qui est dans le sein du Père, nous l’a dévoilé ! » (Jn 1,18). Et c’est de là que Jean se situe pour nous révéler le mystère de la vie de Dieu :

 

« Au commencement était le Verbe

et le Verbe était tourné vers Dieu

et le Verbe était Dieu.

Il était au commencement tourné vers Dieu ! »

(Jn 1,1-2)

Quand on fait référence « au commencement », on pourrait choisir ici de préférer « au Principe » car en fait, « il n’y a pas de commencement… Nous sommes ici à l’origine, à la Source, de toute éternité jaillissante, en deçà de tout commencement, c’est-à-dire de toute création dans le temps[3] » comme l’indique Saint Jean juste après[4]. Nous sommes ici face au mystère éternel tel que l’indiquait déjà le Siracide dans l’éloge de la Sagesse (Si 24,1-9) ou le Livre des Proverbes de Salomon :

« Dès l’éternité, je fus établie,

dés le principe, avant l’origine de la terre…

Avant que fussent implantées les montagnes,

avant les collines, je fus enfantée ;

avant qu’il eût fait la terre

et les premiers éléments du monde.

Quand il affermit les cieux, j’étais là…

J’étais à ses côtés comme le maître d’œuvre,

je faisais ses délices, jour après jour,

m’ébattant tout le temps en sa présence… »

(Pr 8,23-30)

C’est en ce sens qu’un Père de l’Eglise affirme : « Avant le principe, il n’y a rien. Il n’existe pas de commencement du Principe. Si donc le Fils était au principe, on doit conclure qu’Il n’a pas commencé d’exister dans le temps, mais qu’Il EST de toute éternité avec le Père. C’est pourquoi Isaïe a dit : « Sa génération, qui la racontera ? Sa vie échappe à la terre[5] » (Is 53,8).

 

+ Marie-Mickaël

_____________________________________________________

Notes :

[1] Marie-Joseph Le Guillou, o.p. Préface du livre d’André Feuillet, Le Prologue du quatrième Evangile, DDB 1968, p. 7.

[2] Livre de vie pour les derniers temps, Communion de Refuges du Cœur Immaculé de Marie, Coollibri 2023, p.148 à 151. On peut télécharger l’ensemble du « Livre de vie » sur https.//refugedemarie.fr

[3] Bible Chrétienne, II Commentaires, p.6, Editions Anne Sigier,1988, p.6.

[4] « Tout fut par Lui, et sans Lui rien ne fut ! Ce qui fut en Lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes !» (Jn 1,3-4).

[5] Saint Cyrille d’Alexandrie, Sur Jean 1,1 / Patrologie grecque 73,25.

PREMIÈRE DIZAINE

L’ excellence du saint Rosaire

dans son origine et Son nom.

(suite)

4e ROSE

[18] Comme toutes choses, même les plus saintes, quand particulièrement elles dépendent de la volonté des hommes, sont sujettes aux changements, il ne faut pas s’étonner si la confrérie du saint Rosaire n’a subsisté en sa première ferveur qu’environ cent ans, après son institution ; ainsi, elle a été presque ensevelie dans l’oubli. Outre que la malice et l’envie du démon a sans doute beaucoup contribué à faire négliger le saint Rosaire pour arrêter le cours des grâces de Dieu que cette dévotion attirait au monde. En effet, la justice divine affligea tous les royaumes de l’Europe l’an 1349 de la plus terrible peste que l’on ait jamais vue, laquelle, du levant, se répandit dans l’Italie, l’Allemagne, la France, la Pologne, la Hongrie, et de là presque toutes ces terres, furent dévastées, car de cent hommes à peine en restait-il un en vie ; les villes, les bourgs, les villages et les monastères furent presque entièrement désertés pendant trois ans que dura cette contagion. Et ce fléau de Dieu fut suivi de deux autres : de l’hérésie des Flagellants et d’un malheureux schisme en 1376.

