Consécration urgente au Cœur Immaculé de Marie ! 10 – Je suis tout à toi pour toujours !

« O Marie, en ce jour de ta foi silencieuse,

je t’abandonne toute ma vie passée, présente et future…

Et je me consacre tout entier corps, âme et esprit

à la Flamme d’amour de ton Cœur Immaculé…

Je suis tout à Toi pour toujours !

       Frères et sœurs bien-aimés, après des mois de méditation sur la Consécration « urgente » au Cœur Immaculé de Marie, nous voici arrivés à la 10° et ultime « méditation mariale » qui conclut ce temps fort. Je vous invite à la « méditer » régulièrement, et surtout à la prier avec confiance et amour chaque samedi et fêtes de la Sainte Vierge… car dans le combat spirituel actuel, rien n’est plus fort que la consécration au Cœur de Marie pour être fidèle au Seigneur jusqu’au bout !

C’est d’ailleurs ce qu’elle exprime quand nous disons : « O Marie, en ce jour de ta foi silencieuse… » où chaque samedi évoque le mystérieux Samedi Saint ! Là, toute la foi de l’Eglise était suspendue à celle, douloureuse, du Cœur de Marie…  Comme l’a remarqué si justement Saint Thomas d’Aquin : « La glorieuse Vierge Marie demeura inébranlable dans la foi tout le samedi qui suivit la mort de son divin Fils ! »  Et Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix, (Edith Stein), nous précise dans une magnifique méditation :

« Marie, ton Samedi Saint, comment le penser autrement que dans le silence parfait ? Une fois le tombeau fermé, Saint Jean t’a conduite dans la maison où lui-même trouvait l’hospitalité à Jérusalem. Cela s’est passé probablement dans le silence. Le respect devant ta souffrance a dû les garder tous muets… Si le Seigneur avait pleuré sur la mort de Lazare, ne devais-tu, toi aussi, pleurer, après tout ce qui était arrivé ?

Ce que le Sauveur allait expliquer aux disciples sur le chemin d’Emmaüs, tu te l’es dit toi-même : « Ne fallait-il pas que le Christ souffrît tout cela pour entrer dans sa gloire ? » (Lc 24,26). Ainsi, ta souffrance se change en action de grâce pour le « tout est accompli » (Jn 19,30), et en attente silencieuse, croyante, du matin de Pâques ! »

Ainsi, chaque samedi est le jour idéal et signifiant pour se « consacrer » à ce Cœur douloureux et Immaculé de Marie qui nous a tant aimé à travers le sacrifice unique de son Fils pour nous sauver… Là, nous lui exprimons avec une confiance d’enfant absolue :

« Je t’abandonne toute ma vie passée, présente et future… et je me consacre tout

         entier corps, âme et esprit à la Flamme d’amour de tout Cœur Immaculé…»

Il y a ici une affirmation qui peut paraître étonnante et excessive dans « l’absolue confiance » qu’implique toute consécration au Cœur de Marie : d’abord l’entièreté de ma vie dans le temps qui englobe le passé, le présent et l’avenir. Cela semble évident pour certains catholiques, mais pas pour tout le monde chrétien… car rôde toujours, depuis Luther, l’autre absolu protestant : « Sola gratia ! » ou « sola scriptura ! » Ce n’est pas le lieu ici d’une controverse théologique… mais le problème sous-jacent de ces affirmations réformées est d’introduire le poison de la méfiance : une trop grande confiance en Marie finirait par détourner du Christ, seul Sauveur et Seigneur ! De fait, cela contredit « la vérité de la Parole » où la Vierge Marie est à la foi « Servante » et « Pleine de grâce » (Lc 1,28-38) ; « prés de la Croix de Jésus » (Jn 19,25) et « Femme enveloppée de soleil » (Ap 12,1) ! On ne comprendra rien à la place et la mission « unique » de Marie au Ciel et dans l’Eglise si l’on n’a pas découvert le mystère éminent de son Cœur silencieux…

Enveloppée de la plus grande humilité, la Vierge est en réalité le membre le plus éminent du Corps mystique du Christ dans sa « plénitude » de grâce reçue de l’Esprit (Lc 1,35). Et cela, en vue d’enfanter son Fils, son Sauveur et le nôtre ! Ainsi, la « Mère de Dieu[1]» (Théotokos) est devenue au pied de la Croix « Mère de l’Eglise » et donc, Mère de tous les hommes qu’ils le sachent ou pas… et la Parole unique de Dieu résonne dans chaque cœur à travers tous les siècles : « Voici ta Mère ! »  (Jn 19,27). En Marie, résonne le sommet de la grâce de Dieu dans l’absolue humilité : Elle est si grande au Ciel, Celle qui est restée si effacée dans l’Evangile et qui a été engloutie de douleur pour nous au pied de la Croix de son Fils ! Le Pape Saint Jean-Paul II l’a exprimé d’une manière unique :

« La maternité de Marie commence par sa sollicitude maternelle pour le Christ. Dans le Christ, au pied de la Croix, elle a accepté Jean, et elle a accepté tout homme et tout l’homme. Marie les embrasse avec une sollicitude particulière dans l’Esprit-Saint. C’est Lui, en effet, comme nous le professons dans le Credo qui « donne la vie ». C’est Lui qui donne la plénitude de la vie ouverte vers l’éternité. La maternité de Marie est donc une participation à la puissance de l’Esprit…

Depuis le temps où Jésus, en mourant sur la Croix, a dit à Jean : « Voici ta Mère ! » (Jn 19,27) ; depuis le temps où le disciple la prit « chez lui », le mystère de la maternité spirituelle de Marie a eu son accomplissement dans l’histoire avec une ampleur sans limites… car lorsque Jésus dit sur la Croix : « Femme, voici ton Fils ! » (Jn 19,26), il ouvrit d’une manière toute nouvelle le Cœur de sa Mère… Marie est Mère de tous les hommes et son empressement pour la vie de l’homme est de portée universelle[2]… »

Ainsi, nous pouvons exprimer avec liberté et confiance notre relation filiale à Marie, en disant à notre si tendre Mère : « Je suis tout à toi pour toujours ! » Nous suivons par là les pas une multitude de Saints et de Saintes… Un Saint Jean-Paul II n’affirmait-il pas à travers sa devise papale : « Totus tuus, je suis tout à toi, ô Marie, et tout ce qui est à moi est à toi. Je te reçois dans tout ce qui est à moi. Prête-moi ton Cœur, Marie ! »

Dans la prochaine et dernière méditation mariale, nous reviendrons sur la mission urgente de la Vierge à la fin des temps : là, face aux terribles épreuves eschatologiques qui défilent chaque jour sous nos yeux, nous nous tournerons résolument vers « la puissance protectrice » de Marie, notre Mère… car Elle est et sera toujours pour ses enfants le « doux Refuge des derniers temps ! »

                                                                    +Marie-Mickaël

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[1] Sur cette vérité de la Révélation, il faudrait ne pas oublier les paroles de Luther si marquées par la foi catholique : « Elle est devenue la Mère de Dieu… De cela lui vient tout honneur, toute béatitude, ainsi que sa position singulière dans toutes les générations humaines, parce que personne comme elle n’a eu du Père céleste un enfant et un enfant semblable… en l’appelant « Mère de Dieu », on ne peut ni lui dire ni dire d’elle rien de plus grand, même si on avait autant de langues que sont les feuilles et l’herbe, les étoiles du ciel et le sable de la mer. Aussi le cœur doit réfléchir sur ce que signifie être la « Mère de Dieu » ! Luther, commentaire sur le Magnificat.

