Message donné à Gisela Cardia, à Trevignano Romano, en septembre 2024

Message de la Reine du Rosaire remis à Gisella le 23 septembre 2024

Chère fille, merci de m’accueillir une fois de plus dans ton cœur.

Mes enfants, je vous demande de vous réveiller de cette torpeur dans laquelle vous êtes tombés depuis quelques temps. Le mal et les ténèbres ont recouvert la terre. Et vous continuez à vivre continuellement dans le mensonge, au lieu de suivre la Parole de Dieu qui est le seul Chemin, Vérité et Vie !

Vous vous fiez aux hommes et non plus à Dieu. Vous n’êtes plus guidés par son Esprit Saint, mais par l’hypocrisie du monde. Mes enfants, revêtez sa lumière et convertissez-vous dès aujourd’hui !

Vos actions attirent le châtiment parce que vous ne comprenez pas. Soyez inébranlables dans la prière, aimez de tout votre cœur ! Soyez frères en Christ et priez pour l’Église du Christ ! Regardez en avant avec vos yeux vers le Ciel.

Je vous bénis maintenant au nom de la Très Sainte Trinité.

Message de la Reine du Rosaire remis à Gisella 21 septembre 2024

Chers enfants, merci d’être ici en prière pour la consolation de Mon Cœur et celui de Mon Fils bien-aimé.

Mes enfants, les larmes de sang sont la souffrance que je ressens en voyant tant d’enfants qui ne comprennent pas ce qui se passe dans le monde. Pourquoi tant d’indifférence ? Otez l’orgueil, l’envie, la jalousie, l’injustice, la haine et le ressentiment que vous avez dans votre cœur et jusqu’à ce que la justice, l’amour et l’équité entrent, il n’y aura pas de paix dans le monde, mais la souffrance et la mort.

Mes enfants, je vous en supplie, regardez Jésus et sa crucifixion continuelle !

Enfants, Jérusalem pleurera avec l’Angleterre, la France et l’Allemagne.
L’Italie est en grand danger… surtout Rome !

Je demande aux prêtres, aux évêques et aux cardinaux d’ouvrir leur cœur pour laisser entrer l’Esprit Saint. S’il vous plaît, écoutez mes paroles.

Enfants, je souffre beaucoup pour cette Croix que vous avez été obligés de prendre à cause d’hommes injustes, malheureusement, ils n’ont pas compris que ce serait leur salut. Je vous aime et je veux vous sauver ! C’est pourquoi je viens vous guider et vous instruire, comme Mère, Avocate et Co-Rédemptrice de l’humanité.

Maintenant je vous bénis, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit et je vous couvre de mon Manteau Béni.

Message de Jésus donné à Gisella 17 septembre 2024

Mes fils et mes frères, vous regardant à mes pieds dans la prière et dans la foi du coeur, vous consolez mon Coeur dévasté par le péché.

Mes frères, maintenant les masques, comme annoncé, sont tombés. Le mal n’a plus de secrets. Il ne se cache plus ! Ce monde de péché va bientôt prendre fin ! L’ère de la vraie Paix viendra. Vous, Mes bien-aimés, serez protégés, mais ayez la Foi. Frères, il est inutile de chercher des endroits pour vous protéger.

Ne savez-vous pas que l’endroit le plus sûr n’est pas le monde, mais mon Coeur très pur et celui de ma Mère bien-aimée ! Il n’y aura pas d’endroit plus sûr où vous serez protégés.

Écoutez ma voix en silence.

Je vous parlerai et chacun de vous saura quoi faire, car c’est Moi qui vous guiderai sur le bon chemin. Adorez-moi, cherchez-Moi dans l’Eucharistie !

Je ne vous laisserai jamais seuls ! Je serai avec vous dans la prière et je vous bénirai l’un après l’autre.

Au nom du Père, de mon très saint nom et du Saint-Esprit !

Votre cher Jésus.

Message de la Reine du Rosaire remis à Gisella 16 septembre 2024

Chers enfants, à partir d’aujourd’hui je vous invite à prier avec force pour la Paix !

Je vous invite à l’abandon filial à l’Espérance. Je vous invite à prier pour l’Église du Christ ! Rappelez-vous, mes enfants, que mon Cœur Immaculé est votre refuge sûr, où vous serez consolés, aimés et protégés.

Enfants, venez à Moi ! Donnez-moi vos mains et je vous conduirai à Jésus.

Bientôt, Dieu purifiera ce monde avec le grand châtiment miséricordieux.

Maintenant je vous laisse avec ma bénédiction, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisela le 14/09/2024

Mes enfants, merci d’avoir écouté mon appel dans vos cœurs et d’avoir plié les genoux dans la prière.

Mes enfants, mes amours, le chemin de la sainteté est celui que vous devez emprunter. Mes enfants, mes amours, ce manteau de pourpre, qui a été mis sur Jésus, est maintenant aussi sur vous…. le manteau de la souffrance, qui sera étendu à tous ceux qui croient en Dieu et surtout luttent pour la Vérité de la Foi. Mais vous aussi, comme Jésus, vous serez dans la gloire en sa présence. Là, vous aurez une place d’honneur.

Enfants bien-aimés, sachez que la seule vraie religion est la religion chrétienne, catholique, apostolique et romaine. Il n’y en a pas d’autre, à cause de ce que Jésus, le Fils bien-aimé de Dieu fait Homme pour vous, a laissé derrière lui. C’est Lui qui a vaincu la mort ! C’est Lui seul qui vous a sauvés du péché. Ne cherchez pas les idoles… ! Et ne soyez pas dans la confusion qui règne en ce moment.

Mes enfants, tout s’accomplira ! Vous devez bientôt être prêts et forts. Je vous demande, en tant que Mère, d’augmenter vos prières. Continuez à établir des cercles de prière afin que la colère de Dieu puisse être tempérée. Mes enfants, je vous aime et je porterai vos prières à mon Jésus.

Je vous bénis, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, que la paix habite dans vos coeurs.

Message de la Reine du Rosaire remis à Gisella le 7 septembre 2024

Enfants bien-aimés, merci d’être ici en prière et de vous agenouiller.

Mes enfants, combien d’avertissements vous avez reçus du ciel et pourtant vous continuez à vivre votre vie habituelle.
Enfants, maintenant les apparitions seront plus fréquentes, jusqu’à ce qu’elles arrivent à la fin.

Enfants, voici, ce sont les temps où toutes les prophéties se réaliseront. Mes enfants, je vous demande de vous consacrer, vos familles et vos maisons à Mon Cœur Immaculé et au Cœur Très Pur de Jésus.

Mes enfants, les tremblements de terre seront plus fréquents, jusqu’à ce que le plus fort de tous arrive. Gardez toujours les bougies bénies à portée de main, vous en aurez bientôt besoin.

Les maladies fabriquées dans les laboratoires seront libérées dans l’air, les puissants ne comprennent pas que leur punition sera sévère.

Je vous en conjure, revenez à Dieu et demandez pardon pour ce que vous faites à l’humanité et à cette terre.

Mes enfants, soyez prêts, mais vous ne devez pas avoir peur, il suffit de lire la parole de Dieu et de prier le Saint Rosaire pour anéantir le diable.

Je vous bénis maintenant au nom de la Très Sainte Trinité, amen.




L’Apparition de la Très-Sainte-Vierge sur la Montagne de La Salette le 19 septembre 1846

Nous reproduisons une revue parue en 2006 (l’Impartial n°199), publiée par le Père Michel Corteville, spécialiste de La Salette.

L’Apparition de la Très-Sainte-Vierge sur la Montagne de La Salette

le 19 septembre 1846

Récit de Mélanie complété par Maximin

Imprimatur de l’évêché de Lecce, Italie, 1879. Sur la couverture, ce titre est suivi de la parole du message : « Eh bien! Mes enfants, vous le ferez passer à tout mon Peuple. »

1. la rencontre des deux bergers

Le 18 septembre, veille de la Sainte Apparition de la Sainte Vierge, j’étais seule, comme à mon ordinaire, à garder les vaches de mes Maîtres. Vers les onze heures du matin, je vis venir auprès de moi un petit garçon. A cette vue je m’effrayai, parce qu’il me semblait que tout le monde devait savoir que je fuyais toutes sortes de compagnies. Cet enfant s’approcha de moi et me dit : « Petite, je viens avec toi, je suis aussi de Corps. » A ces paroles, mon mauvais naturel se lit bientôt voir, et, faisant quelques pas en arrière, je lui dis : « Je ne veux personne, je veux rester seule. » Mais cet enfant me suivait en me disant : « Va, laisse-moi avec toi, mon Maître m’a dit de venir garder mes vaches avec les tiennes : je suis de Corps. » Moi, je m’éloignai de lui, en lui faisant signe que je ne voulais personne, et, après m’être éloignée, je m’assis sur le gazon. Là, je faisais ma conversation avecles petites fleurs du Bon Dieu. Un moment après, je regarde derrière moi, et je trouve Maximin assis tout près de moi. Il me dit aussitôt: « Garde-moi, je serai bien sage. » Mais mon mauvais naturel n’entendit pas raison. Je me relève avec précipitation et je m’enfuis un peu plus loin sans rien lui dire, et je me remis à jouer avec les petites fleurs du Bon Dieu. Un instant après, Maximin était encore là, à me dire qu’il serait bien sage, qu’il ne parlerait pas, qu’il s’ennuierait d’être tout seul, et que son Maître renvoyait près de moi, etc …
Cette fois, j’en eus pitié, je lui fis signe de s’asseoir, et, moi, je continuai avec les petites fleurs du Bon Dieu. Maximin ne tarda pas à rompre le silence, il se mit à rire (je crois qu’il se moquait de mai), je le regarde et il me dit : « Amusons-nous, faisons un jeu. » Je ne lui répondis rien, car j’étais si ignorante que je ne comprenais rien au jeu avec une autre personne, ayant toujours été seule. Je m’amusais avec les fleurs, toute seule, et Maximin, s’approchant tout à fait de moi ne faisait que rire en me disant que les fleurs n’avaient pas d’oreilles pour m’entendre et que nous devions jouer ensemble. Mais je n’avais aucune inclination pour le jeu qu’il me disait de faire. Cependant je me mis à lui parler, et il me dit que les dix jours qu’il devait passer avec son Maitre allaient bientôt finir et qu’ensuite il s’en irait à Corps chez son père, etc… Tandis qu’il me parlait, la cloche de la Salette se fit entendre, c’était l’Angelus ; je fis signe à Maximin d’élever son âme à Dieu. Il se découvrit la tête et garda un moment le silence. Ensuite je lui dis :  » Veux-tu dîner ?  – Oui, me répondit-il. Allons.  »


Nous nous assîmes, je sortis de mon sac les provisions que m’avaient données mes Maîtres et, selon mon habitude, avant d’entamer mon petit pain rond, avec la pointe de mon couteau je fis une croix sur mon pain, et, au milieu, un petit trou, en disant « Si le diable y est qu’il en sorte, et si le Bon Dieu y est qu’il y reste ! » et vite, vite, je recouvris le petit trou. Maximin partit d’un grand éclat de rire et donna un coup de pied à mon pain, qui s’échappa de mes mains, roula jusqu’au bas de la montagne et se perdit. J’avais un autre morceau de pain ; nous le mangeâmes ensemble ; ensuite nous fîmes un jeu ; puis, comprenant que Maximin devait avoir besoin de manger, je lui indiquai un endroit de la montagne couvert de petits fruits. Je l’engageai à aller en manger, ce qu’il fit aussitôt ; il en mangea et en rapporta plein son chapeau. Le soir nous descendîmes ensemble de la montagne et nous nous promîmes de revenir garder nos vaches ensemble.