[19] Après que, par la miséricorde de Dieu, ces misères eurent cessé, la sainte Vierge ordonna au bienheureux Alain de la Roche, célèbre docteur et fameux prédicateur de l’Ordre de saint Dominique du couvent de Dinan en Bretagne, de renouveler l’ancienne confrérie du saint Rosaire, afin que, comme cette célèbre confrérie avait pris naissance en cette province, un religieux de la même province eut l’honneur de la rétablir. Ce bienheureux Père commença à travailler à ce grand ouvrage l’an 1460, après particulièrement que Notre-Seigneur Jésus-Christ, comme il rapporte de lui-même. Lui ayant dit un jour dans la sainte Hostie, lorsqu’il célébrait la sainte Messe, afin de le déterminer à prêcher le saint Rosaire : « Quoi donc, lui dit Jésus-Christ, tu me crucifies encore derechef ! – Comment, Seigneur ? Répondit le bienheureux Alain tout épouvanté. – Ce sont tes péchés qui me crucifient. lui répondit J.-C ,  et j’aimerais mieux être crucifié encore une fois que de voir mon Père offensé par les péchés que tu as autrefois commis. Et tu me crucifies encore à présent, parce que tu as la science et ce qui est nécessaire pour prêcher le Rosaire de ma Mère et par ce moyen instruire et retirer plusieurs âmes du péché ; tu les sauverais et tu empêcherais de grands maux ; et ne le faisant pas, tu es coupable des péchés qu’ils commettent. » Ces terribles reproches firent résoudre le bienheureux Alain de prêcher incessamment le Rosaire.

 [60] La Sainte Vierge lui dit aussi un jour, pour l’animer de plus en plus à prêcher le saint Rosaire : «  Tu as été un grand pécheur en ta jeunesse mais j’ai obtenu de mon fils ta conversion, j’ai prié pour toi et j’ai désiré, s’il eût été possible toutes sortes de peines pour te sauver parce que les pécheurs convertis sont ma gloire, et pour te rendre digne de prêcher partout mon Rosaire. » Saint Dominique, lui découvrant les grands fruits qu’il avait faits parmi les peuples par cette belle dévotion qu’il leur prêchait continuellement, lui dit : « Voyez le fruit que j’ai fait par la prédication du saint Rosaire ; faites-en de même, vous et tous les autres qui aimez la sainte Vierge, afin que vous attiriez par ce saint exercice du Rosaire, tous les peuples à la véritable science des vertus. »

Voilà en abrégé ce que l’histoire nous apprend de l’établissement du saint Rosaire par saint Dominique et de sa rénovation par le bienheureux Alain de la Roche.

partout.

 

Pour lire l’introduction et consulter le plan de l’ouvrage de Grignion de Montfort, cliquer ici.

Illustration : Bienheureux Alain de la Roche.

Notes : Né dans les Côtes d’Armor, le Bx Alain (1428-1475) fut un grand prédicateur dominicain. Il parcourut la France, l’Allemagne, les Pays Bas pour développer la dévotion du chapelet et fonder des confréries du Rosaire. C’est lui qui coordonne le chapelet et l’enrichit en y ajoutant les méditations de la vie de Jésus et de Marie. Il l’appelle le rosaire parce qu’il ressemble à un bouquet de roses qu’on dépose aux pieds de la Vierge. Il est fêté le 9 septembre.

« Chers enfants !

Priez et renouvelez votre cœur pour que le bien que vous avez semé porte un fruit de joie et de communion avec Dieu.

L’ivraie s’est emparée de nombreux cœurs et ils sont devenus stériles ; c’est pourquoi vous, petits enfants, soyez lumière, amour et mes mains tendues dans ce monde qui languit après Dieu qui est amour.

Merci d’avoir répondu à mon appel. »

Prier le chapelet a toujours été une corvée et surtout j’avais de grandes réserves ne comprenant pas que prier les saints et la Vierge ce n’est pas faire offense à Dieu, bien au contraire. Pas de jalousie au Ciel. Tout le monde s’aime en Dieu, uni à Dieu.
J’avais néanmoins expérimenté la force du chapelet dans quelques situations complexes et avais été stupéfait de ses effets.

Actuellement je traverse une période d’épreuves hallucinantes que je découvre être en lien avec des malédictions et de la magie et qui à mon sens ne peuvent donc résulter que d’une attaque en règle du démon qui s’en prend avec acharnement à ma famille.

Et ce matin j’ai reçu l’appel, dans mon cœur, à m’appuyer sur cette arme qu’est le chapelet et que j’ai alors récité avec facilité et joie. Joie de savoir que le pécheur que je suis n’est pas abandonné de Dieu, de découvrir que le rosaire est la prière offerte aux pécheurs même les plus endurcis, et que la Victoire m’attend au bout de toutes ces épreuves que je confie au Seigneur.
J’ai d’ailleurs parfaitement conscience que ces épreuves sont un temps de grâce que Dieu m’offre pour m’apprendre à Le prier et à Lui faire confiance.