[2] Saint Jean-Paul II, Homélie à Fatima, 13 mai 1982.




Bx Thomas A Kempis : la puissance du Nom de Marie

« Au nom de Marie, les démons s’enfuient comme poursuivis par un feu dévorant. Comme la foudre atterre les pauvres humains, ainsi le nom de Marie, comme un tonnerre venu du ciel, prosterne et abat les esprits infernaux. »

Bienheureux Thomas A Kempis, moine Néerlandais (1380-1471)




Obsèques de Charlie Kirk : « je lui pardonne », tout le visage de la miséricorde chrétienne exprimé par Erika, sa femme

Source : Tribune chrétienne

C’est cette communion spirituelle, née du pardon, qui a donné à la cérémonie une portée universelle

Hier Dimanche , au State Farm Stadium de Glendale, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées pour rendre hommage à Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA et figure conservatrice de la jeunesse américaine. Mais ce qui marquera l’histoire de ces obsèques, ce ne sont pas les discours officiels ni les considérations politiques, mais les paroles lumineuses de son épouse Erika.

Face à l’horreur de l’assassinat, elle a choisi le chemin du Christ. « Cet homme, ce jeune homme… je lui pardonne » , a-t-elle affirmé avec des larmes, soulevant une ovation de la foule. « Je lui pardonne parce que c’est ce que le Christ a fait et c’est ce que Charlie aurait fait. La réponse à la haine n’est pas la haine. La réponse, nous la connaissons par l’Évangile : l’amour, toujours l’amour. » ( vidéo)

Dans un monde où la tentation du ressentiment et de la vengeance est omniprésente, ce témoignage rappelle que le pardon chrétien est unique. Il n’est pas faiblesse mais puissance, il n’est pas oubli mais espérance. Au-delà de la haine, il y a l’amour. Cette vérité, proclamée par Erika au cœur de son deuil, transcende toute logique humaine pour manifester la victoire de la miséricorde.

Ce message tranche aussi avec les commentaires hostiles qui, sur certains réseaux et tribunes, ont cherché à minimiser le crime, voire à l’excuser au nom d’une idéologie prétendument légitime. Dans ce climat de confusion morale, où la violence est parfois justifiée dès lors qu’elle vise un adversaire politique, la voix d’Erika Kirk s’élève comme un rappel radical : aucune cause ne justifie le meurtre. Seul l’amour peut briser la spirale de la haine.

Lors de ces obsèques, l’on n’a pas vu l’émotion passagère d’une catégorie d’Américains. L’on a vu la communion d’esprit d’hommes et de femmes blessés, meurtris, rassemblés dans une même douleur et une même espérance. C’est cette communion spirituelle, née du pardon, qui a donné à la cérémonie une portée universelle.

Erika Kirk a décrit la douleur indicible de voir son mari inanimé, mais aussi la paix mystérieuse qu’elle a perçue sur son visage : « J’ai vu sur ses lèvres le plus léger sourire, comme une grâce qui me disait qu’il n’avait pas souffert. » Ses paroles tranchent radicalement avec le climat de violence verbale qui marque la politique américaine et planétaire. Tandis que certains responsables évoquaient le mal et l’affrontement, Erika a offert l’image d’une foi vivante, où la miséricorde n’est pas un concept mais une réalité vécue. L’émotion non feinte et le pardon vrai qu’elle a exprimés ne peuvent être moqués, brocardés ni dénoncés. Ils donnent le vrai visage de l’Évangile.Alors que les logiques humaines enferment dans la spirale du ressentiment et de la haine , le pardon chrétien libère et ouvre à la vie. Erika Kirk a invité chacun à revenir à la prière, à la lecture de la Bible, à la vie familiale enracinée dans la foi vers une lumière qui, même dans la nuit du drame, éclaire les cœurs et montre que la dernière parole appartient toujours à l’amour.




« Je n’ai pas entendu dire que Maman Marie agit, je l’ai vécu »

Dans une déclaration émouvante lors d’une interview accordée au média Actu People, déclaration devenue virale sur les réseaux sociaux, le chanteur ivoirien Kerozen est revenu sur un épisode spirituel marquant de sa vie. Il s’agit d’un moment de prière adressé à la Vierge Marie qui, selon lui, a changé le cours de sa carrière musicale.

Loin de toute posture dogmatique, le chanteur appelle à respecter les croyances religieuses de chacun, tout en livrant un témoignage personnel empreint de sincérité et de gratitude : « Je ne savais même pas réciter le “Je vous salue Marie” », confie Kerozen, de son vrai nom Yobo Constant Joël. En 2016, à peine rentré de Suisse et dans une situation financière critique, il s’est rendu dans une église, avec en poche son dernier billet de 5 000 francs CFA (environ 7 euros). Ce jour-là, il décide de s’adresser directement à « Maman Marie », la Vierge vénérée dans la tradition catholique, pour lui demander d’intercéder en faveur de sa nouvelle chanson : Mon heure a sonné.

Genoux à terre, bougie allumée, foi intacte malgré les moqueries de certains fidèles présents, l’artiste a formulé une prière simple et directe, sans artifice. Quelques jours plus tard, la chanson devenait un tube national, propulsant Kerozen au rang de star. « Je ne suis pas catholique, mais chrétien », insiste-t-il. Pourtant, c’est bien à la Vierge Marie qu’il s’est adressé, reconnaissant aujourd’hui son rôle dans ce tournant décisif. Il tient à le dire haut et fort : « Je n’ai pas entendu dire que Maman Marie agit, je l’ai vécu. »

Dans un monde où les tensions confessionnelles peuvent vite prendre de l’ampleur, le message de Kerozen résonne comme un hymne à la foi personnelle et à la liberté spirituelle.

Son témoignage arrive à une époque où de nombreuses célébrités africaines commencent à assumer plus ouvertement leur spiritualité, parfois au risque de critiques. Pour Kerozen, la foi n’est ni un slogan ni un refuge passager, mais une ancre qui l’a sauvé quand il touchait le fond.




Les bienfaits médicaux du chapelet

A une époque dominée par les distractions numériques et les tendances thérapeutiques, rares sont ceux qui s’attendraient à ce qu’une dévotion vieille de plusieurs siècles puisse offrir ce que promettent la médecine moderne et les applications de pleine conscience : un calme profond, une régulation émotionnelle et même un soulagement physique.