[Deuxième rencontre: le jour de l’apparition]

Le lendemain, 19 septembre, je me retrouvai en chemin avec Maximin. Nous gravissions ensemble la montagne. Je trouvais que Maximin était très bon, très simple, et que volontiers il parlait de ce dont je voulais parler, il était aussi très souple, ne tenant pas à son sentiment ; il était seulement un peu curieux ; car, quand je m’éloignais de lui, dès qu’il me voyait arrêtée, il accourait vite pour voir ce que je faisais et entendre ce que je disais avec les fleurs du Bon Dieu ; et s’il n’arrivait pas à temps, il me demandait ce que j’avais dit. Maximin me dit de lui apprendre un jeu. La matinée était déjà avancée. Je lui dis de ramasser des fleurs pour faire le « Paradis ». Nous nous mimes tous les deux à l’ouvrage ; nous eûmes bientôt une quantité de fleurs de diverses couleurs. L’Angélus du village se fit entendre, car le ciel était beau, il n’y avait pas de nuages. Après avoir dit au Bon Dieu ce que nous savions, je dis à Maximin que nous devions conduire nos vaches sur un petit plateau près du ravin, où il y aurait des pierres pour bâtir le « Paradis ». Nous conduisîmes nos vaches au lieu désigné, et ensuite nous prîmes notre petit repas ; puis nous nous mimes à porter des pierres et à construire notre petite maison,- qui consistait en un rez-de-chaussée qui, soi disant, était notre habitation, puis un étage au-dessus qui était selon nous le « Paradis ». Cet étage
était tout garni de fleurs de différentes couleurs, avec des couronnes suspendues par des tiges de fleurs. Ce « Paradis » était couvert d’une seule et large pierre que nous avions recouverte de fleurs ; nous avions aussi suspendu des couronnes tout autour. Le « Paradis » terminé nous le regardions ; le sommeil nous vint, nous nous éloignâmes de là à environ deux pas, et nous nous endormîmes sur le gazon.

La Belle Dame s’assied sur notre Paradis, sans le faire croûler… »

Maximim, de son côté, commence le récit par une prière :

 » Très Sainte Vierge Marie Immaculée, Notre-Dame de La Salette, permettez-moi de venir déposer à vos pieds ces quelques pages ; faites qu’aujourd’hui que je suis devenu homme, ma voix soit aussi pure, aussi véridique que le 19 septembre 1846, quand je descendis de votre sainte montagne pour annoncer, à tout Votre Peuple, la grande nouvelle dont vous m’avez chargé. Je n’aurais jamais écrit, bonne et très excellente Mère, si l’on ne mettait point en doute mon témoignage, si l’on ne le tournait point contre vous-même, si l’on ne me prêtait point des paroles lorsque je garde le plus profond silence. Je vous prie et je vous supplie, ô très sainte Vierge Marie, implorée sous votre titre de Notre-Dame de La Salette, de m’accorder, jusqu’à la fin de mes jours, la grâce de confesser votre apparition, comme tous les témoins de l’Eglise ont fait pour la divinité même de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »

Maximin enchaîne avec le récit :
« II est midi. Ce n’est point l’heure des ténèbres si favorable aux illusions ; le ciel est serein ; les nuages dans leurs formes étranges ne nous feront voir aucun fantôme ; le soleil brille du plus vif éclat ; il sera facile aux deux témoins de comparer sa splendeur avec celle de la très sainte Vierge. Je dis ces choses, car, pour le plaisir de nous combattre, quelles hypothèses n’a-t-on pas inventées ? Assis au sommet de la Sainte Montagne, sur des pierres placées les unes sur les autres et formant une espèce de banc, près d’une fontaine tarie qui a coulé le jour même, qui depuis coule toujours et porte le nom de fontaine miraculeuse, Mélanie et moi faisons notre frugal repas. Nos vaches boivent et se dispersent. Fatigué, je m’étends sur le gazon et je dors. Quelques instants après j’entends la voix de Mélanie m’appelant : Mémin (diminutif de Maximin), Mémin, viens vite que nous allions voir où sont nos vaches. Je me réveille en sursaut, je saisis mon bâton et je suis Mélanie qui me servait de guide. Nous franchissons la Sézia, nous gravissons rapidement le versant d’un monticule et nous apercevons sur l’autre versant, nos bestiaux qui reposaient tranquillement.

II. Début de l’apparition

Nous revenions vers le banc de pierre où nous avions laissé nos panetières quelques instants auparavant, quand tout à coup Mélanie s’arrête, son bâton lui échappe des mains ; effrayée, elle se tourne vers moi en disant :
– Vois-tu là-bas cette grande lumière ?
– Oui, je la vois, lui répondis-je ; mais va, prends ton bâton.
Et alors brandissant le mien avec menace :
– Si elle nous touche, ajoutai-je, je lui en donnerai un bon coup.
Cette lumière, devant laquelle celle du soleil semble pâlir, parait s’entrouvrir et nous distinguons dans son intérieur la forme d’une dame encore plus brillante. Elle avait l’attitude d’une personne profondément affligée ; elle était assise sur l’une des pierres du petit banc, les coudes appuyés sur ses genoux et le visage caché dans ses mains.


Quoique à une distance de vingt mètres environ, nous entendons une voix douce comme si elle sortait d’une bouche voisine de nos oreilles, disant ;
– Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous annoncer une grande nouvelle .
La crainte respectueuse qui nous avait tenus en arrêt s’évanouit ; nous courons à elle comme à une bonne et très excellente mère. »

Reprise du récit de Mélanie :
« Ces douces et suaves paroles me firent voler jusqu’à elle, et mon cœur aurait voulu se coller à elle pour toujours. Arrivée bien près de la Belle Dame, devant elle à sa droite, elle commence le discours, et des larmes commencent aussi à couler de ses beaux yeux :
« Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller la main de mon Fils. Elle est si lourde et pesante que je ne puis plus la retenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Et, pour vous autres, vous n’en faites pas cas. Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que j’ai prise pour vous autres.
Je vous ai donné six jours pour travailler, je me suis réservé le septième, et on ne veut pas me l’accorder. C’est ce qui appesantit tant le bras de mon Fils.
Ceux qui conduisent les charrettes ne savent pas parler sans y mettre le nom de mon Fils au milieu.
Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils. Si la récolte se gâte, ce n’est qu’à cause de vous autres. Je vous l’ai fait voir l’année passée par les pommes de terre, vous n’en avez pas fait cas ; c’est au contraire quand vous en trouviez de gâtées, vous juriez, et vous mettiez le nom de mon Fils. Elles vont continuer à se gâter, à la Noël il n y en aura plus.  »
Ici je cherchais à interpréter la parole : pommes de terre ; je croyais comprendre que cela signifiait : pommes. La Belle et Bonne Dame, devinant ma pensée reprit ainsi.
« Vous ne comprenez pas, mes enfants, je vais vous le dire autrement.  »
La traduction en français [du discours que la Vierge continue maintenant en patois] est celle-ci :
« Si la récolte se gâte, ce n’est rien que pour vous autres ; je vous l’ai fait voir l’année passée par les pommes de terre, et vous n’en avez pas fait cas ; c’était, au contraire, quand vous en trouviez de gâtées, vous juriez et vous mettiez le nom de mon Fils. Elles vont continuer à se gâter et, à la Noël, il n’y en aura plus. Si vous avez du blé, il ne faut pas le semer. Tout ce que vous sèmerez, les bêtes le mangeront, et ce qui viendra tombera tout en poussière quand vous le battrez. Il viendra une grande famine. Avant que la famille vienne, les petits enfants au-dessous de sept ans, prendront
un tremblement et mourront entre les mains des personnes qui les tiendront ; les autres feront pénitence par la faim. Les noix deviendront mauvaises ; les raisins pourriront.  »

Ici, la Belle Dame, qui me ravissait, resta un moment sans se faire entendre ; je voyais cependant qu’elle continuait comme si elle parlait, de remuer gracieusement ses aimables lèvres. Maximin recevait alors son secret.

A suivre…

 




Les bergers de la Salette

Nous reproduisons des articles d’une revue parue en 2006 (l’Impartial n°199), publiée par le Père Michel Corteville, spécialiste de La Salette.

Qui donc connaît les témoins de La Salette ? Avant de découvrir leur message, n’oublions pas de les rencontrer.

C’est le premier évêque vrai pèlerin de La Salette, Mgr Villecourt, qui nous fait le meilleur portrait de Mélanie, puis de Maximin, un an après l’apparition :

« Réunissez dans votre imagination tous les traits qui vous semblent devoir peindre la modestie la plus parfaite et la plus saisissante, et vous aurez à peine une idée de celle de Mélanie. Elle a un visage régulier et délicat : ses yeux sont pleins de douceur, et sa voix est d’une aménité angélique qui vous pénètre, à l’instant, d’estime et d’une certaine considération. Rien qui annonce la rusticité des bergères de la montagne. Changez ses vêtements, et vous ne soupçonnerez plus qu’elle est née dans le plus misérable des réduits, et que ses parents, ses frères et sœurs attendent l’aumône qui doit secourir leur profonde indigence. Mélanie a près de seize ans : à peine croirait-on qu’elle en a douze. Elle parle peu, et seulement quand on l’interroge. Alors elle le fait avec une grâce qui emprunte du ton délicieux de sa voix et de sa retenue un charme inexprimable. Ce qu’elle dit est d’une justesse qui ravit : mais elle ne s’en doute pas : un enfant de six ans ne s’exprimerait pas avec plus de simplicité et moins de prétention. Elle paraît attacher beaucoup d’intérêt à l’explication de la doctrine chrétienne. Elle dit sans façon ce qu’elle pense sur les points susceptibles de recevoir des interprétations diverses : mais si un autre développement leur est donné, elle laisse apercevoir, par un modeste sourire, qu’elle l’accueille avec satisfaction. Elle n’est pas sans vivacité, mais on voit qu’elle sait la contenir par une disposition naturelle de convenance : elle est ingénue et sans détour. Elle ne partage pas toujours l’avis de Maximin, qui ne s’en fâche pas ; mais si elle émet une opinion différente, elle n’y donne pas, pour cela, de la valeur et de l’importance …
.. Maximin, d’un caractère vif mais sans aucun emportement, ne peut ouvrir la bouche sans inspirer de l’intérêt par la suavité de sa parole et la candeur avec laquelle il s’exprime. Il est naturellement aimant, caressant, reconnaissant et sensible, ses yeux sont beaux et étincelants. Sa bouche est un peu grande ; mais elle devient très gracieuse quand il fait la conversation. Il a toujours alors quelque chose il remuer… Il est très petit, mince, délicat et porte trois ans au dessous de son âge. Sa figure est ronde, sa peau blanche et fine : son teint annonce la santé ; ses yeux sont grands, beaux et pleins d’expressions. Il aime les jeux et les amusements autant pour le moins que les autres enfants de son âge, il ne prend aucune précaution pour dissimuler
cet attrait… Il est généreux et désintéressé : il se dépouillerait de tout ce qu’il a pour vous le donne … Il est si pur qu’il n’a pas même l’idée du vice… Il va à  la prière avec le même bonheur et le même empressement qu’il se porte au jeu de l’enfance. Son attrait est de servir la messe. On conçoit à peine qu’un enfant qui se montre avec un caractère naturellement volage, soit si ferme et si constant à garder le secret de ce qu’il ne doit pas dire … »

Mais que fut leur vie ? Tout le contraire de la facilité et de la gloire !Admiration parfois, persécution, calomnie ou mépris.

Mélanie a retrace en style télégraphique son pèlerinage terrestre en un « memorandum » :

Je suis née à Corps (Isère) le 7 Novembre 1831. Pendant les années 1838.1839 j’étais occupé (tantôt dans une famille et tantôt dans une autre) à la garde d’un petit enfant ou à garder les brebis, pendant l’été, à Corps même. En 1841 et 1842, hors du bourg chez une famille qui avait sa maison isolée sur une montagne, le plus proche village s’appelait le Serre, de la commune de St Jean des Vertus.