Témoignage d’Azarias. 20 mai 2017

Source : www.rosary-world.com

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
19 FÉVRIER 2024

Enfants bien-aimés, recevez Ma Bénédiction.

Petits enfants bien-aimés,

CONTINUEZ SUR LA VOIE DU CHANGEMENT INTÉRIEUR, CHEMIN DE CONVERSION. CONFIEZ-VOUS À MOI ET À MA TRÈS SAINTE MÈRE, QUI VOUS PROTÈGE À TOUT MOMENT.

Soyez des créatures de bien et de bénédiction pour tous vos frères et sœurs, rayonnant Mon Amour en ce moment où le manque d’amour est présent dans les cœurs comme un parasite.

Mes enfants, vous devez vous préparer afin que, dans les moments urgents que vous devrez vivre à cause de la désobéissance de l’humanité, vous puissiez éloigner de vous les pièges et les peurs et affronter tout ce qui vient avec la foi. Donnez de l’assistance à vos semblables afin qu’ils ne tombent pas dans le désespoir et n’agissent pas à la hâte.

Le Ciel semblera brûler, avançant de pays en pays, puis il s’assombrira ; ne bougez pas à ce moment-là, restez où vous êtes et offrez-vous à Moi, reconnaissez vos fautes et priez, priez. (cf. Mt. 26, 41 ; cf. Lc.21, 36)

Bien-aimés, Mon Corps Mystique souffrira de m’avoir aimé « en esprit et en vérité » (Jn. 4, 23) ; vous souffrirez non seulement de la persécution, mais de la douleur de vivre le mépris que m’apporteront Mes enfants et ceux de Mes enfants d’autres croyances qui entreront dans Mes Églises afin de me profaner.

JE SOUFFRE, MES ENFANTS, JE SOUFFRE FACE À TANT D’OFFENSES, FACE À TANT DE PROFANATION DE CE QUI EST SACRÉ !

Chers enfants,

MON ANGE DE PAIX BIEN-AIMÉ, MON ENVOYÉ BIEN-AIMÉ, VIENDRA VOUS AIDER. Cette créature de Ma Maison viendra vers vous pour vous montrer le véritable Amour ; Mon Amour dont il a bu et dont son esprit s’est nourri afin de le donner à l’humanité qui, ne le reconnaissant pas, le détestera et même en le reconnaissant, ne l’acceptera pas.

Ils le soumettront à de grandes épreuves, ils lui feront du mal et le persécuteront sur ordre de l’Antéchrist. Mon bien-aimé Saint Michel Archange le protégera et le défendra avec Son Bouclier. Mon Ange de Paix, Mon Envoyé arrivera pour se donner à chacun qui souhaite l’écouter et retrouver le chemin de Ma Maison.

J’ai anticipé la venue de Mon Messager dans une Invocation Mariale très reconnue et il n’a pas encore été retrouvé faute de s’ouvrir aux révélations. Il sera suivi par des femmes de foi et un groupe de Mes enfants de foi qui verront des prodiges ; ils le respecteront et l’aimeront. Sa Parole vient de Ma Maison, son signe distinctif sera Mon Amour.

Petits enfants, MÛRISSEZ SPIRITUELLEMENT !

L’apostasie dans Mon Église est imminente. Le Diable sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps et il s’efforce de présenter l’idolâtrie, les mensonges et la fausseté à Mes enfants pour les confondre et ainsi augmenter son butin d’âmes.

C’EST UN TEMPS DE PRÉPARATION AU MILIEU DE LA DOULEUR DE CE CARÊME. C’EST UN MOMENT DE FORCE SPIRITUELLE À TRAVERS LA FOI, L’ESPÉRANCE ET LA CHARITÉ.

Sans oublier que vous devez remplir vos mains de bonnes œuvres, n’oubliez pas d’accomplir ces bonnes œuvres avec l’illumination de Mon Esprit-Saint et de la foi de ceux qui M’aiment. Je vous appelle à être sages au niveau spirituel et à connaître Ma Parole (cf. Jn. 5, 39), car Je ne veux pas d’une sagesse païenne, mais une sagesse centrée sur Ma Parole, qui est et sera pour les siècles des siècles (cf. Mt. 24, 35).