Pourtant, une étude de décembre 2024, fondée à la fois sur l’observation clinique et la spiritualité a conclu que le chapelet, longtemps considéré comme une simple pratique dévotionnelle, pourrait être bien plus qu’une simple habitude religieuse. Il peut, en fait, être un remède pour l’âme autant que pour le corps.

Cette étude met en lumière un fait fascinant : les prières rythmées du chapelet semblent apaiser les tensions, favoriser la stabilité émotionnelle et générer une forme unique de paix holistique. Contrairement à de nombreuses techniques profanes de pleine conscience qui privilégient la neutralité et le détachement, le chapelet se connecte à quelque chose de personnel et relationnel. Ce n’est pas un simple mantra : c’est un dialogue.

Pour Christian Spaemann, psychiatre et psychothérapeute autrichien réputé, ce n’est pas surprenant. Dans une récente interview, Spaemann explique que le chapelet ouvre non seulement l’esprit, mais aussi le cœur à une présence maternelle concrète et durable. « Nous devons d’abord croire », dit-il, « que la Mère de Jésus est vraiment notre Mère, et qu’elle est présente avec un cœur ouvert à tous ». Une fois que le seuil de confiance est franchi, quelque chose change.

L’expérience ne se limite pas aux mystiques ou aux saints cloîtrés. Spaemann note que dans sa région rurale de la Haute-Autriche, un flot régulier de pèlerins se dirige vers Medjugorje, et que des gens ordinaires – agriculteurs, ouvriers d’usine – redécouvrent tranquillement la paix et l’espérance grâce à la prière mariale. « Ils trouvent la joie auprès de la Mère du Ciel » dit-il, « et ils l’intègrent à leur quotidien ».

Mais au-delà du contexte chrétien, Spaemann voit dans le chapelet un rythme humain universel. La plupart des grandes religions comprennent des chapelets ou des chants à cadence répétitive. Cela, suggère-t-il, touche une corde sensible en nous, psychologiquement et même physiologiquement, évoquant le réconfort originel d’un enfant qui écoute le battement du cœur de sa mère. Il y a, dans ce rythme, une sorte de sécurité mémorisée, une porte vers la transcendance qui précède les divisions doctrinales.

Mais le chapelet n’est pas une technique, c’est une rencontre. Et pour Spaemann, cette rencontre est devenue personnelle dès sa jeunesse. Il a prié le chapelet pour la première fois à l’adolescence et a continué que ce soit dans les moments de joie, de crise, ou le simple quotidien. « C’est une bouée de sauvetage » se souvient-il. Plus il priait, plus il percevait la présence de Marie non pas comme un mythe, mais comme une réalité vivante – accessible, maternelle, compatissante. Grâce au chapelet, dit-il, la présence de Marie se manifeste non pas par des visions mais par une reconnaissance intérieure. Les recherches récentes se concentrent sur les résultats physiologiques et psychologiques, mais Spaemann préconise une perspective plus large. Le fruit le plus profond du chapelet, dit-il, n’est pas seulement la sérénité, mais la conscience de l’éternité. Selon lui, le chapelet nous conduit au silence, et dans ce silence nous pouvons entrevoir quelque chose d’étonnant : chacun de nous est éternellement désiré, créé dans l’amour, et destiné à passer non pas dans l’oubli mais dans l’union avec Dieu. « Nous passons dans l’autre monde », dit-il, « comme d’une pièce à l’autre ».

Dans une culture si soucieuse du bien-être mental, il peut être surprenant de trouver une prière qui offre un soulagement moderne. Le chapelet ne se contente pas de soulager l’anxiété. Il la réoriente. Et contrairement aux techniques profanes qui tendent à être égocentriques, le chapelet transcende le soi, vers un visage, une relation, une promesse.

Joachim Mesner Hertz Juin 2025

Zenit.org




Consécration « urgente » au Cœur Immaculé de Marie : 9 – Né de ton Cœur Immaculé…

« Un Témoin de ta puissante tendresse, un Apôtre des derniers temps,

 né de ton Cœur Immaculé… »

     Plus l’Eglise entre dans les épreuves des derniers temps, plus elle s’appuie sur la « Puissante tendresse de Marie » ! En effet, comme le contemple la foi depuis le commencement : « C’est l’Eglise qui est sortie de la blessure du côté du Christ, et il a fait d’elle son épouse[1] ! » Saint Jean l’a contemplé et en témoigne au pied de la Croix : cette Eglise jaillie du Cœur ouvert de Jésus par la lance (Jn 19,34), Marie en est devenue la Mère selon la Parole créatrice du Seigneur : « Voici ta Mère ! » (Jn 19,27). La liturgie le chante admirablement :

« O Père, pour restaurer le genre humain, tu as voulu, dans ta sagesse,

que la nouvelle Eve se tienne près de la Croix du nouvel Adam.

Ainsi, par un nouvel effet de ta grâce,

Celle qui était devenue Mère par la puissance de l’Esprit-Saint

a été associée à la Passion du Christ !

Elle qui avait enfanté sans douleur,

elle a connu les plus vives souffrances

pour notre nouvelle naissance[2]… »

Ainsi, le dernier coup de lance (Jn 19,34) résonne en la Vierge comme une douleur innommable dont l’origine est sa folle « compassion » envers Jésus crucifié pour nous, pécheurs… En sa foi sublime, son Cœur blessé par l’épée prophétisée (Lc 2,35) est parfaite « résonance[3] » du Cœur ouvert de Jésus. Et si le Christ est notre Unique Sauveur, il nous fait participer dans le mystère de sa grâce au salut du monde à travers la foi et la charité… alors, ô combien Marie, sa Mère Immaculée, participe-t-elle à l’Œuvre rédemptrice au pied de la Croix ! Le Pape Saint Jean-Paul II l’a magnifiquement développé quand il nous appelle à « découvrir » que le sommet de sa compassion est en même temps celui de sa foi :

« Au pied de la Croix, Marie participe par sa foi au mystère bouleversant de ce dépouillement (Ph 2,5-8). C’est là, sans doute, la « kénose[4] » de la foi la plus profonde de l’histoire de l’humanité… Oui, vraiment, « bienheureuse celle qui a cru ! » (Lc 1,45). Ici, au pied de la Croix, ces paroles qu’Elisabeth avait prononcées à la Visitation semblent retentir avec une éloquence suprême[5]… »

Ainsi, quand on découvre l’immensité de la foi de Marie de la Crèche à la Croix, on devient un témoin amoureux de « sa puissante tendresse »… et l’on s’abandonne, peu à peu, entre ses mains maternelles pour devenir « un Apôtre des derniers temps, né de son Cœur Immaculé ! »

Alors, au cœur de notre foi, découvrons plus profondément que l’Esprit de Dieu nous offre le don unique et mystérieux du Cœur de Marie… pour vivre les « terribles » combats des derniers temps, « protégés » par sa tendresse ! Et dans le mystère actuel de l’Eglise, nous sommes appelés à faire l’expérience unique et intime de sa maternité : entrer dans le secret de son Cœur qui unit à Jésus avec une telle simplicité et plénitude… car c’est en son Cœur Immaculé qu’a lieu la naissance des étoiles : ces stars de Dieu, connus ou cachés, que sont les Saints et Saintes d’hier, d’aujourd’hui et de demain !