« En 1843 et 1844, je suis restée à Ste Luce. -En 1845, je suis restée un an seulement à Quet en Beaumont. -En 1846, je suis resté au village des Ablandins, commune de la Salette… -En 1847 environ, je suis entrée comme pensionnaire, à Corenc chez les Sœurs de la Providence. -En 1850 ou environ, je suis allée à Corenc chez les Sœurs de la Providence comme probande (ou postulante). En 1854, (je fus livrée, donnée) je partis pour l’Angleterre… En 1860, je suis retournée en France, à Marseille et là le fondateur des sœurs de la Compassion (Jésuite) me fit entrer comme pensionnaire libre dans la maison-mère. Je m’expliquerai plus loin sur certains faits. A présent je continue à voyager et comme je l’espère dans la volonté du Très-Haut qui n’a pas à consulter ses viles créatures. -En 1861 en Novembre je suis allée avec deux autres Sœurs, en Grèce, dans l’ile de Cefalonia (Céphalonie) pour diriger un orphelinat. -En 1863, 28 Juillet, nous avons quitté Cefalonia et rentrées à Marseille. -En 1867, 13 avril, j’ai quitté Marseille. Eh ! … Mg Ginoulhiac ne me voulant pas dans son Diocèse, m’envoya faire un pèlerinage sur ma montagne tandis que Sa Grandeur écrirait à Mg. Petagna Ev. de Castellamare. Eh ! la réponse tardant, de la montagne je fus envoyée à Voirons chez les Visitandines, en Mai la réponse de Mgr. arrive et je crois même l’avoir encore. -En 1867,  21 mai, je quittais la France pour Castellamare di Stabia (Italie). J’y suis restée 17 ans et en 1871 je suis allée une fois en pèlerinage sur la Ste Montagne de la Salette, puis voir mes parents et mes amies. -En 1878, je fus mandé à Rome par sa Sainteté Léon XIII, vers la fin de Novembre qui daigna m’octroyer une audience privée ; et peu de jours après elle décida mon entrée chez les Salesiane (Visitandines) au mont Palatin, et ce furent Son Eminence Ferreri Préfet de la Congr. des Evêques et Réguliers et son secrétaire Mgr Blanchi qui le 3 Décembre me fit entrer pour que j’écrive ce que le St Père m’avait demandé. Je sortis des Visitandines (toujours par l’ordre du Pape) le 5 de Mai 1879. pour me rendre à Castellamare. -En 1884, le 21 août. par ottorisation (sic) du St Père je suis retourné en France, soigner ma chère mère restée seule et très âgée. Après que le divin Maitre eût disposé de ma chère et pauvre mère je fis des démarches pratiques pour retourner dans ma chère Italie. En 1892 le 22 Août je partie pour l’Italie, à Lecce et de là à Galatina où je suis restée 5 ans. -En 1897 le 13 Septembre je partie pour Messine et j’en suis repartie le 2 Octobre soir 1898 pour Moncalieri près Turin. En 1899, je suis partie pour cette pauvre France en démence et suis venue a St Pourçain sur Sioule (Allier). En 1900, le 23 Juin je laissais St Pourçain sur Sioule pour venir ici à Diou (Allier) où je suis actuellement et ayant terminé hier 7 Novembre 1902, mes 71 ans. -Laissée Diou pour venir habiter Cusset (Allier). Arrive Mercredi 1er Août 1903, rue des Remparts, 13. (Copie aux archives de la curie des Missionnaires de La Salette à Rome.) »

Le 13 juillet 1904, Mélanie quine Cusset pour Altamura au Sud-Est de l’Italie. Mgr. Cecchini, évêque après avoir été religieux à Pompei, près de Castellammare, l’aide à s’installer. Elle y meurt « en odeur de sainteté » dans la nuit du 14 au 15 décembre 1904. Ses funérailles seront solennelles ; à son anniversaire, Saint Annibale prononcera son éloge funèbre. Plus tard il édifiera sa tombe dans l’église de la communauté fondée par ses religieuses pour la garder.

*

Ne possédant pas de curriculum de Maximin, en voici un très sommaire emprunté à deux historiens.

Pierre-Maximin Giraud, appelé familièrement Mémin, né à Corps le 26 (ou 27 ?) août 1835, est le quatrième enfant d’un pauvre charron. Il n’a pas encore atteint dix-huit mois quand il perd sa mère, décédée le 11 janvier 1837. Son père se remarie dès le mois d’avril de la même année. A en croire Champon, Maximin aurait été le souffre-douleur de la maison, ne mangeant qu’après les autres, tandis que son père s’absentait fréquemment soit pour son travail, soit pour aller au cabaret, où il aurait parfois amené l’enfant. En septembre 1846 Maximin a onze ans, mais n’ayant pas fréquenté l’école, il ne sait ni lire ni écrire et ne parle que le patois local. N’ayant pour ainsi dire aucune formation religieuse, il n’a pu être admis à préparer sa première communion. Son père déclarera qu’il n’a réussi à lui apprendre le Notre Père et le Je vous salue qu’avec peine, en trois ou quatre ans. D’après Pierre Seime, le paysan chez qui l’enfant demeura du 14 au 20 septembre, « Maximin était un innocent sans malice, sans prévoyance. Avant qu’il parlait pour mener nos vaches à la montagne, nous lui faisions manger la soupe ; puis nous garnissions sa blouse ou son sac de provisions pour la journée. Eh bien ! nous avons surpris Maximin qui, en chemin, avait déjà mangé ses provisions du jour en les partageant largement avec le chien. Et quand nous lui disions mais
que mangeras-tu dans la journée ? Maximin nous répondait mais je n’ai pas faim… ! »
A l’imprévoyance vient s’ajouter une « bougeotte quasi constitutionnelle :  il ne reste pas un instant sans agiter ses bras ou ses mains, qui semblent contractés par des mouvement nerveux », observe le chanoine Bez en mai 1847 .  » La grossièreté de Maximin est peu commune »,  écrit Dupanloup après une journée passée en sa compagnie. Son agitation surtout est vraiment extraordinaire : c’est une nature singulière, bizarre, mobile, légère. » Mais le futur évêque d’Orléans note également le changement étrange, profond, subit, instantané, qui s’opère dans l’enfant quand il parle du grand événement, la justesse de ses réponses, son humilité, sa simplicité : « on voudrait qu’il parlât toujours, qu’il ajoutât des détails, qu’il racontât ce qu’il a éprouvé, et ce qu’il éprouve encore : mais non ; il n’ajoute pas un mot à la réponse nécessaire».  Entré à l’école en automne 1846, ses progrès sont modestes en octobre 1850, à l’âge de quinze ans, il n’a pas atteint le niveau de l’entrée en sixième.
« … élève au petit séminaire du Rondeau, Près Grenoble, en 1850, il passe les vacances de 1851 – jusqu’à l’automne – à la Grande Chartreuse. En 1851 , il rentre au petit séminaire de la Côte-St-André, puis il poursuit ses études (1853-56) chez M. Champon, curé de Seyssins. (C’est en septembre 1854 qu’il fait avec M. Similien son premier voyage à Rome). Ce sont ensuite (mars 1856 à 1858) deux ans d’études au grand séminaire d’Aire-sur-l’Adour, où l’a emmené un frère de M. Champon, Jésuite, professeur dans ce séminaire. Et il en sort pour une vie qui ne cessera d’être malheureuse. Placé en 1858, chez le percepteur de la Tronche, il n’y reste pas faute de savoir le calcul. L’année suivante, 25 août 1859, il entre il l’hospice du Vésinet, mais il est bientôt remercié ; vient se placer au collège de Tonnerre, qu’il quitte en août 1851 ; il va faire un voyage au Havre, tombe malade, est soigné il l’hôpital Saint Louis à Paris, y prend le goût de la médecine, et grâce à de braves gens, de Paris, M. et Mme Jourdain, qui l’ont adopté, fait trois ans d’études médicales (1861-1864). Le Comte espagnol de Penalver devient aussi son «protecteur ».


En 1865 il voyage : à Froshdorf, grâce à la marquise de Pigneroles, fin avril, il visite Henri V, vient ensuite à Rome, et s’engage pour six mois dans les zouaves pontificaux. Pendant deux ans, une fois libéré, il cultive, sans succès, une petite propriété que le Comte de Penalver lui a procurée. Ses protecteurs perdent leur fortune, en 1870. Maximin – depuis 1868 – est revenu à Corps d’où il ne s’absentera plus que pour aller parfois à la Montagne. M. et Mme JOURDAIN l’y suivent, ne le quittent plus : ce sont ces années de misère commune et de faim qui le conduiront à cette déplorable fabrication d’une liqueur qui lui procurera autant de déboires que de déconsidération. Il vit, l’hiver, de la charité des missionnaires, mais sa santé s’altère et, en novembre 1874, il tombe gravement malade. Le 4 novembre 1874, il peut accomplir son dernier pèlerinage à La Salette, y refait son récit, – on ne sait combien de milliers de fois il l’a déjà fait, – repasse sur les pas de la Belle Dame. Entouré de ses parents adoptifs, il reste les derniers mois de sa vie dans la maison paternelle de Corps. Et là, très chrétiennement, il meurt le 1er mars 1875.


En ne réglant pas la liberté qu’ont que tous les curieux de le voir, de le questionner, de l’entendre, écrit en 1879, quatre ans après la mort de Maximin, M. Dausse, qui est, croyons-nous, celui qui l’a le mieux connu et le plus équitablement jugé, « faute », dit-il, « qu’on a sagement évitée à Bernadette », les années de formation de Maximin ont été sacrifiées. Maximin n’a été constant que comme témoin de l’Apparition ; car on ne peut plus nier qu’il l’ait été avec une fidélité à toute épreuve et avec une supériorité réelle et merveilleuse… Sa résignation, sa patience, sa foi, sa piété ont été admirables et il est mort de manière il faire dire au Père qui ne cessa de le visiter jusqu’à la fin : « je voudrais bien être à sa place.»

Ayant pris contact avec les témoins de Notre Dame de La Salette, découvrons maintenant l’apparition sous leur propre plume : celle de Mélanie surtout, aînée et premier des deux témoins. La découverte à l’aube de l’an 2000 de leur secret au Vatican permet d’en compléter le récit.
Comme Maximin le fait en 1866, c’est en 1879, longtemps après l’apparition, que la voyante nous livre son récit complet, où elle publie elle-même son secret. Contrairement aux faits ordinaires dont le souvenir se brouille avec le temps, l’apparition est une grâce surnaturelle qui oriente toute la vie de ses témoins. Comment ne pas prendre en compte, comme pour les Evangiles, le long travail d’approfondissement et d’intelligence que l’évènement a suscité chez ses enfants, illettrés lors de l’apparition, jusqu’à ce qu’ils puissent nous le consigner de leur propre initiative, et d’une manière définitive : pas comme des mots étranges sans contextes ni chaleur, mais comme un message de grâce qui les a peu à peu édifié, et dont ils vivent les premiers ?

Préparons-nous à lire une grande et belle histoire, plus vraie qu’on ne le croit dans son humanité et sa spiritualité.

A suivre…




Message de Marie à Medjugorje le 25 septembre 2024

Chers enfants,

Par amour pour vous, Dieu m’a envoyée parmi vous pour vous aimer, vous encourager à la prière et à la conversion à la paix, en vous, dans vos familles et dans le monde. Petits enfants, n’oubliez pas que la vraie paix ne vient qu’à travers la prière, elle vient de Dieu qui est votre paix.

Merci d’avoir répondu à mon appel.

NB : Il est utile de préciser, contrairement à ce qui a été beaucoup publié ces derniers temps, que les récentes annonces du Vatican au sujet de Medjugorje ne sont (malheureusement) pas une reconnaissance des apparitions. Les nouvelles normes de discernement des apparitions établies cette année par le Vatican ne comportent plus de « reconnaissance » telles que les connaissions jusqu’à présent. Il ne faut donc plus en attendre pour aucune apparition…




L’apparition de la Salette présentée par ses bergers.

Photo en tête d’article : Maximim et Mélanie photographiés en 1848

Nous reproduirons dans les semaines à venir une revue parue en 2006 (l’Impartial n°199), publiée par le Père Michel Corteville, spécialiste de La Salette.

En voici le prologue :

Résumer en quelques mots le message de Notre Dame de La Salette n’est pas facile : il faudrait redire tout l’amour de Dieu que Marie a voulu y transmettre en soulevant le voile de l’éternité à des
yeux innocents. Mais avant d’en accueillir dans nos cœurs la grande nouvelle, des équivoques propagées sur l’apparition et ses voyants doivent être levées.

– D’abord, La Salette est-elle une apparition terrible, opposée à Lourdes qui ne serait que consolation ?

– Le croire, ce serait ignorer Lourdes : le »mot pénitence 3 fois répété, Bernadette mangeant de l’herbe et se barbouillant de boue, sa surtout vie de misère et de souffrance. Ce serait oublier encore la grande nouveauté de La Salette incarnée par le visage en larmes de Marie : celle de la tendre et réconfortante compassion de Dieu à nos malheurs. Dieu et ses saints pleurent aussi, dans leur gloire, avec ceux qui pleurent sur terre ! Le ciel n’est pas heureux au dessus de nos malheurs. Voilà donc la ruine d’une théologie sans cœur ni âme. Dieu est bien Père et le meilleur des pères, autant père que mère : aussi tendre et compatissant que puissant.