Priez, Mes enfants, priez pour les pays qui subiront des tremblements de terre, parmi lesquels : l’Argentine, la Basse-Californie, le Costa Rica, le Brésil, l’Angleterre, le Mexique, le Nicaragua.

Priez, Mes enfants, priez pour vos frères et sœurs, pour ceux qui, tout en étant innocents, sont emmenés à la guerre.

Priez, Mes enfants, priez concernant ceux qui tomberont dans les Balkans, jetant l’humanité dans la consternation.

Priez, Mes enfants, priez les uns pour les autres.

Pendant le Carême, restez en alerte spirituelle :
Qu’une personne soit l’épaule de son frère…
Qu’une autre soit la main de son frère…
Une autre la charité…
Une autre l’amour du prochain…
Qu’une autre soit la parole qui donne de la force…
Qu’une autre soit la main qui relève celui qui est tombé…

Priez à temps et à contretemps.

Le mal ne s’arrête pas et Mes enfants s’attardent sur des absurdités. Accueillez les épreuves avec amour et continuez sur le chemin avant que le Diable ne vous arrête.

Mes bien-aimés, vous n’êtes pas seuls : n’ayez pas peur, mais ayez peur de faire le mal.

Vous êtes Mes enfants bien-aimés et Je vous regarde avec Amour, avec de l’Amour Éternel.

Je vous bénis.

Votre Jésus

 

 MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
15 FÉVRIER 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé, je vous bénis.

JE VOUS INVITE À LA CONVERSION, À ÊTRE PLUS PRÈS DE MON DIVIN FILS.
DÉTOURNEZ-VOUS DES CHOSES DU MONDE ET DU PÉCHÉ.

Vous savez bien, petits enfants, que tout ce que j’ai révélé au fil du temps sont des révélations qui s’accomplissent peu à peu, et qu’à un moment où l’humanité est plus éloignée que jamais de Mon Divin Fils, ces révélations s’accompliront si le genre humain ne se convertit pas.

Ce qui est soumis à la réponse de l’homme tombera en tant que purification sur l’humanité si elle ne répond pas à la Volonté Divine, et ce qui est soumis à la réponse de l’homme en priant et en faisant le bien est entre les mains de l’homme. Si l’homme obéit, la Prophétie sera minimisée ou la Très Sainte Trinité l’éliminera.

Si vous répondez en tant qu’humanité en vous convertissant en ce moment où Mes enfants – tous Mes enfants, doivent prier fortement, les Chœurs Angéliques viendront vers vous pour vous protéger.

Je vous invite à prier, Mes enfants, pour que les prêtres fassent un appel fort à la prière en cette période de Carême, qu’ils appellent à la conversion tant d’enfants de Mon Divin Fils qui sont si loin de Lui et l’offensent constamment.

Tout cet éloignement est dû aux embûches du Diable et de ses légions qui planent sur les êtres humains en les tentant constamment, afin qu’ils tombent et se détournent de Mon Divin Fils.

Mes petits enfants, le Diable est en train d’empoisonner les cœurs : les cœurs de Mes enfants, les cœurs des enfants de Mon Divin Fils, par les pièges placés sur leur chemin afin qu’ils deviennent aigris et méprisent Mon Divin Fils, afin qu’ils méprisent leur prochain ainsi que tout ce qui signifie le Divin.

Tous les pièges ne viennent pas du mal, mes enfants ; il y a des pièges tendus par les hommes eux-mêmes, qui utilisent la science pour le mal et l’utilisent pour détruire l’humanité. Vous devez apprendre à discerner, mes enfants, à discerner, car la Volonté de Dieu est de plus en plus bâillonnée pour que les enfants de Mon Divin Fils œuvrent et agissent contre la Divine Volonté.

Mes petits enfants,

CE QUI VIENT SERA EXTRÊMEMENT FORT ; VOUS NE POUVEZ NI L’IMAGINER NI LE CONCEVOIR. LAISSEZ CELA ENTRE LES MAINS DIVINES ; VOUS DEVEZ PLUTÔT VOUS EFFORCER DE TRANSFORMER VOTRE VIE, DE VOUS CONVERTIR, MES ENFANTS, D’AIDER VOS FRÈRES ET SOEURS, DE QUITTER L’ÉGOÏSME, LA VANITÉ PERSONNELLE ET D’ALLER VERS VOTRE PROCHAIN
SANS QU’IL NE LE DEMANDE.