+Marie-Mickaël

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[1] Origène, Commentaire sur les proverbes, 31,16, PG 17,252.

[2] Préface de la Messe votive de la Vierge Marie au pied de la Croix.

[3] Cette « résonance », fruit de sa compassion, l’a entraînée dans les profondeurs de la Rédemption où l’Unique Sauveur l’attire… C’est un des grands lieux mariologiques qui met en relief le mystère de sa corédemption. Parmi bien d’autres, une Sainte Catherine de Sienne l’évoque clairement dans une prière : « Marie rédemptrice, en un sens, du genre humain !… La souffrance de ta chair, dans le Verbe, n’a-t-elle pas sauvé le monde ? Le Christ fut Rédempteur par sa Passion ; toi, par la douleur du corps et de l’âme… » (Elévation du 25 mars 1379). Saint Jean-Paul II : « Marie, conçue et née sans la souillure du péché, a participé de façon admirable aux souffrances de son divin Fils, pour être Corédemptrice de l’humanité. » (Audience générale du 8 septembre 1982). « Le rôle corédempteur de Marie n’a pas cessé avec la glorification de son Fils ! » (Homélie du 31 janvier 1985).

[4] Du grec Kénôsis  : « action de rendre vide, de priver de tout… » Dans le langage théologique, ce terme signifie cet « abaissement » extrême qu’implique l’Incarnation du Verbe (Jn 1,14) et encore plus durant sa Passion ! C’est ce que laisse entendre l’Epître aux Philippiens : « Il s’est vidé lui-même, prenant forme d’esclave, et devenant semblable aux hommes. S’étant comporté comme un homme, il s’humilia plus encore, obéissant jusqu’à la mort, et à la mort sur une croix ! » (Ph 2,7-8).

[5] Saint Jean-Paul II, Encyclique Redemptoris Mater, 18.




Padre Pio : « Marie est la raison de toute mon espérance »

Au-dessus de la porte de la cellule de Padre Pio (Capucin, 1887-1968) à San Giovanni Rotondo figurait cette inscription :

« Marie est la raison de toute mon espérance ».

 




19 septembre : Notre-Dame de la Salette

Nous vous proposons en cette fête » de relire la merveilleuse description de la Vierge Marie faite par Mélanie Calvat, voyante de la Salette :

« La Très Sainte Vierge était très grande et bien proportionnée ; Elle paraissait être si légère qu’avec un souffle on l’aurait fait remuer ; cependant Elle était immobile et bien posée. Sa physionomie était majestueuse, imposante, mais non imposante comme le sont les seigneurs d’ici-bas. Elle imposait une crainte respectueuse. En même temps que Sa Majesté imposait du respect mêlé d’amour, Elle attirait à Elle. Son regard était doux et pénétrant ; ses yeux semblaient parler avec les miens, mais la conversation venait d’un profond et vif sentiment d’amour envers cette beauté ravissante qui me liquéfiait. La douceur de son regard, son air de bonté incompréhensible faisaient comprendre et sentir qu’Elle attirait à Elle et voulait se donner ; c’était une expression d’amour qui ne peut pas s’exprimer avec la langue de chair ni avec les lettres de l’alphabet.

Le vêtement de la Très Sainte Vierge était blanc argenté et tout brillant ; il n’avait rien de matériel : il était composé de lumière et de gloire, variant et scintillant. Sur la terre il n’y a pas d’expression ni de comparaison à donner.

La Sainte Vierge était toute belle et toute formée d’amour ; en la regardant je languissais de me fondre en elle. Dans ses atours, comme dans sa personne, tout respirait la majesté, la splendeur, la magnificence d’une Reine incomparable. Elle paraissait belle, blanche, immaculée, cristallisée, éblouissante, céleste, fraîche, neuve comme une Vierge ; il semblait que la parole Amour s’échappait de ses lèvres argentées et toutes pures. Elle me paraissait comme une bonne Mère, pleine de bonté, d’amabilité, d’amour pour nous, de compassion, de miséricorde.

La couronne de roses qu’Elle avait sur la tête était si belle, si brillante, qu’on ne peut pas s’en faire une idée ; les roses de diverses couleurs n’étaient pas de la terre ; c’était une réunion de fleurs qui entouraient la tête de la Très Sainte Vierge en forme de couronne ; mais les roses se changeaient ou se remplaçaient ; puis du cœur de chaque rose il sortait une si belle lumière, qu’elle ravissait, et rendait les roses d’une beauté éclatante. De la couronne de roses s’élevaient comme des branches d’or, et une quantité d’autres petites fleurs mêlées avec des brillants.

Le tout formait un très beau diadème, qui brillait tout seul plus que notre soleil de la terre.

La Sainte Vierge avait une très jolie Croix suspendue à son cou. Cette Croix paraissait être dorée, je dis dorée pour ne pas dire une plaque d’or ; car j’ai vu quelquefois des objets dorés avec diverses nuances d’or, ce qui faisait à mes yeux un bien plus bel effet qu’une simple plaque d’or. Sur cette belle Croix toute brillante de lumière était un Christ, était Notre-Seigneur, les bras étendus sur la Croix. Presque aux deux extrémités de la Croix, d’un côté il y avait un marteau, de l’autre une tenaille. Le Christ était couleur de chair naturelle ; mais il brillait d’un grand éclat et la lumière qui sortait de tout Son corps paraissait comme des dards très brillants, qui me fendaient le cœur du désir de me fondre en Lui. Quelquefois le Christ paraissait être mort : Il avait la tête penchée, et le corps était comme affaissé, comme pour tomber, s’Il n’avait pas été retenu par les clous qui Le retenaient à la Croix.

J’en avais une vive compassion, et j’aurais voulu redire au monde entier Son amour inconnu, et infiltrer dans les âmes des mortels l’amour le plus senti et la reconnaissance la plus vive envers un Dieu qui n’avait nullement besoin de nous pour être ce qu’Il est, ce qu’Il était et ce qu’Il sera toujours ; et pourtant, ô Amour incompréhensible à l’homme ! Il s’est fait homme, et Il a voulu mourir, oui, mourir pour mieux écrire dans nos âmes et dans notre mémoire l’amour fou qu’Il a pour nous ! Oh ! Que je suis malheureuse de me trouver si pauvre en expression pour redire l’Amour, oui, l’Amour de notre bon Sauveur pour nous ! Mais, d’un autre côté, que nous sommes heureux de pouvoir sentir mieux ce que nous ne pouvons exprimer !