-Il est vrai qu’à La Salette, Marie se fait prophète du péril qu’encourt l’humanité et dénonciatrice du péché, le mal radical. Faut-il s’autoriser de ses paroles médicinales pour parler de retour à l’Ancien Testament ?

– Outre que la tendresse divine n’est pas absente de cette partie de la Bible, ce serait encore oublier le contraste qui partage le discours évangélique en deux registres. Jésus se montre aussi miséricordieux avec les pécheurs conscients de leur faute, qu’il se fait terrible aux orgueilleux et aux  hypocrites, fussent-ils docteurs et chefs de son  peuple. Et même dans ce cas, Jésus stigmatise le péché mais pas le pécheur : il a accepté Judas l’Apôtre auprès de lui tout en le sachant voleur et traître.
Le vocabulaire prophétique est d’ailleurs fait de mots humains inappropriés à Dieu mais capables de nous interpeller. Colère et vengeance contre les êtres n’existent pas en lui. On ne peut opposer
la plus-que-colère de Dieu contre le mal, qui est le contraire de lui-même, et sa miséricorde pour les créatures œuvres de ses mains. Parler de la « vengeance » de sa justice, c’est exprimer sa tolérance provisoire du mal, surtout dans la mesure où la liberté de l’homme est en jeu, en même temps que sa réprobation, et tôt ou tard, sa répression à la juste mesure de toutes les formes de mal, avec une ample compensation pour ses victimes.
A La Salette, Marie qui parle en prophète est juste en ce qu’elle ne reproche rien aux païens et secoue d’abord la foi des baptisés. Dans le secret de Mélanie, elle interpelle leurs pasteurs avec la
même véhémence que le Christ, selon l’adage du Saint Curé d’Ars : pasteur médiocre, peuple mauvais. Mais elle se penche sur deux gosses recalés au catéchisme : Maximin l’orphelin, qui troque l’église pour le cabaret avec son père, et Mélanie la mal-aimée, toute proche de Dieu dans la souffrance et la nature, comme Bernadette à Bartrès.
Saint Jean-Marie Vianney a bien compris La Salette, mais après avoir longtemps douté, lui, le saint patron des curés – du redoutable curé de Lourdes aussi – en concluant : « Que la Sainte Mère
de Dieu est bonne d’être descendue sur la terre pour nous ! Elle y a pleuré pour nous, pauvres pécheurs ! Il faut bien être reconnaissant et profiter de ses miséricordes. Oh! J’y crois bien et j’en
suis heureux [ … Par La Salette] on comprendra la bonté de la Ste Vierge pour les pauvres pécheurs, et ce n’est pas tout, ce sera de mieux en mieux. Il y aura bien des peines et des tribulations,
mais ce sera pour le bien, et surtout ayons confiance. »

La Salette, parole insupportable aux d’oreilles savantes ? Méditons pour notre part la description à suivre de Notre Dame faite par la « pauvre Mélanie », comme disent des pasteurs avec mépris. (Et qui figure au rang des « PLUS BEAUX TEXTES SUR LA VIERGE MARIE » édités en livre de poche P. Régamey, théologien dominicain). Nous partagerons alors le bonheur d’avoir nous aussi près de nous une telle mère, et pour Sauveur, vivant sur son cœur, Jésus roi d’amour et d’humilité !

« – La Salette … Les pommes de terre ! » ironisait encore Mgr Saliège, grand évêque de Toulouse … Apparition de pacotille ?

– Pas d’idéalisme ! Dieu s’intéresse aussi au matériel qu’il a créé, au « pain quotidien » que la foi et la charité peuvent multiplier. S’il s’adresse aux producteurs et consommateurs de légumes, il parle
aussi sans plus de cérémonie aux « grands » du monde. La Salette a mobilisé, avec la campagne et la ville, les sages : philosophes, théologiens, pasteurs, saints. Dieu rappelle à tous, et à titre d’exemple, aux transporteurs ou aux paysans, qu’à force d’être maudit ou chassé, il n’est pas importun et sait se retirer avec ses bienfaits non désirés … Et il le dit aussi aux nations et à un chef précis, le futur Napoléon III. Quant au secret de Mélanie, comme dans le reste du message, la force du style et l’ampleur des descriptions n’ont pas d’égal. Il confirme la grande tradition mystique de l’Eglise, selon les modalités du genre prophétique qui n’est pas à prendre au pied de la lettre. Après cette précision, le pape Benoît XV ne discute pas sa substance d’origine divine devant Maritain ! [1] Concrètement, qui pourra rire de l’annonce, dans les secrets officiels de 1851 désormais connus, « au plus tard aux années 2000, de la perte de la pratique religieuse des 2/3 de la France ? Ou de la venue d’un pape « attendu de personne » ? Ou d’un pontife sur qui « on tirera » sans pouvoir le mettre à mort ? Ces prophéties avérées sont un gage pour les autres. Sans les ignorer, ne nous laissons pourtant pas troubler par les prédictions apocalyptiques du message de la Vierge – Femme revêtue de soleil que le dragon guette (Ap. 12)- Elles sont conforme à l’Ecriture. Guerres, cataclysmes, persécutions, destructions, tout cela n’est-il pas prédit comme les convulsions qui précéderont la libération (Mt 24, 6-8) ? Quant à Paris, la cité la plus prisée du monde, des mystiques ont aussi parlé de ses malheurs futurs. En note du secret, on lira des paroles de Don Bosco … Mais pourquoi craindre pour la chair ?

Mgr de Bruillard qui accueillit l’apparition et ses voyants

 

– Don Bosco, on pourrait peut-être le croire, mais les voyants de La Salette ? Ils ont mal tourné ! Maximin le noceur, Mélanie la folle ? C’est écrit dans les meilleurs livres !

-C’est en effet ce que des athées, mais aussi de respectables clercs ont inventé pour tourner en dérision leur parole. Les bergers n’étaient-ils pas trop pauvres et francs pour faire entendre Marie dans leurs salons ? La censure était elle plus difficile que la conversion ? En vérité, à leur manière très différente, après être passés par l’évangélique creuset de la souffrance, les bergers de Marie sont bien arrivés tous les deux – si l’on en croit leurs proches, dont Saint Annibale qui priait lui-même Mélanie- aux côtés de celle qui les a choisi entre tous.

Saint Annibale di Francia

Sur leur pas, méditons le grand remède que Marie nous apprend. Retrouvons l’humilité de l’amour filial, l’obéissance à Dieu, la haine du péché et des injustes richesses, la soif des valeurs sans
prix. Efforçons nous de donner, à tous les niveaux, le témoignage chrétien, radical et intrépide, qui nous est enseigné par la Règle de la Mère de Dieu sous son camouflage de mots simples et forts. Que par ce retour à la source, tout près de Marie, le mal soit vaincu et que le Père se réjouisse au ciel, en son Fils enfin aimé de tous les cœurs.

Abbé Michel Corteville [2]

________________________________________________
[1] Dans ses souvenirs (CARNET DE NOTES, 1965,008), Maritain résume l’attitude du pape et la distinction : -fond authentique -forme à interpréter- par une formule latine. C’était déjà l’opinion des défenseurs du secret : Mgr Zola, évêque de Lecce qui en autorisa la publication après que le secret eut été lu par Léon XIII, le célèbre Père Semenenko, etc. Si la publication du secret de
Mélanie fit scandale dans des évêchés français, et si des commentaires exaltés entraînèrent l’interdiction romaine de le commenter (1915), il n’a jamais été condamné sur le fond. La promulgation du nouveau code de Droit Canonique (1983) a d’ailleurs abrogé les anciens décrets.

[2] le Père Michel de Corteville est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la Salette , notamment « Découverte du secret de La Salette » co-écrit avec René Laurentin après que le P. De Corteville ait retrouvé dans les archives du Vatican l’original du premier récit écrit du secret par les voyants ; et aussi « La grande nouvelles des bergers de La Salette », sans doute l’ouvrage le plus complet sur ce sujet.




Notre-Dame de la Salette (19 septembre) : textes de la Messe

Cette fête commémore la célèbre apparition de la Très Sainte Vierge Marie à deux enfants : Mélanie Calvat et Maximim Giraud, le 19 septembre 1846, à la Salette, petite commune de l’Isère. La Sainte Vierge vint pleurer sur le péché des hommes, leur annoncer les châtiments qui les frapperaient s’ils ne se convertissaient pas. elle insista tout spécialement sur la sanctification du dimanche, le respect du Nom de Dieu et l’abstinence du carême. Cette messe propre fut accordée en 1943.

INTROIT Hébreux 4.16

Approchons-nous avec confiance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde, et de trouver grâce dans un secours opportun. Ps 88 Je chanterai éternellement les miséricordes du Seigneur ; de génération en génération ma bouche annoncera votre vérité. V/ Gloire…

COLLECTE

La Sainte Vierge est honorée à La Salette sous le titre de « Réconciliatrice des pécheurs ».

Seigneur Jésus-Christ qui, par votre précieux Sang, avez réconcilié le monde Dieu le Père et avez daigné établir votre Mère réconciliatrice des pécheurs, nous vous en prions : par la pieuse intercession de cette même bienheureuse Vierge Marie, faites que nous obtenions le pardon de nos péchés. Vous qui…

LECTURE du livre de la Genèse 9, 8-17

08 Dieu dit encore à Noé et à ses fils :

09 « Voici que moi, j’établis mon alliance avec vous, avec votre descendance après vous,

10 et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous : les oiseaux, le bétail, toutes les bêtes de la terre, tout ce qui est sorti de l’arche.

11 Oui, j’établis mon alliance avec vous : aucun être de chair ne sera plus détruit par les eaux du déluge, il n’y aura plus de déluge pour ravager la terre. »

12 Dieu dit encore : « Voici le signe de l’alliance que j’établis entre moi et vous, et avec tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à jamais :

13 je mets mon arc au milieu des nuages, pour qu’il soit le signe de l’alliance entre moi et la terre.

14 Lorsque je rassemblerai les nuages au-dessus de la terre, et que l’arc apparaîtra au milieu des nuages,

15 je me souviendrai de mon alliance qui est entre moi et vous, et tous les êtres vivants : les eaux ne se changeront plus en déluge pour détruire tout être de chair.

16 L’arc sera au milieu des nuages, je le verrai et, alors, je me souviendrai de l’alliance éternelle entre Dieu et tout être vivant qui est sur la terre. »

17 Dieu dit à Noé : « Voilà le signe de l’alliance que j’ai établie entre moi et tout être de chair qui est sur la terre. »

GRADUEL Psaume 35, 6.8

Seigneur, votre miséricorde est dans le ciel et votre vérité s’élève jusqu’aux nuées. V/ Votre miséricorde est infinie, ô Dieu : les enfants des hommes espérerons à l’ombre de vos ailes.

ALLELUIA Genèse 9, 17

Alléluia, alléluia. V/ Tel sera le signe de l’alliance que j’ai conclue entre moi et toute chair qui vit sur la terre. Alléluia.

EVANGILE Jean 19, 25-27

25 Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.

26 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »

27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.

OFFERTOIRE Jérémie 18, 20

Souvenez-vous, ô Vierge, mère de Dieu, qui vous tenez en présence du Seigneur, d’intercéder en notre faveur, afin qu’il détourne de nous sa colère.

SECRETE

Nous vous offrons Seigneur, des hosties d’apaisement et de louange : afin que, par l’intercession de la bienheureuse Vierge Marie, réconciliatrice des pécheurs, vous nous pardonniez miséricordieusement nos fautes, et dirigiez nos cœurs chancelants. Par…

Préface de la Sainte Vierge.

COMMUNION

Très digne Reine du monde, ô Marie, Vierge perpétuelle, intercédez pour notre paix et notre salut, vous qui avez enfanté le Christ Notre-Seigneur, Sauveur de tous les hommes.

POST-COMMUNION

Que l’intercession perpétuelle de la bienheureuse Vierge Marie réconciliatrice vienne à notre secours, Seigneur ; afin que, par ces saints échanges, nous obtenions la grâce de votre miséricorde et la récompense de l’éternelle rédemption. Par…




Messages donnés à Luz de Maria, juillet et août 2024

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
31 AOÛT 2024

Je viens à vous par la Divine Volonté.