Mes enfants bien-aimés, recevez Mon Divin Fils, allez à la célébration Eucharistique et recevez Mon Divin Fils, après avoir d’abord confessé vos péchés.

Petits enfants, les problèmes des pays augmentent de jour en jour, la guerre est inéluctable, petits enfants, et c’est pourquoi Je vous appelle à prier pour tous les pays qui sont impliqués dans la guerre en ce moment.

JE VOUS APPELLE À VOUS PRÉPARER À TOUT CE QUI VOUS ATTEND, MAIS SOUVENEZ-VOUS QUE VOUS N’ÊTES PAS SEULS, MES ENFANTS, car Je vous aime, car vous êtes les enfants de Mon Divin Fils, car Mon Fils sait ce dont chacun a besoin, ce que chacun demande.  Je vous le répète, Mes enfants – oui, Mes enfants : allez de l’avant afin d’être saints, fixez-vous des objectifs réalisables, car chaque bataille gagnée est une perle précieuse que vous placez dans la Couronne de Mon Divin Fils.

Soyez amour, Mes enfants, soyez amour et tout le reste vous sera donné de surcroît ; que chaque effort de conversion soit teinté d’amour, alors tout deviendra plus facile pour vous.

QUARANTE JOURS EN CHEMIN VERS LA RÉSURRECTION, EN MARCHANT VERS UNE NOUVELLE VIE, MES ENFANTS – NOUS, MON FILS ET CETTE MÈRE, NOUS VOUS Y ATTENDONS DANS LA JOIE, CAR NOUS SAVONS QUE VOUS, MES ENFANTS, VOUS PARVIENDREZ À LA CONVERSION.

Je vous aime, petits enfants ; Je vous préviens et vous savez bien ce qui va arriver, parce que vous connaissez les prophéties, mais certains de Mes enfants ne connaissent des prophéties que ce qui les intéresse le plus, et ce qu’ils ont peut-être laissé de côté, c’est le Grand Châtiment (1) qui va s’abattre sur l’humanité, et ce qu’ils ont laissé de côté, c’est peut-être ce qu’ils sont en train d’affronter en ce moment.

Mes enfants, sachez que vous vivrez dans la douleur, car cette génération ne répond pas à la Volonté Divine, mais tourne le dos à Mon Divin Fils, et c’est par la purification que vous reviendrez à la recherche de Mon Divin Fils, et vous pourrez finalement vivre le Ciel par anticipation et jouir du sacrifice fait en ce moment.

Priez et offrez : faites réparation, Mes enfants.

Je vous aime et parce que Je vous aime, Je vous prie de ne pas chercher les révélations par curiosité, mais de vous préparer, surtout spirituellement.

(Puisque 106 frères et sœurs sont en train de prier, Notre Mère nous demande 🙂

Je vous prie de lever vos sacramentaux, vos chapelets, vos armes de défense spirituelle. En tant que Mère de Mon Divin Fils et étant chargée en ce moment de vous transmettre la Parole, la Volonté Divine, Je bénis vos sacramentaux afin qu’ils puissent être utilisés comme armes de défense spirituelle contre l’ennemi de l’âme, pour qu’ils soient une défense contre le Diable et ses suppôts, pour que ces sacramentaux que Je bénis vous encouragent à continuer à avancer sur le chemin du bien et greffent en chacun de vous l’amour et la disposition nécessaires pour que vous restiez prêts à lutter pour la Vie Eternelle.

Mes enfants, que vos chapelets en particulier aient cette bénédiction dont tant de Mes enfants ont besoin en ce moment. Que tous ceux qui embrassent ce chapelet ressentent la douceur et l’amour de cette Mère à tout moment et apporte la paix à ceux qui le portent et à ceux qui embrassent ce Saint Rosaire.

Je vous bénis, Mes petits enfants bien-aimés, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et que la paix de la Très Sainte Trinité soit en vous, et dites avec Moi :

« Ô Dieu, crée en moi un cœur pur, renouvelle-moi intérieurement avec un esprit ferme. Ne me rejette pas loin de Ta face, ne me retire pas Ton Esprit Saint. » (Ps. 50 (51), 10-12).

Demeurez dans la paix de Mon Divin Fils.  Amen.

Maman Marie

 

 MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
13 FÉVRIER 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé, recevez Ma Bénédiction Maternelle.