D’autres fois le Christ semblait vivant ; Il avait la tête droite, les yeux ouverts, et paraissait être sur la Croix par Sa propre volonté. Quelquefois aussi Il paraissait parler : Il semblait vouloir montrer qu’Il était en Croix pour nous, par amour pour nous, pour nous attirer à Son Amour, qu’Il a toujours un amour nouveau pour nous, que Son Amour du commencement et de l’année 33 est toujours celui d’aujourd’hui et qu’il sera toujours.

La Sainte Vierge pleurait presque tout le temps qu’Elle me parla. Ses larmes coulaient une à une lentement jusque vers ses genoux puis comme des étincelles de lumière, elles disparaissaient. Elles étaient brillantes et pleines d’amour. J’aurais voulu la consoler, et qu’Elle ne pleurât plus. Mais il me semblait qu’Elle avait besoin de montrer ses larmes pour mieux montrer son Amour oublié par les hommes. J’aurais voulu me jeter dans ses bras et Lui dire : «Ma bonne Mère, ne pleurez pas ! Je veux Vous aimer pour tous les hommes de la terre». Mais il me semblait qu’Elle me disait : «Il y en a tant qui ne me connaissent pas !»

J’étais entre la mort et la vie, en voyant d’un côté tant d’amour, tant de désir d’être aimée, et d’un autre côté tant de froideur, tant d’indifférence… Oh ! Ma Mère, Mère toute belle et toute aimable, mon amour, Cœur de mon cœur !…

Les larmes de notre tendre Mère, loin d’amoindrir son air de Majesté, de Reine et de Maîtresse, semblaient au contraire l’embellir, la rendre plus aimable, plus belle, plus puissante, plus remplie d’amour, plus maternelle, plus ravissante ; et j’aurais mangé ses larmes, qui faisaient sauter mon cœur de compassion et d’amour. Voir pleurer une mère et une telle Mère, sans prendre tous les moyens imaginables pour la consoler, pour changer ses douleurs en joie, cela se comprend-il ! O Mère plus que bonne ! Vous avez été formée de toutes les prérogatives dont Dieu est capable ; vous avez comme épuisé la puissance de Dieu ; vous êtes bonne et puis bonne de la bonté de Dieu même ; Dieu s’est agrandi en vous formant Son chef-d’œuvre terrestre et céleste.

La Très Sainte Vierge avait un tablier jaune. Que dis-je, jaune ? Elle avait un tablier plus brillant que plusieurs soleils ensemble. Ce n’était pas une étoffe matérielle, c’était un composé de gloire, et cette gloire était scintillante et d’une beauté ravissante. Tout en la Très Sainte Vierge me portait fortement, et me faisait comme glisser à adorer et à aimer mon Jésus dans tous les états de sa vie mortelle.

La Très Sainte Vierge avait deux chaînes, l’une un peu plus large que l’autre. A la plus étroite était suspendue la Croix dont j’ai fait mention plus haut. Ces chaînes (puisqu’il faut donner le nom de chaînes) étaient comme des rayons de gloire d’un grand éclat variant et scintillant.

Les souliers (puisque souliers il faut dire) étaient blancs, mais un blanc argenté, brillant ; il y avait des roses autour. Ces roses étaient d’une beauté éblouissante, et du cœur de chaque rose sortait une flamme de lumière très belle et très agréable à voir. Sur les souliers il y avait une boucle en or, non en or de la terre, mais bien de l’or du Paradis.

La vue de la Très Sainte Vierge était elle-même un paradis accompli. Elle avait en Elle tout ce qui pouvait satisfaire, car la terre était oubliée.

La Sainte Vierge était entourée de deux lumières. La première lumière, plus près de la Très Sainte Vierge, arrivait jusqu’à nous ; elle brillait d’un éclat très beau et scintillant. La seconde lumière s’étendait un peu plus autour de la Belle Dame, et nous nous trouvions dans celle-là ; elle était immobile (c’est-à-dire qu’elle ne scintillait pas), mais bien plus brillante que notre pauvre soleil de la terre. Toutes ces lumières ne faisaient pas mal aux yeux, et ne fatiguaient nullement la vue.

Outre toutes ces lumières, toute cette splendeur, il sortait encore des groupes ou faisceaux de lumières ou des rayons de lumière du Corps de la Sainte Vierge, de ses habits et de partout.

La voix de la Belle Dame était douce ; elle enchantait, ravissait, faisait du bien au cœur : elle rassasiait, aplanissait tous les obstacles, calmait, adoucissait. Il me semblait que j’aurais toujours voulu manger de sa belle voix, et mon cœur semblait danser ou vouloir aller à sa rencontre pour se liquéfier en Elle.

Les yeux de la Très Sainte Vierge, notre tendre Mère, ne peuvent pas se décrire par une langue humaine. Pour en parler, il faudrait un séraphin ; il faudrait plus, il faudrait le langage de Dieu même, de ce Dieu qui a formé la Vierge Immaculée, Chef-dŒuvre de Sa toute puissance.

Les yeux de l’auguste Marie paraissaient mille et mille fois plus beaux que les brillants, les diamants et les pierres précieuses les plus recherchées ; ils brillaient comme deux soleils ; ils étaient doux de la douceur même, clairs comme un miroir. Dans ses yeux on voyait le Paradis ; ils attiraient à Elle ; il semblait qu’Elle voulait se donner et attirer. Plus je La regardais, plus je La voulais voir plus je La voyais, plus je L’aimais, et je L’aimais de toutes mes forces.

Les yeux de la belle Immaculée étaient comme la porte de Dieu, d’où l’on voyait tout ce qui peut enivrer l’âme. Quand mes yeux se rencontraient avec ceux de la Mère de Dieu et la mienne, j’éprouvais au dedans de moi-même une heureuse révolution d’amour et de protestation de l’aimer et de me fondre d’amour.

En nous regardant, nos yeux se parlaient à leur mode, et je l’aimais tant, que j’aurais voulu l’embrasser dans le milieu de ses yeux qui attendrissaient mon âme, et semblaient l’attirer et la faire fondre avec la sienne. Ses yeux me plantèrent un doux tremblement dans tout mon être ; et je craignais de faire le moindre mouvement qui pût lui être désagréable tant soit peu.

Cette seule vue des yeux de la plus pure des Vierges aurait suffi pour être le Ciel d’un bienheureux ; aurait suffi pour faire entrer une âme dans la plénitude des volontés du Très-Haut parmi tous les événements qui arrivent dans le cours de la vie mortelle ; aurait suffi pour faire faire à cette âme de continuels actes de louanges, de remerciement, de réparation et d’expiation. Cette seule vue concentre l’âme en Dieu et la rend comme une morte-vivante, ne regardant toutes les choses de la terre, même les choses qui paraissent les plus sérieuses, que comme des amusements d’enfants ; elle ne voudrait entendre parler que de Dieu et de ce qui touche à Sa gloire.