Enfants de Dieu Tout-Puissant,

CHACUN DE VOUS EST UN ENFANT DE DIEU,
MÊME SI VOUS NE LE RECONNAISSEZ PAS ET NE L’AIMEZ PAS.

Chaque fin du cycle de l’humanité a été forte en termes de purification ; certains l’ont vécu d’une manière, par exemple avec le Déluge (cf. Gen. 7, 17-24) et d’autres d’une autre forme. Cette génération très avancée est en train d’être purifiée grâce aux avancées dont disposent les puissances en ce moment, ainsi que par le pouvoir qu’un groupe maintient sur toute l’humanité et les décisions qu’elle prend, afin d’exercer de l’influence par son programme de domination tout orienté vers le Diable pour faire disparaître l’Église de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ.

Les projets visent à affaiblir la foi des êtres humains, en particulier la foi catholique, à conduire au déni de la Transsubstantiation dans la Célébration Eucharistique et à conduire l’Église de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ à être orpheline, sans Mère

Enfants de Dieu,

POUR QUE VOUS PUISSIEZ RESTER FERMES DANS LA FOI, VOUS DEVEZ DÈS MAINTENANT APPROFONDIR VOTRE CONNAISSANCE DES SAINTES ÉCRITURES POUR QU’ON NE VOUS TROMPE PAS ET NE VOUS AMÈNE PAS À ÊTRE TIÈDES, CAR « CELUI QUI EST TIÈDE VA ÊTRE VOMI DE LA BOUCHE DE DIEU LE PÈRE. » (cf. Apoc. 3,15)

Vous ne comprenez toujours pas que la foi sans les œuvres est morte (cf. Jacques 2, 14-17). Vous avez besoin de remplir vos mains et tout votre être de bonnes œuvres pour porter du fruit, en donnant un nouveau témoignage à vos frères et sœurs.

Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ ne priait pas uniquement, mais il allait donner du pain aux affamés, il donnait à manger à ceux qui avaient faim ; Il multipliait les pains et les poissons pour que chacun de vous puisse multiplier la Parole Divine et être un véritable évangélisateur pour ceux qui en ont besoin. La conversion est urgente pour que vous soyez assistés par l’Esprit Divin et puissiez ainsi donner des réponses ou prêcher avec des paroles de vie éternelle.

Vous vivez au milieu d’informations destinées à vous alerter et à vous maintenir entre « déjà » et « pas encore ». C’est bien que vous soyez informés et que vous ne viviez pas comme ceux qui ne savent même pas quel jour on est.

PRÉPAREZ CE DONT VOUS AVEZ BESOIN, CAR LA GRANDE SOUFFRANCE DE L’HUMANITÉ EST ARRIVÉE PAR DES MALADIES ET UNE AUTRE SOUFFRANCE VIENDRA D’UN CORPS CÉLESTE, QUI S’APPROCHERA DE L’ATMOSPHÈRE DE LA TERRE EN LA SECOUANT ET EN PROVOQUANT LES GRANDS TREMBLEMENTS DE TERRE REDOUTÉS.

La Maison de Notre Roi et Seigneur vous a avertis que vous vivrez des moments où un pays ne sera pas en mesure d’aider un autre parce qu’ils auront tous leurs propres situations d’urgence graves.

Enfants de Dieu, les entités qui incluent des représentants de tous les pays ou de la majorité d’entre eux doivent rester impartiales, sans approvisionner ni agrandir les pays qui n’ont pas d’armes, mais qui peuvent bien enflammer des puissances très dangereuses, qui feront un faux pas et la guerre éclatera en un clin d’œil.

FAITES ATTENTION !

Restez en alerte par rapport aux mouvements de la Corée du Nord, de la Russie, des États-Unis, de l’Angleterre, de la Chine et d’autres pays dont vous savez qu’ils sont importants pour la Troisième Guerre mondiale. Les mouvements des nations les plus mentionnées sur Terre doivent être surveillés attentivement.

Priez, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, priez pour toute l’humanité, qui subit les effets des éléments.

Priez, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, priez concernant les graves tremblements de terre qui vont se produire sur Terre.

Priez, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, priez concernant la gravité des effets du soleil sur la Terre, sur la technologie.

Priez, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, priez concernant l’obscurité qui touchera toute l’humanité : la grande panne.

Priez, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, priez les uns pour les autres.

Enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, le moment est venu, ne soyez pas indifférents aux appels de la Maison du Père, préparez-vous spirituellement et matériellement selon ce que chacun peut, mais n’oubliez pas :

C’EST LE MOMENT !
LE MOMENT ARRIVE !

N’oubliez pas l’utilisation de plantes et d’huiles médicinales pour soigner les maladies qui frappent déjà la Terre et qui sont contagieuses :

comme la variante de la lèpre, créée en laboratoire…
celles provoquées par les moustiques, étant très nocives pour la santé de l’être humain..
les maladies causées par les rats, que l’on retrouve principalement dans les grandes villes…
et le rebond du covid avec des changements en cette occasion…

Préparez-vous ; avec Mes Légions Célestes nous vous défendrons du mal du corps et de l’esprit, à condition que vous le veuillez et que vous soyez prêts à revenir à Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ.

PRÉPAREZ-VOUS, CAR L’HUMANITÉ A DÉJÀ CONNU DES DOULEURS, MAIS JAMAIS COMME EN CE MOMENT !

Priez et consacrez votre foyer aux Sacrés-Cœurs.

Commandées par Notre Reine et Mère, Mes Légions Célestes se tiennent devant l’humanité pour la défendre et l’aider.

Saint Michel Archange

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
23 AOÛT 2024
 

Mes enfants bien-aimés, enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé,

Comme une Mère qui vous aime, comme une Mère qui veille sur ses enfants, Je viens devant vous afin de vous inviter une fois de plus à réfléchir sur votre vie (cf. I Tim. 4, 16 ; Éph. 4, 22-24), pour que chacun prépare ce refuge intérieur et que sa conscience, ses actions et ses actes soient conformes à la Volonté de Dieu, reflétée dans les Commandements, dans les Sacrements, dans les Œuvres de Miséricorde, reflétée dans chaque pas que Mon Fils a fait sur terre.

Enfants bien-aimés, vous êtes à l’heure des fléaux et des grandes maladies qui affligeront toute l’humanité, mais la pire maladie et celle qui n’a pas de remède, c’est la maladie du rejet de Dieu dans la vie de chaque être humain. La maladie qui n’a pas de remède est celle que l’être humain prononce avec ses sens et avec sa parole : « Je ne crois pas en Dieu, je ne l’aime pas et je n’ai pas besoin de Lui. » C’est la pire maladie, qui n’a pas de remède. (cf. I Jn. 1,9) C’est pourquoi Je vous appelle à vous purifier spirituellement, d’accélérer vos pas vers la réunion avec Mon Divin Fils pour demander pardon. (cf. I Jn. 1,9)

Enfants, concernant les virus qui apparaîtront successivement à travers le monde, vous avez reçu de la Maison du Père, par la Divine Volonté, les médicaments que vous possédez dans la nature pour combattre ces maladies. Si vous utilisez d’autres médicaments, c’est Mon Fils qui en disposera ; cependant, vous possédez les médicaments que Nous vous avons donnés par la Volonté Divine afin que vous puissiez combattre et guérir les maladies qui arrivent et celles qui sont déjà sur Terre en ce moment, en train d’infecter Mes enfants.

Lorsque vous n’avez pas d’huiles pour avoir le mélange nécessaire pour traiter une maladie, cherchez quelques-unes des plantes principales et mettez-les avec foi, car si vous dites avec foi à une montagne de bouger, elle bougera ; (cf. Mc. 11, 22-23) si vous dites avec foi à Mon Divin Fils de vous guérir, Il vous guérira.

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé,

Priez pour les États-Unis, leur sol sera fortement secoué, Mes enfants.

Le Mexique souffrira grandement d’un séisme de forte magnitude.
Priez pour les États-Unis, qui vont subir la guerre.

Priez, petits enfants, pour le monde entier, priez pour le Chili. Le Chili va subir un grand tremblement de terre d’une grande ampleur.

COMBIEN DE FOIS NOUS VOUS AVONS AVERTIS, MES ENFANTS, ET VOUS N’AVEZ PAS CRU !
EN CE MOMENT, VOUS VERREZ CES AVERTISSEMENTS SE CONCRÉTISER SOUS VOS PROPRES YEUX.

Priez pour les Antilles, Mes enfants, priez, car le sang coulera et elles seront fortement secouées par le grand tremblement de terre.

Mes enfants, priez pour l’Amérique du Sud, le sang coulera dans plusieurs pays. Ils souffriront devant le spectre du communisme : il sera écrasé et les peuples libérés bientôt.

Priez, parce qu’un tsunami va atteindre l’Amérique du Sud et Mes enfants en souffriront.

Priez Mes enfants, priez pour la France, vous verrez le sang de ses enfants couler dans les rues, car la France a gravement offensé Dieu le Père. Depuis quelques jours, c’est le berceau de l’Antéchrist qui a rendu malades les esprits des jeunes.

Priez, Mes enfants, parce que l’Espagne sera envahie de l’intérieur, ce qui m’afflige.

L’Angleterre souffrira de la guerre. L’Italie souffrira de la guerre et sera ébranlée en tant que premier objectif de l’Antéchrist. La Russie souffrira, elle souffrira énormément.

Mes petits enfants, ce n’est pas que les pays que Je ne nomme pas ne souffriront pas, car ils vont tous être purifiés, ils vont tous être purifiés, certains plus que d’autres, mais ils ressentiront la guerre et la vivront de première main.

Priez, Mes enfants, pour Mes enfants en Ukraine.

Combien de douleur et quelle souffrance une seule personne cause à un pays ! Combien d’innocents ont péri, non seulement en Ukraine, mais aussi en Russie, et combien sont préparés par les grandes puissances à se battre en un instant, sur un seul appel.

EN TANT QUE MÈRE, J’AI BESOIN QUE LES ENFANTS DE MON FILS SOIENT DES CIERGES ALLUMÉS QUI NE S’ÉTEIGNENT PAS, PRIANT AVEC LA PAROLE, AVEC LE COEUR ET EN PRIANT AVEC LEURS ACTIONS.

Je vous aime tous parce que « Je vous ai tous reçus au pied de la Croix ».

Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Amen.

Maman Marie

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
22 AOÛT 2024

Mes enfants bien-aimés, Je vous aime, Je vous aime tous et Je vous attends afin de vous guider vers Mon Divin Fils.

Chers enfants,

JE VOUS SUPPLIE DE VOUS PRÉPARER AVEC LE NÉCESSAIRE AFIN DE FAIRE FACE AUX ÉVÉNEMENTS QUI ONT DÉJÀ ÉTÉ ACCÉLÉRÉS PAR CEUX QUI ONT DU POUVOIR GRÂCE À LA SCIENCE MAL UTILISÉE.

La progression de la maladie augmentera fortement, puisqu’elle a été propagée dans plusieurs pays.

Je vous ai alertés au sujet d’un variant rapidement contagieux de la lèpre dans Mon Appel du 23 avril 2024 et le 20 mai 2024 Je vous ai alertés quant à une maladie provoquée par la mutation d’une maladie antérieure, et vous n’en avez pas tenu compte…

Le 27 mars 2023 et le 28 mai 2024, Mon bien-aimé Saint Michel Archange vous a prévenus que cette maladie était déjà sur Terre, et vous n’en avez pas tenu compte…

Ce virus est douloureux à cause des éruptions cutanées qui s’infectent et se reproduisent ainsi dans tout le corps. Vous savez déjà quelles sont les plantes nécessaires pour lutter contre la maladie, à condition que la maladie soit découverte et combattue rapidement.

Petits enfants, tous les corps ne sont pas identiques ou ne réagissent pas de la même manière, alors restez vigilants et au moindre signe utilisez du calendula, de la fumaria, de l’huile de Saint Michel, de l’huile du Bon Samaritain et du moringa.

Enfants bien-aimés, d’autres virus s’approchent de l’humanité et vous empêcheront de vous déplacer d’un endroit à un autre.