EN TANT QUE REINE ET MÈRE DE L’HUMANITÉ, IL EST DE MON DEVOIR DE FAIRE EN SORTE QUE VOUS RESTIEZ ATTENTIFS AUX COMMANDEMENTS DE MON DIVIN FILS.

Vous savez que la conversion est urgente et pourtant, Mes enfants ne veulent pas se convertir. L’intérêt humain se porte sur le péché, qui vous présente continuellement des expériences inconnues et totalement en dehors de ce que ferait un véritable enfant de Dieu.

Enfants de Mon Divin Fils, Vous allez commencer le Carême ; considérez si vous aurez un autre moment comme le moment actuel pour que les portes de l’Amour Divin s’ouvrent comme maintenant – ce sera difficile après.

Mes enfants, le temps du Carême est le temps de la repentance pour toutes les œuvres et actions qui non pas été conformes aux Commandements de la Loi de Dieu, aux Sacrements, aux Œuvres de Miséricorde et autres fins pieuses auxquels Mon Divin Fils vous a appelés.

EN CE CARÊME EN PARTICULIER, VOUS DEVREZ ÊTRE DES CRÉATURES DÉDIÉES À LA PRIÈRE DU COEUR.

Vous devez être des créatures nouvelles, des créatures du bien : prenez conscience de vos mauvaises habitudes et de vous manquements envers vos frères et sœurs. Libérez-vous des pièges du Diable (cf. Eph. 6, 11-18) et ainsi vous vous verrez tels que vous êtes.

En ce Carême en particulier, vous devez être clairs sur le fait que l’Amour de Dieu et du prochain ne sont pas deux choses, mais une seule loi (Mt. 22, 37-40) et que celui qui ne respecte pas cette loi est en état de péché grave.

Priez, Mes enfants, priez pour ceux qui vivent avec du ressentiment dans leur cœur, pour ceux qui prennent la vie de leurs frères et sœurs, pour ceux qui diffament leurs frères et sœurs, pour ceux qui tuent des innocents. Ces personnes qui sont Mes enfants sont en danger d’être piégés par les démons qui rôdent autour des êtres humains.

Priez, Mes enfants, priez pour la jeunesse pour que les jeunes retrouvent la raison et que le cœur de pierre redevienne chair. Le malin veut exterminer la jeunesse.

Priez, Mes enfants, priez pour les dirigeants des nations ; à cause de leur arrogance, ceux qui possèdent des armes nucléaires les utilisera, détruisant ainsi une partie de l’humanité.

Priez, Mes enfants, priez en tant que Corps Mystique de l’Église et continuez ainsi selon les Enseignements de Mon Divin Fils, en restant fidèles aux Enseignements du véritable Magistère.

Priez et repentez-vous, enfants de Mon Divin Fils ; priez pour ceux qui souffriront à cause des événements naturels graves.

Priez pour ceux qui feront des attentats.

Priez pour ceux qui ne respectent pas la Naissance, Passion, Mort et Résurrection de Mon Divin Fils Jésus-Christ.

Mes enfants bien-aimés, en ce Carême, ceux qui peuvent jeûner devraient jeûner de la nourriture ; sinon, offrez un autre jeûne. Soyez charitables envers ceux qui en ont besoin. « Aimez vos prochains comme vous-mêmes » (Galates 5, 14).

Mes enfants bien-aimés, vivez préparés spirituellement comme si chaque jour était le dernier. Préparez-vous et nourrissez votre foi !

COMMENCEZ CE MERCREDI DES CENDRES AVEC PLEINE FOI, VIVANT DANS L’AMOUR DIVIN, EN ÉTANT DES CRÉATURES NOUVELLES.

La terre continuera de trembler et la nature fera des ravages. L’être humain causera beaucoup de douleur.

Soyez ceux qui prient et faites réparation pour ceux qui n’aiment pas et qui font de la peine à Mon Divin Fils.

EN COMMENÇANT CE CARÊME SPÉCIAL, JE VOUS BÉNIS D’UNE MANIÈRE SPÉCIALE. MON AMOUR EST UNE PROTECTION POUR CHACUN DE VOUS.

Maman Marie

 

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
9 FÉVRIER 2024

 

Bien-aimés de la Très Sainte Trinité,

JE SUIS ENVOYÉ POUR VOUS BÉNIR ET POUR APPORTER LA PAIX À CEUX QUI MANQUENT DE PAIX, POUR APPORTER L’AMOUR À CEUX QUI VEULENT AVOIR DE L’AMOUR, ET JE LE FERAI !