Le péché est le seul mal qu’Elle voit sur la terre, Elle en mourrait de douleur si Dieu ne la soutenait. Amen.

CASTELLAMARE, le 21 novembre 1878

MARIE DE LA CROIX, Victime de Jésus, née MÉLANIE CALVAT, Bergère de la Salette.

Nihil obstat : imprimatur.

Datura Lycii ex Curia Epli die 15 Nov. 1879

Vicarius Generalis, CARMELUS ARCH’ COSMA




Redeviens un petit enfant pour comprendre et aimer la Vierge Marie

Quel que soit le soin que peuvent lui assurer d’autres personnes, le petit enfant ne les suivra pas si sa mère ne l’accompagne pas. Mais, avec sa mère, il traversera des forêts, franchira des rivières, affrontera la faim et les fièvres.

Au cours des guerres, nombreuses furent les mères que l’on trouva mortes avec leur enfant, encore vivant, couché auprès d’elles. Sur le chemin de l’espérance, tu tiens, dans ta main, celle de la Vierge Marie. Avec elle, tu n’es plus seul. Elle est « la source de vie, notre joie et notre espérance ».

Le petit enfant n’a besoin que de sa mère. Il éclate en sanglots dès qu’elle s’absente ; il ne peut s’en passer. Donnez-lui un bonbon, un beau jouet, de l’or ou une pierre précieuse, il rejettera tout. Il ne recouvrera sa joie qu’en revoyant sa mère. Redeviens un petit enfant pour comprendre et aimer la Vierge Marie.

The Road of Hope: A Gospel from Prison, by Francis Xavier Nguyen Van Thuan, Chapter 35: « Our Mother Mary »




Messages donnés à Luz de Maria en Août 2025

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
29 AOÛT 2025

 

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé, Je vous aime comme la Mère que Je suis pour chacun d’entre vous.

JE VOUS DEMANDE DE PRIER À TOUT MOMENT ET EN TOUT LIEU…

TRANSFORMEZ VOS ŒUVRES ET VOS ACTIONS EN PRIÈRE EN INVOQUANT MON DIVIN FILS POUR QU’IL VOUS ACCOMPAGNE ET M’INVITE, AINSI NOUS DEMEURERONS À VOS CÔTÉS ET VOS ACTES ET VOS ŒUVRES CONTRAIRES À LA VOLONTÉ DE DIEU SERONT MOINDRES. (cf. Mt 7, 21 ; 1 Jn 2, 17)

Petits enfants, repentez-vous de vos péchés, recourez au Sacrement de la Réconciliation et promettez un changement ferme (cf. 1 Jn 1, 9). Celui qui agit de cette manière sera conscient de ses mauvaises actions ou actes et améliorera sa vie (cf. Is 1, 16-17). Celui qui n’agit pas en étant conscient de ses mauvaises actions sera facilement saisi par le mal et entraîné vers le mondain.

Mes enfants bien-aimés :

VOUS DEVEZ RESTER EN ÉTAT D’ALERTE SPIRITUELLE (Mc 13, 33 ; 1 P 5, 8-11). CE QUE LES YEUX PHYSIQUES NE VOIENT PAS, VOUS LE SENTIREZ SPIRITUELLEMENT ; LA LUTTE EST ENTRE LE BIEN ET LE MAL.
IL EST URGENT POUR MES ENFANTS DE CHANGER TOTALEMENT, SOYEZ VRAIMENT CONSCIENTS DE CE MOMENT SI CRITIQUE DANS LEQUEL VOUS VIVEZ.

Les vents ne sont pas bons, ils transportent de graves maladies qui vous affectent et vous affecteront gravement. La Maison Paternelle vous a donné des plantes pour que vous les utilisiez et pour vous aider à lutter contre les maladies, gardez cela présent à l’esprit.

C’EST UN MOMENT TRÈS DIFFICILE POUR MES ENFANTS, VOUS ÊTES CONDUITS À SOUFFRIR DU MAL QUI EST DIRIGÉ PAR L’ANTICHRIST LUI-MÊME, lequel attend le moment opportun pour se révéler publiquement.

L’Antichrist est sur la Terre depuis des années pour préparer ses sbires et diriger ceux qui se sont compromis avec Lui au sein de la Franc-Maçonnerie et des sectes vouées à offrir des innocents au Diable, ainsi que des dirigeants de grandes puissances qui obéissent aux ordres du mal.

Enfants de Mon Divin Fils, protégez vos enfants en ce moment particulier, car l’innocence est un obstacle aux plans de l’Antichrist.

PRÉPAREZ-VOUS À AFFRONTER L’AVERTISSEMENT, L’ILLUMINATION DE LA CONSCIENCE !

Préparez-vous en vivant chaque jour comme si c’était le dernier de votre vie. Marchez sans oublier que vos œuvres et vos actes détermineront l’intensité de ce que vous vivrez au moment de l’Avertissement. Repentez-vous dès maintenant !

La nature cause de graves ravages sur toute la Terre, il suffit de penser à l’action des volcans, des mers, de la Terre elle-même, du vent qui arrivera d’un moment à l’autre, emportant avec lui des particules de poussière contaminant les voies respiratoires.

Priez, enfants de Mon Divin Fils, priez pour les événements qui vous attendent.

Priez, enfants de Mon Divin Fils, priez face aux tromperies de l’Antichrist et priez pour ceux qui se livreront à Lui.

Priez, Mes enfants, la mort chevauche la guerre.

Priez, Mes enfants, recevez, bien préparés, Mon Divin Fils dans l’Eucharistie, pour que ce ne soit pas une condamnation pour vous. (cf. 1 Co 11, 28-29)

Le changement de vie est indispensable : le changement dans les œuvres et les actions doit être Amour.

JE VOUS AIME ET VOUS PROTÈGE, VOUS DEVEZ VOUS MAINTENIR DÛMENT PRÉPARÉS SPIRITUELLEMENT (5).

Vivez en paix…
Vivez dans la foi…
Vivez dans l’espérance…
Vivez en accomplissant la charité…
Vivez en étant Amour…

Vous avez reçu de grandes bénédictions en accomplissant la neuvaine de Mon Invocation de la Reine et Mère des Derniers Temps.

Mes petits enfants, soyez obéissants et adorez Mon Divin Fils dans chaque œuvre et chaque acte.

Je vous aime.

 

Maman Marie

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
21 AOÛT 2025

 

Mes enfants bien-aimés, recevez chacun Ma Bénédiction et qu’ainsi pénètre en vous un rayon de lumière de Mon Amour Miséricordieux. (cf. Jn 8, 12 ; Jn 12, 35-36)

Enfants bien-aimés de Mon Sacré-Cœur :

EN TANT QUE SEMEURS DANS MA VIGNE, JE SOUHAITE QUE CHACUN SE PROPOSE DE SEMER LE PLUS POSSIBLE. (Mt 20, 1-16) IL N’Y A PAS DE LIMITE, VOUS DEVEZ TOUT DONNER EN CE MOMENT SI CRUEL POUR TOUTE L’HUMANITÉ.