Les rats sont à l’origine d’une autre maladie sévère qui se propage dans plusieurs pays en raison de la négligence des êtres humains.

IL Y AURA TROIS MALADIES EN MÊME TEMPS :

le virus de la pandémie précédente qui éclatera à nouveau…
la variante de la lèpre…
et la maladie transmise par les rats…

Ceci, combiné à l’état d’alerte au milieu de la Troisième Guerre mondiale, qui est très proche, amènera l’humanité toute entière à rester en alerte.

D’ABORD, GRANDISSEZ SPIRITUELLEMENT, PRENEZ SÉRIEUSEMENT LE CHEMIN VERS MON DIVIN FILS ET OBÉISSEZ AUX DEMANDES DE LA MAISON PATERNELLE QUI VOUS APPELLE À SAUVER VOTRE ÂME.

Enfants, vous voulez continuer dans la lutte vers la Vérité, pour rester unis à Mon Divin Fils, alors approfondissez votre connaissance de la Sainte Écriture. Connaissez les Saintes Écritures ! (cf. Actes 17:11).

Vous avez besoin de rester attentifs aux réactions de la nature, car les tremblements de terre deviennent plus fréquents et leur intensité augmentera, tout en provoquant de fortes secousses du noyau terrestre. Petits enfants, la Terre s’est affaiblie, l’eau avance dessus en sorte qu’il y a plus de mer et moins de terre.

Un objet venu de l’espace s’approchera de la Terre, effleurant l’atmosphère de loin, provoquant de forts mouvements de failles tectoniques et de grandes dévastations.

Petits enfants, cette Mère vous aime et Je vous annonce les événements dans la mesure où la Très Sainte Trinité Me le permet.

Priez, Mes enfants, priez, cette période de l’année est dangereuse, des événements se produiront auxquels vous ne vous attendiez pas, puisque vous les considérez comme plus lointains, mais face à une humanité si déshumanisée, sans Dieu et qui aime le Diable, vous allez goûter un calice amer.

Priez, Mes enfants, priez, venez à Mon Cœur Immaculé, entrez dans Mon Cœur où Je vous instruirai sur le chemin de la foi, sur le chemin de l’humilité, sur le chemin de l’espérance, sur le chemin de la charité. Celui qui possède l’humilité possède un grand trésor. Mes enfants, les esprits et les cœurs hautains souffriront davantage au moment de confronter les épreuves.

Les puissants des grandes nations n’attendront pas, ils se mettront en colère et ce qui a été reporté arrivera : la Troisième Guerre Mondiale.

Bien-aimés de Mon Divin Fils :

DANS CHAQUE ÊTRE HUMAIN SE TROUVE LE SAINT-ESPRIT (cf. I Cor. 6, 19-20), QUI VOUS INDIQUE LE MEILLEUR CHEMIN: LA BÉNÉDICTION QUE VOUS RECEVEZ DU SAINT-ESPRIT EST INFINIE, ALORS CONTINUEZ À FAIRE DES EFFORTS POUR RESTER SUR LE CHEMIN DU BIEN, EN REJETANT LE MAL.

Vous êtes aimés par la Très Sainte Trinité. Vous êtes aimés de votre Mère et protégés par Saint Michel Archange. Je vous demande encore un effort.

Recevez Mon amour maternel : Je vous aime, Je vous bénis.

Maman Marie

 

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
12 AOÛT 2024

Enfants bien-aimés de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, Je viens vers vous par la Divine Volonté.

VOUS ÊTES AIMÉS DE DIEU. CHAQUE ÊTRE HUMAIN FAIT PARTIE DU CŒUR DE LA TRÈS SAINTE TRINITÉ.

Je viens vous demander de rester unis et de vous unir fraternellement, d’être prudents et obéissants.

CECI N’EST PAS SEULEMENT UN MESSAGE DE PLUS, C’EST UN APPEL À OBÉIR AUX RÉVÉLATIONS QUE VOUS AVEZ REÇUES ET À LES FAIRE VIVRE.

La guerre a avancé à un rythme accéléré ; elle a avancé et a pris position dans l’esprit et le cœur des êtres humains.

La persécution des chrétiens a commencé, c’est pourquoi toutes Mes Légions Célestes restent sur Terre dès maintenant en continuant de vous protéger et de vous aider.

Toute vie a une valeur infinie pour la Très Sainte Trinité ; chaque être humain est un Trésor Divin et a jusqu’au dernier moment de sa vie pour se déclarer pécheur et demander pardon.

L’humanité va commencer à vivre dans le suspense, vous serez dans l’angoisse pour vos frères et sœurs ainsi que pour vous-mêmes.

La guerre ne restera pas figée, mais progressera jusqu’à devenir générale.

Vous verrez des scènes inimaginables…
La guerre est féroce, sans pitié, elle fait oublier que tous sont des frères…
La guerre s’élève jusqu’à brûler, comme le feu qui brûle sans contrôle en avançant et détruisant. Elle désagrège les familles, laissant les enfants orphelins.

Tout est préparé comme le veut le Nouvel Ordre. Aucun être humain n’est esclave du mal (cf. Rom. 6, 16) si la créature elle-même ne le désire pas et ne le permet pas. Personne ne peut vous enlever votre esprit et votre cœur, c’est pourquoi il est essentiel pour chacun de vous d’avoir une foi adulte.

NE TREMBLEZ PAS, MAIS AU CONTRAIRE,
AYEZ PEUR D’OFFENSER DIEU (cf. Prov. 8, 13).

La Terre sera secouée plus vite, il y aura des tremblements de terre qui ne se sont jamais produits et leur magnitude augmentera.

Préparez-vous, ayez de quoi allumer et préparez à manger. Gardez l’eau à l’intérieur des maisons.

Enfants de la Très Sainte Trinité et enfants de Notre Reine et Mère des Derniers Temps, soyez conscients de la nécessité de partager avec vos frères et sœurs la nourriture, mais surtout la Parole Divine.

VOUS DEVEZ SAUVER L’ÂME ET UNE PARTIE DU SALUT DE L’ÂME, C’EST VIVRE À LA MANIÈRE DE CHRIST.

Sans humilité, sans bon comportement, sans fraternité, sans être doux et humbles de cœur, votre chemin pour atteindre la vie éternelle sera plus ardu.

Priez le Saint Trisagion avec amour et vénération.

Placez un palmier béni en forme de croix sur la porte de votre foyer vers l’intérieur de la maison. Remettez de l’huile bénie sur l’encadrement de la porte et surtout soyez d’humbles créatures, créatures de Dieu et consacrez-vous à nouveau aux Sacrés Cœurs.

Je vous bénis et Mes Légions attendent l’appel pour vous défendre.

Priez Notre et votre Reine et Mère.

Appelez-moi, Je suis prêt à vous aider !

SANS AVOIR PEUR, MAIS PAR AMOUR POUR LA TRÈS SAINTE TRINITÉ ET POUR NOTRE ET VOTRE REINE ET MÈRE, RESTEZ PRÉPARÉS SPIRITUELLEMENT.

Je vous bénis.

Saint Michel Archange

 

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
9 AOÛT 2024


Mes enfants bien-aimés, recevez Ma bénédiction.

MON SACRÉ-CŒUR VOUS AIME ET VOUS ATTEND AVEC UN AMOUR ÉTERNEL.

Petits enfants, chaque nouvelle aube est une nouvelle occasion pour vous de corriger la direction dans laquelle vous marchez.

Vous êtes Mes enfants et vous continuez à ne pas le reconnaître ; Je suis un Roi dont on usurpe le Royaume et on continue à usurper ce qui M’appartient.

Vous avez observé le danger dans lequel vit l’humanité sur toute la terre ; il n’y a pas de lieu sûr en ce temps de confusion spirituelle, de bouleversements sociaux, éducatifs, moraux et civils dans les pays. Les pays sont contaminés par des guerres civiles – la plupart des pays entreront dans cette contamination.

Enfants bien-aimés, les pénuries alimentaires approchent à pas de géant, tout comme la crise de l’économie mondiale.  Vous savez qu’en entrant dans la panique économique, les êtres humains oublient les Commandements et chacun lutte pour sa survie.

L’ÉCONOMIE SUBIRA LA CHUTE QUE JE VOUS AI ANNONCÉE, LAISSANT MES ENFANTS DANS LA PAUVRETÉ ÉCONOMIQUE.

LE TEMPS EST PASSÉ ET VOUS VOUS TROUVEZ FACE À DE GRAVES CRISES.

L’eau continuera d’être un fléau pour l’homme comme elle l’a été dans le passé avec le Déluge Universel ; seulement, à l’époque actuelle, ce fléau va de pays en pays, laissant la douleur derrière lui, essayant de laver le péché que Mes enfants ont laissé retomber sur la terre.

Mes enfants bien-aimés,

UN GRAND DANGER ATTEND L’HUMANITÉ, TELLEMENT GRAND QUE TOUS LES ÊTRES HUMAINS DE TOUTES LES CROYANCES SE RAPPELLERONT QUE « JE SUIS QUI JE SUIS » (cf. Jn. 8, 58 ; Ex. 3, 14). Vous entrerez dans la grande obscurité que Je vous ai annoncée face à la lutte entre les puissances ; préparez-vous, vous ne pourrez pas communiquer. Je vous appelle à conserver sous forme imprimée les livres que vous utilisez pour prier.

Ne désespérez pas, Mes enfants, la lumière de Mon Esprit Saint, la lumière du Cœur Immaculé de Ma Mère vous éclaireront et les innocents ne perdront pas la lumière qu’ils portent dans leur âme.

Priez, Mes enfants, priez avec vos cœurs, priez et adorez-Moi ; J’ai besoin de créatures qui M’adorent en esprit et en vérité. Assistez à la Célébration Eucharistique, soyez conscients que vous avez besoin de Me recevoir dans l’Eucharistie d’où J’émane avec force afin de vous nourrir.

COMBIEN DE CRÉATURES VIVENT DANS LE VIDE SPIRITUEL ET LE DIABLE LES PREND POUR CONTRER LES MIENS !

Vous ne comprenez pas encore que si vous ne m’acceptez pas complètement, si vous ne vous convertissez pas vraiment, vous n’atteindrez pas la vie éternelle.

Les postes dans les grandes institutions ne vous donnent pas la vie éternelle….
L’intelligence n’est pas l’intelligence sans conversion et ne vous donnera pas la vie éternelle….
L’argent vous rend grands sur terre, mais ne vous donne pas la vie éternelle….

Celui qui ne purifie pas l’œil de son cœur (cf. Mt. 6, 22-23) n’atteindra pas la vie éternelle, car la stabilité mène à ce qui est éternel, mais celui qui passe d’une croyance à une autre, sautant d’un lieu à un autre, manque de foi.

Ceux qui regardent leurs prochains et les considèrent comme étant petits dans la foi, parce qu’ils n’arrivent pas à s’exprimer ou à penser avec éloquence, seront surpris par la sagesse que Mon Esprit Saint insuffle à ceux de Mes enfants qui s’abandonnent vraiment à Moi.

« Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous soulagerai.
« Prenez Mon joug sur vous et apprenez de Moi, car Je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos, car Mon joug est facile et Mon fardeau léger ». (Mt. 11, 28-30)

Je vous aime, Mes enfants, d’un amour éternel.

Votre Jésus

 

MESSAGE DE SAINT MICHEL ARCHANGE
À LUZ DE MARIA
1ER AOÛT 2024
RÉVÉLATION DU DEUXIÈME SECRET

Je viens à vous, envoyé par la Très Sainte Trinité.  Je suis le Prince de la Milice Céleste.Chaque être humain est très aimé de Dieu et gardé par chacune de Mes Légions Célestes.

Vous êtes le grand trésor de Dieu :
Même si vous ne l’aimez pas, Dieu vous aime…
Même si vous ne l’appelez pas, Dieu vous appelle…
Même si vous ne le reconnaissez pas, Dieu vous reconnaît…
Car Sa Miséricorde est infinie, comme Son Pouvoir et Sa Toute-puissance sont infinies.

L’HUMANITÉ NE COMPREND PAS UNE TELLE GRANDEUR
ET UNE TELLE PUISSANCE DIVINE !

IL Y A EU TANT DE MOMENTS DIFFICILES DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ, EN PARTICULIER AU NIVEAU SPIRITUEL, ET POURTANT TOUS N’ONT PAS COMPRIS UNE TELLE GRANDEUR DANS UNE SEULE PUISSANCE (cf. I Chron. 29, 11-13 ; Col. 2,9-10).