La foi est indispensable (cf. Jn. 14,1; cf. Mt. 17,20) chez l’être humain pour que vous soyez fortifiés en ces temps derniers où, faisant partie de l’humanité, VOUS ALLEZ VIVRE UNE PÉRIODE APOCALYPTIQUE AUX MAINS DE CEUX QUI VEULENT REMPLACER NOTRE ROI ET SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST.

Le moment est venu où, en tant que Corps Mystique du Christ (cf. I Cor. 12, 27), vous souffrirez et serez purifiés afin de briller par la suite comme les pierres les plus précieuses, au nom de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ et au nom de Notre Reine et Mère des Derniers Temps.

Enfants de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère des Derniers Temps,

VOUS ÊTES DÉJÀ AU DÉBUT DES TEMPS DE FAMINE, C’EST POURQUOI JE VOUS AI APPELÉS À SEMER.

Priez, les enfants, priez : la Corée du Nord répandra  soudainement la douleur sur l’humanité.

En tant qu’humanité en train de chanceler, vous serez testés dans tous les domaines, vous passerez par le tamis. Que ceux qui doivent se purifier le fassent de leur plein gré. Vous êtes nombreux à lire ou entendre cet Appel sans en prendre note, sentant que cet appel n’est pas pour vous, agissant comme les Pharisiens ! Combien croient, par orgueil, qu’ils savent tout, et pourtant, vous serez finalement testés en amour (cf. I Cor. 13,13), plutôt que par rapport à la connaissance !

Bien-aimés de la Très Sainte Trinité, le soleil s’assombrira et le froid sur terre sera cruel pour l’humanité ; certains d’entre vous ne le supporteront pas.

À CE MOMENT-LÀ, LES ÂMES DE CEUX QUI ONT ÉTÉ AMOUR, PAIX, ESPÉRANCE ET CHARITÉ POUR LEURS FRÈRES ET SŒURS SERONT ÉCLAIRÉES. Vous devez donc grandir dans l’amour, la foi et la charité afin que le Soleil Divin illumine la vie de ceux qui sont restés disposés à être plus près de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère que des choses du monde.

Les nuits seront longues et tortueuses pour ceux qui ont marché seuls sans Notre Roi et Seigneur dans leur cœur et en désobéissant à Notre Reine et Mère.

POUR LE CORPS MYSTIQUE DU CHRIST, LA SOUFFRANCE AUGMENTERA À CAUSE DES OBSTACLES QU’ON VOUS METTRA SUR LE CHEMIN, À CAUSE D’UNE SPIRITUALITÉ NOUVELLE QUE VOUS NE POURREZ PAS SUIVRE SANS SENTIMENT DE CULPABILITÉ. C’EST LE CHEMIN DE LA PERSÉCUTION, DE LA CROIX, DES CHUTES, DE LA FLAGELLATION ; C’EST LE CHEMIN VERS LA DOULEUR DU CORPS MYSTIQUE.

Enfants de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère, la guerre n’est pas loin ; la guerre déclenchera le plus grand supplice pour l’humanité.

CEPENDANT, TOUT N’EST PAS DOULEUR POUR LE CORPS MYSTIQUE DU CHRIST : la nourriture du Ciel vous attend, la plénitude des Dons du Saint-Esprit, l’amour inconditionnel de Notre Reine et Mère ; la satisfaction vous attend d’avoir rempli vos devoirs en tant qu’enfants de la Très Sainte Trinité, d’avoir cru et maintenu la foi.

Priez, enfants de la Très Sainte Trinité, priez avec urgence, priez avec persévérance, priez avec votre cœur.

Priez, enfants de Notre Reine et Mère, priez pour que dans l’obscurité vous puissiez voir sans lumière grâce à vos fruits de bien et d’amour pour le prochain.

Priez, priez à temps et à contretemps pour avoir de la force spirituelle en chacun de vous.

Priez, enfants de la Très Sainte Trinité, priez pour l’Argentine, qui souffrira sévèrement. Priez pour le Chili, priez pour le Japon.

Je vous bénis en tant que Défenseur du Trône du Père.