Comprenez que le Diable mène une lutte acharnée contre Mes enfants et les enfants de Ma Mère bien aimée. Cette lutte ne faiblit pas, bien au contraire, elle s’intensifie à mesure de chaque moment que vous affrontez et que vous affronterez en tant qu’humanité dans son ensemble.

RENFORCEZ VOTRE FOI, NE PERDEZ PAS L’ESPÉRANCE, SOYEZ CHARITABLES en tout domaine, pour que vous ne cessiez pas de partager fraternellement Mon Amour avec vos frères et sœurs.

Mes bien-aimés, Je vous appelle à regarder dans toutes les directions, Je vous appelle à être de ceux qui ne se lassent pas, mais qui au contraire, lorsque vous voyez vos frères en danger, déviant vers d’autres chemins, luttent pour les amener à Moi, pour autant que vos frères vous le permettent, et avec le discernement de Mon Saint-Esprit, afin que vous vous arrêtiez au moment adéquat et ne causiez pas une plus grande division que celle qui existe déjà.

Mes petits enfants :

Je vous invite à prier à temps et à contretemps, sans perdre la foi (cf. 1 Th 5, 16-18 ; Ep 6, 18), en vous souvenant que les œuvres et les actes accomplis avec Mon Amour se reproduisent à l’infini et parviennent là où vous ne pouvez l’imaginer.

J’enverrai Mes très chers Saint Michel Archange, Saint Raphaël Archange et Saint Gabriel Archange pour vous assister ; gardez une foi inébranlable face à tout ce que vous voyez ou face à tout ce qui arrive, aussi fort que cela puisse être pour toute l’humanité.

Priez, Mes enfants, priez Saint Michel Archange, Saint Raphaël Archange, Saint Gabriel Archange, demandez-leur leur protection.

Priez, Mes enfants, priez pour que, dans les moments critiques que la nature vous fait vivre, vous puissiez maintenir l’adoration que tous, comme créatures, devraient Me rendre.

Priez, Mes enfants, priez, vous vivrez un événement fort, très fort, inconnu de l’humanité, qui sera une grande épreuve pour chacun de Mes enfants, c’est pourquoi vous devez vous y préparer.

Priez, Mes enfants, priez, la guerre s’intensifie sur la Terre et s’intensifie à l’intérieur de chacun de Mes enfants. Vous, Mes petits enfants, ne vous précipitez pas pour émettre des jugements sur vos frères et sœurs, le fardeau de chacun est lourd et en vous trompant dans vos jugements envers vos frères et sœurs, votre fardeau personnel est triplé et vous devez faire face à vos fautes vénielles ou mortelles. Le moment sera plus pénible que vous ne pouvez l’imaginer, pour avoir pris Ma place et avoir conduit vos frères à la mort par votre langue.

Priez, Mes enfants, priez, la grande épreuve pour toute l’humanité arrive, sa proximité maintient une atmosphère différente sur toute la Terre, les animaux le sentent et adoptent des comportements différents de ceux qui leur sont naturels. L’homme, ne sachant pas ce qui se passe, s’est affaibli et le mal s’empare de beaucoup de Mes enfants, les amenant à agir saturés de colère.

Priez, Mes enfants, priez, vivez en gardant la paix, Ma Paix, sérénité, silence, foi ; regardez vers le haut, c’est ainsi que vous devez marcher, Mes enfants, non pas la tête baissée, mais en regardant vers le haut.

Priez, Mes enfants, priez pour que, à mesure que la guerre s’intensifie, les prières de Mes enfants s’intensifient.

Mes bien-aimés, les ténèbres avancent lentement mais sûrement, demeurez en état d’alerte, non seulement matériellement, mais aussi spirituellement, en étant conscients des desseins dont vous avez été avertis.

LES TÉNÈBRES ARRIVENT SUR L’HUMANITÉ, DES TÉNÈBRES QUI EFFRAIENT MES ENFANTS, ET JE VOUS DEMANDE : OÙ EST VOTRE FOI ? (Mt 14, 25-33)

La terre tremble fortement en Europe, soyez prudents dans les pays côtiers : l’Asie, l’Inde et l’Eurasie souffrent de leurs grandes failles tectoniques qui conduisent à la division de ces territoires.

Mes enfants, l’Amérique bouge fortement et affronte l’inconnu, l’Afrique bouge avec force, ses failles tectoniques la feront bouger. L’Asie tremble.

PRÉPAREZ-VOUS, PETITS ENFANTS, PRÉPAREZ-VOUS !

SOYEZ PRUDENTS, JE VOUS AVERTIS, PRIEZ ET DONNEZ LA MAIN À MA MÈRE BIEN AIMÉE !

Je veux des enfants de paix pour que vous ayez l’équanimité nécessaire pour affronter le moment qui arrive pour toute l’humanité.

Je vous bénis, Je vous aime, enfants.

OBÉISSEZ !

Votre Jésus

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
12 AOÛT 2025

Enfants bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, Je viens à vous par la Volonté Divine.

VOUS AVEZ ÉTÉ ALERTÉS PAR LA MAISON PATERNELLE DE L’URGENCE DE CE QUE VOUS ALLEZ AFFRONTER COMME PURIFICATION POUR L’HUMANITÉ ET VOUS CONTINUEZ ENCORE À OFFENSER DIEU…

La conversion est urgente pour vous ! Vous ne devez pas attendre pour faire ce grand pas qui consiste à « Sauver l’âme » (cf. Mt 16, 25-26). Ce moment doit être vécu avec la plus grande spiritualité, avec amour, humilité, charité, pardon, pour éloigner de vous tout ce qui est un risque pour le Salut.

RECOUREZ AU SACREMENT DE LA CONFESSION POUR VIVRE DANS L’ASPIRATION À LA CONVERSION, DÈS MAINTENANT !

ET CONTINUEZ SUR LE BON CHEMIN AFIN QUE NOTRE ROI ET SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST VOUS TROUVE EN TRAIN DE VOUS EFFORCER D’ÊTRE DAVANTAGE DE LUI.

Enfants bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, vous devez « naître de nouveau » (cf. Jn 3, 3-7), vous permettre un changement, une croissance spirituelle afin de vous maintenir proches de la Très Sainte Trinité ; pas seulement un instant, mais toujours, tout au long de votre vie.Le travail de conversion implique le frère, le frère étant toujours celui qui tend la main, celui qui accomplit le Commandement de l’Amour (cf. Jn 13, 34). La conversion n’est pas facile, car c’est un travail ardu en vous, concernant votre façon de penser, d’agir et de vous comporter, pour que le Saint-Esprit vous guide toujours.