Saint Michel Archange

 

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST
À LUZ DE MARIA
5 FÉVRIER 2024

 

Mes enfants bien-aimés, recevez Mon Amour Divin pour chaque être humain.

MON AMOUR NE S’ARRÊTE PAS, IL RESTE ACTUEL, GRANDISSANT DE PLUS EN PLUS POUR LE BIEN DE TOUS.

Mes bien-aimés,

VOUS ÊTES MON GRAND TRÉSOR, C’EST POURQUOI JE VOUS OFFRE CONSTAMMENT MA MISÉRICORDE INFINIE.

Vous traversez un des moments les plus difficiles, instables, excessivement pécheresses, où les instincts animaux ont plus de poids chez l’homme et où les uns donnent la mort aux autres sans pitié.

L’agressivité du soleil envers la Terre est dangereuse ; les incendies seront importants et Mes enfants périront en conséquence. Les éjections de masse coronale seront si fortes qu’on n’arrivera pas à empêcher leurs effets sur Mes enfants, altérant leur santé. LE DANGER APPROCHE POUR L’HUMANITÉ VENANT DU VASTE UNIVERS, ÉTANT UNE SOURCE D’INCERTITUDE ET DE GRANDE PEINE POUR TOUS. VOUS SENTIREZ QUE VOUS ALLEZ PÉRIR…

De plus en plus de pays seront impliqués dans la guerre et le scénario deviendra plus chaotique. Des technologies secrètes, créées pour la guerre et inconnues de l’humanité, seront révélées à des moments critiques pendant la Troisième Guerre mondiale.

Vous continuerez à souffrir par la nature, l’eau, le feu, le vent, qui font partie de la purification et les prémices du changement spirituel auquel tous doivent parvenir.

Mes enfants, la maladie est déjà parmi vous : il y a une maladie créée par ceux qui utilisent la science pour le mal, une nouvelle maladie, ainsi qu’une autre qui a muté.  Vous possédez de la part de Ma Maison de quoi repousser ces maladies ; pourtant, Mes enfants, ceux qui s’exposent pour le plaisir, souffriront.

MES PETITS ENFANTS, VOUS ÊTES VENUS À UN MOMENT PROCHE DE L’ABOMINATION DE LA DÉSOLATION ; ne soyez pas tièdes – Mes enfants sont fermes dans la foi, ils savent que Je ne les abandonnerai pas.

« Ne vous laissez pas tromper sous aucun prétexte. Il faut d’abord que l’apostasie ait lieu et que paraisse l’ennemi de la religion, l’instrument de la perdition. » (2 Thess 2:3)

Mes enfants bien-aimés,

JE VOUS AI APPELÉS TANT DE FOIS À LA CONVERSION ET POURTANT, FACE AUX ASSAUTS ACTUELS, FACE AUX ŒUVRES ET AU COMPORTEMENT DE L’HOMME, VOUS NE CROYEZ PAS !

Mes enfants,

COMME VOUS ÊTES INSENSÉS, SÉPULCRES BLANCHIS ! (Mt 23,27-29)
VOUS DITES QUE VOUS ME PRIEZ ET VOUS MÉPRISEZ DERRIÈRE MON DOS, COMME VOUS MÉPRISEZ VOS FRÈRES ET SŒURS.

Priez, Mes enfants, intercédez pour le Chili, la fureur de la nature a causé de la douleur chez Mes enfants.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Amérique : elle tremblera, le chaos arrive.

Priez, Mes enfants, priez pour les pays en guerre.

Priez, Mes enfants, priez concernant les protestations (3) qui se répandent d’un pays à l’autre et font des ravages.

Priez, Mes enfants, priez pour vous-mêmes afin de grandir dans l’amour, la miséricorde et la compassion.

Priez, Mes enfants, priez et soyez des créatures qui Me reçoivent chaque jour.

JE SUIS LA FORCE POUR CEUX QUI ME MAINTIENNENT DANS LEUR CŒUR OÙ ILS ME GARDENT AFIN D’ÊTRE DES TÉMOINS DE MON AMOUR.

Priez, Mes enfants, priez et réparez.

Enfants bien-aimés, ayez sur papier tout ce que je vous mentionne : l’esprit ne retient pas tant d’années de Mon amour pour vous, il est nécessaire que vous ayez sur papier tout ce que Je vous ai mentionné.

Je vous bénis, Mes enfants bien-aimés, Je vous bénis de Mon Amour.

Votre Jésus