Bien-aimés de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère, être rude (voire grossier) dans les relations avec les frères n’est pas le propre des enfants de Dieu. C’est pourquoi Je vous dis que vous devez vous transformer de l’intérieur ou renoncer à ce qui est naturel pour chacun et adopter une manière d’agir correcte et vous comporter comme des enfants de Dieu.

Soyez humbles en tout temps ; vous avez besoin d’humilité pour changer totalement de vie et ainsi avancer au milieu de la folie du monde (cf. Jc 4, 5-6), au milieu de la guerre, des privations et de la persécution, car le Démon a chargé les siens d’être des guerriers, de vous dérober la paix et la foi. Plus vous progressez, moins on peut vous enlever la foi.

Bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, les abus de certaines puissances envers les citoyens du monde se produisent généralement parce qu’elles appartiennent à la grande élite mondiale et ont convenu de ce qui se passe actuellement.

Vous êtes confrontés à des maladies anciennes qui réapparaissent comme c’est le cas actuellement : des maladies telles que la lèpre et d’autres variantes obligeront la science à trouver comment les traiter dans le temps présent.

Le grand moment de l’humanité se trouve dans la confrontation aux Éléments qui agissent presque avec fureur : leur force et leur puissance accrues soumettent l’humanité pour qu’elle cesse de tant offenser Dieu.

L’HOMME GARDE EN LUI TELLEMENT DE VIOLENCE QU’IL S’ÉLOIGNE DE DIEU JUSQU’À RISQUER DE LIVRER SES ŒUVRES ET SES ACTES AU DÉMON. Vous vivez un combat spirituel (cf. Ep 6, 12), même si vous ne le voyez pas avec vos yeux de chair, car il existe une guerre spirituelle et les enfants de Dieu ne peuvent se permettre d’être vaincus par le Démon.

Des accords de paix, des cessez-le-feu, de la nourriture perdue pour ne pas avoir cédé et aidé des frères et sœurs d’autres pays, c’est l’œuvre du Démon, ainsi en est-il, enfants bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ. Le Démon est avare, il se complaît à attaquer et à tuer. Les efforts humains pour mettre fin à tant de violence ont échoué.

JE VOUS INVITE LE 15 AOÛT PROCHAIN À VOUS CONSACRER À NOTRE REINE ET MÈRE, CE JOUR-LÀ ÉTANT CELUI DE SON ASSOMPTION AU CIEL, CORPS ET ÂME.

CEUX QUI SE CONSACRENT CE JOUR-LÀ , OBTIENNENT UNE CONSÉCRATION SPÉCIALE, CAR CE JOUR-LÀ, LES DÉMONS FUIENT D’HORREUR ET D’ÉPOUVANTE DEVANT LA VOLONTÉ DE DIEU ENVERS NOTRE REINE ET MÈRE.

Vous, enfants bien-aimés de la Très Sainte Trinité et de Notre Reine et Mère, vous n’êtes pas seuls, gravez cela dans votre cœur !

N’ayez pas peur, n’ayez pas peur, J’ai été envoyé avec Mes Légions Célestes pour veiller sur chacun de vous.

D’une seule voix, prions :

JE VOUS SALUE MARIE, TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ
JE VOUS SALUE MARIE, TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ
JE VOUS SALUE MARIE, TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ

Je vous bénis de Mon Amour.

Saint Michel Archange

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
5 AOÛT 2025

 

Enfants bien-aimés de Mon Sacré-Cœur, vous êtes bénis par Moi, vous êtes Mes enfants bien-aimés.

DEMEUREZ EN MOI, SOYEZ-MOI FIDÈLES, SOYEZ LES TÉMOINS DE MON AMOUR POUR TOUS VOS FRÈRES ET SŒURS.

Ma Volonté vous conduit vers un chemin unique dont vous seuls pouvez vous écarter (cf. Dt 11, 12-13 ; Is 35, 7-8 ; Jn 14, 6).

Cette génération ne trouve pas ce qu’elle cherche, car elle cherche les ténèbres, les ombres, et en Moi, elle ne trouvera que Ma Lumière, et la Lumière la dérange (cf. Jn 12, 35-36 ; Mt 5, 14-16).

Le mal est comme une grande toile d’araignée, autour de laquelle vous n’êtes pas attrapés, mais à mesure que vous vous approchez du centre, alors vous goûtez ce qui s’y trouve et vous vous y enfoncez davantage jusqu’à désirer le poison de l’orgueil, de la colère, de l’avarice, de l’envie, de la luxure, de la gourmandise et de la paresse. Chaque fil de la toile d’araignée est créé avec chacun des sept péchés capitaux (cf. Ga. 5, 19-25 ; Rm. 13, 13-14).

Mes enfants :

JE CONSTATE CHEZ LA PLUPART D’ENTRE VOUS UN MANQUE DE SPIRITUALITÉ, UNE LÉGÈRETÉ ENVERS MES AFFAIRES ET UN DÉSINTÉRÊT ENVERS VOTRE PROCHAIN QUI VOUS EMPÊCHE D’AVOIR DE L’AMOUR DANS VOTRE CŒUR.

Les forces extérieures pénètrent dans l’atmosphère de la Terre et se conjuguent, causant de graves problèmes aux créatures humaines et à la Terre elle-même. Vous êtes entrés dans la période marquée par une succession de violents séismes, d’éruptions de volcans endormis et actifs, de vents dévastateurs, d’inondations de grande ampleur et de destructions graves.

Mes enfants se sentent malades, Je vous invite à utiliser les remèdes que Ma Maison vous a révélés. Levez les yeux, vous verrez des signaux.

Dans un pays, [le Rio de] la Plata devient froid comme de la glace.

Priez, Mes enfants, priez pour l’Amérique Centrale, priez avec force.

Priez, Mes enfants, priez pour le Mexique, priez avec force.

Priez, Mes enfants, priez pour les États-Unis, priez pour ce pays.

Enfants bien-aimés :

VOUS DEVEZ PRIER SANS NÉGLIGER LA PRIÈRE D’INTERCESSION POUR LE MONDE ENTIER (cf. Ep 6, 17-18).

Continuez à prier, les entrailles de la Terre s’agitent cherchant à émerger et la Terre est affectée de l’extérieur.

Priez le Saint Trisagion, le Saint Rosaire et continuez à intercéder les uns pour les autres.

Mes enfants, Je vous aime, Je vous offre Mon Amour pour que vous vous en nourrissiez, Je vous donne Ma Miséricorde pour que vous l’accueilliez, Je vous donne Mon Sang pour que vous soyez sauvés (cf. Mt 26, 27-28).

NE CRAIGNEZ PAS, JE SUIS AVEC CHACUN D’ENTRE VOUS.

SAINT MICHEL ET SES LÉGIONS VOUS PROTÈGENT ET VEILLENT SUR VOUS EN PERMANENCE.

Votre Jésus