Enfants de la Très Sainte Trinité, si dans l’histoire de l’humanité il y a eu une génération prétentieuse, difficile, orgueilleuse, désorientée et désobéissante, c’est celle dont vous faites partie et qui maintient toute la Création dans l’attente en ce moment (cf. Rom. 8, 19-22).

Enfants de la Très Sainte Trinité,

LES MOMENTS, LES MOMENTS QUE TANT D’ENTRE VOUS ONT SOUHAITÉ VOIR ARRIVER, SONT ARRIVÉS !

Ceux qui veulent sauver l’âme doivent se décider pour un changement spirituel, que vous n’obtiendrez qu’en grandissant spirituellement, en vous rapprochant de notre Dieu et Seigneur. C’est ainsi que vous pourrez avancer et garder la foi, même dans les moments les plus forts de la persécution.

La grande guerre au Moyen-Orient s’intensifie ; on profitera de l’obscurité pour envahir par surprise de grandes villes d’Europe.  L’Italie sera prise par surprise ; par terre et par air, le feu arrivera soudainement. De grands navires arriveront par la mer, des hommes presque à bout de souffle en descendront sur le sol et l’on entendra des gémissements. Des bombes tombant d’avions dans l’eau de la mer provoqueront un tsunami qui envahira les terres de plusieurs pays, causant des morts.

De nombreux pays rejoindront la guerre, les pertes humaines seront innombrables. Vous verrez la mort emporter tant d’êtres humains que les lamentations ne s’arrêteront pas. Trop de pays s’uniront en avançant sur les continents.

LES CONFLITS NE S’ARRÊTERONT PAS JUSQU’À CE QUE NOTRE ROI ET SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST INTERVIENNE ET QUE VIENNE LE JOUR ATTENDU ET REDOUTÉ – LE JOUR DE LA JUSTICE DIVINE, ET QUE CELUI QUI EST « LE COMMENCEMENT ET LA FIN » (Apoc. 1, 8) POSE SA MAIN SUR LA TERRE ET QUE LE FEU TOMBE DU CIEL.

Les êtres humains seront effrayés par cette grande puissance, qui conduira certains à blasphémer et d’autres à être conscients que, face à la désobéissance, Dieu permet à l’homme de se punir lui-même. Beaucoup se repentiront et déchireront leurs vêtements, et leur conversion aura lieu.

Beaucoup d’âmes seront sauvées en se repentant des péchés commis, et face à la lutte spirituelle entre le bien et le mal, des hommes ne voudront pas suivre l’Antéchrist, qui aura déjà emporté avec lui beaucoup d’âmes, ayant nié la Sainte Eucharistie, ayant fermé les Églises après avoir accompli de grandes persécutions et ayant fait de graves sacrilèges.

Enfants de la Très Sainte Trinité,

LE TEMPS VIENDRA OÙ NOTRE REINE ET MÈRE, AVEC MES LÉGIONS CÉLESTES, POURSUIVRA L’ANTÉCHRIST ET LES SIENS POUR LIBÉRER L’HUMANITÉ DU MAL.

NOTRE REINE ET MÈRE TRIOMPHERA, JETTERA ET LIERA LE DIABLE DANS LE LAC DE FEU D’OÙ IL NE POURRA PAS SORTIR.

Je vous appelle maintenant à être des créatures de paix, à vous contrôler, à ne pas blesser vos frères et sœurs, à être corrects dans vos actes et actions quotidiens et à être fraternels.

Consacrez ce moment à la croissance spirituelle, à ressembler au Christ et à vous préparer matériellement autant que vous le pouvez, sans désespérer ; si vous n’arrivez pas à vous préparer, une miette de pain sera multipliée et ne finira pas.

La famine s’emparera des pays, ceci étant une partie de ce que le mal cache afin de vous faire plier. Ne désespérez pas, vous avez les raisins bénis et si vous ne possédez pas de raisins, utilisez d’autres fruits solides ; mais surtout, vous possédez la Sainte Eucharistie qui vous fortifiera, qui apaisera votre faim et vous maintiendra dans une grande paix. À ces moments-là, les Anges eux-mêmes donneront de la nourriture aux innocents.

NOTRE REINE ET MÈRE, SOUS LE TITRE DE REINE ET MÈRE DES DERNIERS TEMPS, SERA VUE PAR BEAUCOUP D’ENTRE VOUS, ELLE SERA UN RÉCONFORT POUR L’ÂME ET APPORTERA LA NOURRITURE AUX HOMMES POUR QU’ILS NE DÉSESPÈRENT PAS.

CEUX QUI VIVENT DANS L’ADORATION DE LA TRÈS SAINTE TRINITÉ AURONT LAISSÉ LA FAIM DERRIÈRE EUX ; ILS VIVRONT DANS L’ADORATION LÀ OÙ ILS DEVRONT RESTER.

Sans avoir peur, enfants de Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ, sans avoir peur, mais accrochés à la Grandeur Divine, poursuivez le chemin qui mène à la vie éternelle.

Je vous bénis en tant que Chef des Armées Célestes : sous la protection de notre Reine et Mère, nous ne vous abandonnerons pas.

QUE LES BÉNÉDICTIONS DU CIEL SOIENT RÉPANDUES SUR TOUTE L’HUMANITÉ, EN PARTICULIER SUR CEUX QUI SOUFFRENT D’INJUSTICE ET CEUX QUI SOUFFRENT DE LA TYRANNIE ET DE LA GUERRE.

Je vous bénis, nous vous protégeons.

Saint Michel Archange

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
25 JUILLET 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé,

Je vous bénis parce que Je vous ai reçus au pied de la Croix de Mon Fils (cf. Jn. 19, 26-27), Croix de Gloire et de Majesté, Croix de Paix, de Sagesse, Croix de Sécurité, Croix de Foi et Croix d’Amour.

En tant que Mes enfants, Je sais que vous êtes dans l’attente et que l’attente vous semble longue ; mais, Mes petits enfants, quand l’attente sera terminée, alors vous regretterez d’avoir porté une plainte contre le temps d’attente qui vous semblait long, car ce qui arrivera à toute l’humanité est extrêmement grave.

Mes petits enfants,

MON DIVIN FILS VOUS OFFRE SA PROTECTION, PAS LA LIBÉRATION DES ÉPREUVES, CAR DANS LES ÉPREUVES VOUS GRANDISSEZ ET VOUS VOUS RENFORCEZ, SI VOUS TRAVAILLEZ ET AGISSEZ DANS LE CADRE DE LA LOI DIVINE AFIN DE POUVOIR SURMONTER LES ÉPREUVES.

MON DIVIN FILS NE VA PAS VOUS LIBÉRER DES ÉPREUVES, PETITS ENFANTS, MAIS OUI, LES ÉPREUVES SERONT PLUS SUPPORTABLES SI VOUS CONTINUEZ À ADORER MON DIVIN FILS.

Mes Bien-Aimés, Je vous ai mis en garde contre ceux qui dominent beaucoup d’enfants de Mon Divin Fils ; la Franc-Maçonnerie apporte de grands changements au Peuple de Mon Divin Fils afin de vous déconcerter, pour que vous ne Le connaissiez pas et pour que vous deveniez confus et vacilliez d’un instant à l’autre.

Mes enfants bien-aimés,

EN TANT QUE MÈRE, JE VOUS RÉVÈLE CE QUE CETTE GÉNÉRATION DOIT SAVOIR POUR QU’ELLE PUISSE SE PRÉPARER. PAR CONTRE, VOUS DEVEZ RÉPONDRE AVEC AMOUR, VOUS NE DEVEZ PAS VOUS JUSTIFIER, MAIS VOUS DEVEZ RÉPONDRE PAR DES ŒUVRES ET DES ACTIONS DANS LA VOLONTÉ DE DIEU.

Petits enfants, vous savez que tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu de nombreux antéchrists, mais en ce moment final l’Antéchrist arrive, détenteur de la terreur et du mal venant de l’enfer lui-même. Pourtant, Mes enfants ne M’obéissent pas et ne M’écoutent pas quand Je les alerte. Vous vivrez ce qu’aucune génération avant vous n’a connu, à partir de grandes avancées qui ont servi l’homme, ainsi que des avancées sérieuses et terrifiantes de la science mal utilisée, et vous ferez l’expérience de ce que la science mal utilisée a réalisé et que vous ignorez.

C’est pour cela que Je vous appelle, Mes enfants, enfants de Mon Cœur Immaculé, Je vous appelle à faire le bien parce que le bien émane du bien, parce que le bien se nourrit du bien et vous êtes des créatures du bien. (cf. Prov. 3, 27-32)

LA MISÉRICORDE DIVINE A ÉTÉ PROLONGÉE, MAIS IL EST TEMPS QUE VIENNE CE QUI DOIT VENIR…

Cependant, en tant que Peuple bien-aimé de Mon Divin Fils, vous devez répondre par le bien, par votre témoignage en travaillant et en agissant dans le bien, par la parole qui témoigne que vous connaissez la Parole Divine (Jn. 8, 31-32 ; Hé. 4, 12).

Vous devez répondre en recevant Mon Divin Fils dans la Sainte Eucharistie.

Vous devez répondre en restant en état de grâce pour que le Diable ne vous confonde pas (cf. II Cor. 12, 9).

Mes Bien-Aimés, le bonheur est plus qu’un instant passager, le bonheur est perpétuel pour les personnes qui cherchent à vivre une vie spirituelle pleine.

Je vous appelle et vous invite à prier, Mes enfants, pour les États-Unis, non seulement parce que cette nation va souffrir, mais parce qu’avec le réveil de grands volcans, ce n’est pas seulement cette nation qui va souffrir, mais aussi une grande partie de l’humanité.

Je vous invite encore une fois à prier pour la France car elle sera fortement purifiée.

Je vous invite à prier pour le Mexique, pour cette terre où Je suis Impératrice des Amériques. Le Mexique subira un grand tremblement de terre parce qu’il ne s’est pas encore converti et qu’il offense gravement Mon Divin Fils.

Je vous appelle à prier pour le Venezuela, cette terre qui est opprimée et où Mes enfants souffrent cruellement.

Je vous invite à prier pour l’Équateur, il souffrira gravement à cause d’un volcan.

Je vous invite à prier pour Puerto Rico, pour la République Dominicaine et pour Haïti, ils vont souffrir fortement à cause de l’eau et du vent.

Très chers enfants de Mon Cœur Immaculé, Je vous appelle à maintenir la Parole Divine dans votre vie, dans votre travail et dans vos actions. Je vous appelle à garder à l’esprit que Mon Divin Fils vous attend et que vous êtes Ses enfants, mais Il ne parvient pas à faire irruption là où la liberté humaine le fait attendre et ne le laisse pas passer.

LA JUSTICE DIVINE EXISTE, MAIS MÊME DANS CE CAS, MON DIVIN FILS RÉSISTE À L’UTILISER EN RAISON DE SA GRANDE MISÉRICORDE.

EN CE MOMENT, C’EST L’HOMME LUI-MÊME QUI SE PUNIT, QUI S’OPPRIME, QUI EST CRUEL ENVERS SON FRÈRE ET ENVERS LUI-MÊME. L’HOMME LUI-MÊME CONDUIT L’HUMANITÉ À SOUFFRIR LA GRANDE TRIBULATION À CAUSE DU DÉSIR DE SUPRÉMATIE MONDIALE.

Bien-aimés de Mon Cœur Immaculé, priez, priez là où vous êtes, priez en silence, priez à voix haute, priez en apportant le bien à vos frères et sœurs, priez en étant miséricordieux, priez en aidant ceux que vous devez aider, priez pour qu’ils ne soient pas confus.

Mes enfants, la Paix de Mon Divin Fils est devant vous car telle est la royauté de Mon Divin Fils ; Il se tient devant vous parce qu’Il veut sauver vos âmes et il veut que vous répondiez :

« Oui Seigneur, je suis là pour obéir parce que je veux sauver mon âme. »

En tant que Mère, Je me retrouve devant vous à chaque instant, vous appelant à maintenir la foi et l’unité, vous appelant à être amour-pardon car à la fin, Mes enfants, vous direz à haute voix :

« Adoré sois-tu Notre Seigneur, adoré sois-tu pour l’éternité. »

Car à la fin Mon Cœur Immaculé triomphera pour la gloire de la Très Sainte Trinité et le salut des âmes.

Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Maman Marie

 

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST
À LUZ DE MARIA
21 JUILLET 2024

Chers enfants bien-aimés,

JE VOUS AIME D’UN AMOUR PROFOND ET JE VOUS GARDE DANS MON SACRÉ CŒUR.

Enfants bien-aimés,

JE VOUS TIENS DANS LA PAUME DE MES MAINS (cf. Is. 49, 16), DANS LESQUELLES PERSONNE NE SERA PERDU.

Je vous tiens dans la paume de Mes Mains et si quelqu’un veut quitter Mes Mains librement, il peut le faire. Vous êtes Mes enfants et vous avez donc le libre choix de rester à Mes côtés ou de prendre d’autres chemins en dehors de Moi.

Je suis peiné par les actions débridées de cette génération….
Je suis peiné de vous voir vous égarer, et pourtant Je vous permets de choisir, car certains reviendront à Moi au bout du chemin.

Oui, Je vous appelle sans cesse à l’observance des Commandements, des Sacrements, des Œuvres de Miséricorde et surtout à rester attachés à Ma Très Sainte Mère, Reine du Ciel et de la Terre.

VOUS VOUS TROUVEZ AU BORD DU PRÉCIPICE…
JE VOUS VOIS TOMBER UN PAR UN CAR VOUS NE M’AVEZ PAS ÉTÉ FIDÈLES ET VOUS AVEZ CÉDÉ À DES IDÉOLOGIES QUI ME MINIMISENT EN TANT QUE DIEU.

Enfants bien-aimés, cette faiblesse qui vous conduit à vous éloigner de Moi et à en venir à ne pas me reconnaître comme Dieu, est ce qui vous amènera de plus en plus à donner à l’Antéchrist l’honneur et de la gloire que vous m’avez refusés.  En le voyant ressusciter les morts, en le voyant faire des miracles et guérir les malades, vous l’appellerez Dieu et m’oublierez (cf. Apoc. 13:3-10).

Vous aurez horreur de Moi, vous aurez honte d’être appelés Mes enfants : on vous interdira de vous appeler chrétiens. On commettra de graves sacrilèges afin d’adorer l’Antéchrist et on le suivra partout où il ira. Vous vous prosternerez devant Lui et vous Lui donnerez votre âme ; c’est ce qu’on vous demandera de faire, de Lui donner votre âme.

Mes enfants se livreront ainsi aux actes d’ingratitude les plus cruels qu’ils puissent commettre. Ils se transformeront en persécuteurs de leurs frères et sœurs, allant jusqu’à livrer les innocents entre les mains des méchants pour plaire au pouvoir du méchant (cf. Mt. 10, 21-22).

CE QUI PRÉCÈDE EST DÉJÀ ORCHESTRÉ, il manque l’exécution de ce plan macabre qui se prépare depuis longtemps.  Tout cela se produira à cause d’un tel affaiblissement de votre corps spirituel par le péché, qui vous a affaiblis dans la foi.

Petits enfants bien-aimés, les luttes se poursuivent sous vos yeux : les uns reprochent aux autres le désastre dans lequel vous vivez et qui deviendra pire et plus fort à chaque instant.

Comme par le passé, on a construit une grande Tour de Babel et on l’a multipliée dans tous les pays et en tous lieux, avec la circonstance aggravante de dire que c’est pour vous permettre de mieux communiquer (cf. Gn 11, 1-9). Ils vous ont fait beaucoup de mal, vous exposant aux radiations vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

Le mal a envahi la vie de Mes enfants si naturellement qu’il ne semble pas vous avoir causé tant de mal.  C’est ainsi que le mal s’est incrusté en vous, vous trompant d’une manière ou d’une autre.

Mes bien-aimés, les éléments se trouvent en rébellion contre le genre humain. La Terre, le berceau de Mes enfants, tremblera si fort que certains endroits ne seront plus assez stables pour que Mes enfants puissent y vivre.

GARDEZ VOTRE PAIX ET RECONNAISSEZ QUE VOUS N’AVEZ AUCUNE ASSURANCE EN CE MOMENT EN TANT QU’HUMANITÉ. C’EST MOI SEUL, QUI « SUIS QUI JE SUIS » (Ex. 3, 14), QUI VOUS DONNE LA SÉCURITÉ.

Enfants, vous avez réussi à vous convaincre de la facilité avec laquelle, en un instant, vous en viendrez à tout perdre. C’est pourquoi Je vous ai appelés à la vraie sécurité, en étant Mes enfants et en gardant une foi forte et ferme.

Priez, Mes enfants, priez pour que vous soyez fermes dans la foi.

Priez, Mes enfants, priez et plongez dans les Saintes Ecritures pour Me connaître et Me reconnaître.

Priez, Mes enfants, priez pour toute l’humanité, pour ceux qui souffriront le plus.

Priez, Mes enfants, priez, les eaux des mers continueront à menacer Mes enfants : restez prudents.

Priez, Mes enfants, priez, obéissez et soyez sages.

Mon Peuple bien-aimé, on continuera à souffrir en Asie et en Afrique à cause des phénomènes naturels. Soyez prudents, Mes enfants, soyez prudents !

CE TEMPS EST TRÈS DANGEREUX…
JE VOUS INVITE À M’ADORER DANS LE SAINT SACREMENT OÙ JE VOUS ATTENDS AVEC UN AMOUR ÉTERNEL.

Les grands conflits qui pèsent déjà sur l’humanité exigent la prière, la réparation et l’offrande de chacun de Mes enfants pour que vous restiez fermes.

MON DÉSIR EST QU’IL N’Y AIT PAS DE DIVISIONS ENTRE FRÈRES, ce ne sont pas des temps pour les divisions, ni pour les intrigues entre frères, ni pour les rivalités, ni pour l’orgueil, ni pour l’arrogance.

MES ENFANTS SONT AIMÉS DE MOI, MAIS ILS NE SAVENT PAS TOUT, PARCE QUE « JE SUIS QUI JE SUIS » ET QU’IL N’Y A PERSONNE DE PLUS GRAND QUE MOI.

Le temps vient où vous vous retrouverez face à vous-mêmes et chacun de vous regardera comment il a vécu et comment il a été par rapport au Commandement de l’amour du prochain.

Je vous bénis, Mes enfants, Je vous invite à vous préparer : vous savez comment, ainsi vous ne serez pas surpris par le mal.

Vous êtes Mes enfants, Je vous aime tous.

Ma Miséricorde est infinie, Je pardonne le plus grand pécheur s’il vient à Moi repentant. Je désire que vos mains soient remplies d’œuvres et d’actions dans Ma Volonté.

Mon Cœur vous attend avec un Amour Éternel.

Votre Jésus

 

MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST
À LUZ DE MARIA
15 JUILLET 2024

Mes enfants bien-aimés, Je vous aime d’un Amour Éternel, Je vous aime tous.

JE DÉVERSE MA MISÉRICORDE SUR CEUX QUI VIENNENT DEVANT MOI VRAIMENT REPENTIS ET AVEC LA FERME INTENTION DE MODIFIER LEUR VIE.

Priez, petits enfants, priez à temps et à contretemps, c’est un bien infini pour vous.

Venez au Sacrement de Réconciliation, recevez-Moi dans le Sacrement Eucharistique ; vous avez besoin de Communions reçues dans un véritable état de conscience, sachant que chaque fois que vous Me recevez, la Terre brille et depuis Ma Maison nous voyons la lumière qui reflète l’âme, la lumière de Mon Amour (cf. Jn. 12:35-36).

LE PLUS GRAND N’EST PAS CELUI QUI PRIE LE PLUS, MAIS LE PLUS GRAND DE MES ENFANTS EST CELUI QUI SE DONNE À MOI DANS LA PLÉNITUDE , CELUI QUI ME FAIT SENTIR AIMÉ ET QUI MARCHE DANS MA VÉRITÉ (cf. Jn. 8:31-32).

Mes enfants, l’ombre du mal profite de chaque occasion pour se déplacer sur toute la Terre et vous devez rester en alerte spirituelle pour qu’elle ne vous amène pas à tomber ou à être indifférents aux événements quotidiens.

VOUS DEVEZ SAVOIR CE QUI SE PASSE AU SEIN DE L’HUMANITÉ ; VOUS NE POUVEZ PAS VIVRE EN FAISANT PARTIE DE L’HUMANITÉ MAIS EN ÉTANT INDIFFÉRENTS AUX ÉVÉNEMENTS QUOTIDIENS.

Vous entendrez parler d’accords de paix inappropriés entre des nations en guerre. Ils seraient crédibles si le but était le bien commun, mais ce dernier a été perdu dans toute l’humanité et plus encore dans les grandes nations.

Les armes qui n’ont pas été révélées sont si destructrices que Mes enfants souffriront tellement lorsqu’un dirigeant d’une puissance mondiale décidera d’activer l’une de ces armes, qui conduiront l’humanité en général à subir l’impensable.

L’amour a disparu chez la plupart des hommes…
La lutte pour la suprématie mondiale a tout éclipsé en ce moment ; les hommes vont jusqu’à Me bannir de Ma Création, ils se sentent comme des dieux, pensant que Je ne vois pas leurs œuvres et leurs actions.

Je viens avec Ma Miséricorde et avec Ma Justice en même temps…

JE SUIS AMOUR, PAS INJUSTICE : « JE SUIS QUI JE SUIS » (Ex. 3:14) ET J’ARRÊTERAI TOUT CE QUE JE DOIS ARRÊTER, MAIS ON NE DÉTRUIRA PAS LA TERRE (cf. Phil. 2:5-11).

LE DIABLE N’A PAS PLUS DE POUVOIR QUE MOI : VOUS DEVEZ COMPRENDRE CELA AFIN DE RESTER FERMES. Le Diable tente Mes enfants avec sa ruse destructrice et a réussi à pénétrer l’esprit de grands scientifiques, qui ont créé ce que la science d’aujourd’hui utilisera pour causer le mal en tuant l’homme lui-même.

Vous verrez de graves incidents au niveau mondial. Les vies de certains dirigeants du monde restent en danger, comme cela a été le cas récemment, et Ma Sainte Mère vous en avait prévenus à l’avance. Quand la mort ne devrait pas surgir dans la vie d’un de Mes enfants en général, elle ne surgit pas, même si tout semble s’y opposer. Les miracles s’accomplissent lorsque c’est Ma Volonté que l’être humain se convertisse et agisse pour le bien de l’humanité et pour le bien de son âme ; elle sera donc sauvée et obtiendra la vie éternelle.

Faites attention, Mes petits enfants, faites attention !
L’homme marche dans des eaux troubles à cause de son manque de foi en Ma Parole, à cause du manque de respect des Commandements et des Sacrements ; son cœur s’endurcit et ses pensées le conduisent vers le mal, gelant le bien commun.

Priez, Mes enfants, priez, le danger menace plusieurs dirigeants de nations puissantes qui se retrouvent dans la ligne de mire d’ennemis silencieux qui veulent les tuer.

Priez, Mes enfants, priez, l’humanité est dans le chaos ; elle a été troublée à cause du peu de foi en Moi ou son absence totale et les institutions sont devenues fragmentées.

Priez, Mes enfants, priez, le destin de l’humanité a été marqué par l’homme lui-même en se séparant de Moi.

Priez, Mes enfants, priez, vous verrez au-dessus de vous une lumière inconnue qui ne sera pas amicale envers la Terre.

Priez, Mes enfants, priez, restez en alerte : les grandes nations seront ébranlées encore et encore, elles souffriront.

Priez, Mes enfants, priez, les grands volcans s’activent.

Priez, Mes enfants, priez, le Pays de l’Aigle entrera dans le chaos interne.

Mes enfants bien-aimés :

L’HUMANITÉ EST ENTRÉE DANS LE PLEIN DÉVELOPPEMENT DES ÉVÉNEMENTS DÉJÀ ANNONCÉS PAR MA MAISON.
LES ACTUALITÉS SONT CONSTANTES.

Priez, Mes enfants, priez pour les jeunes qui sont en compétition, le mal ne s’arrête pas.

Mon Amour vous appelle et vous attire : venez à Moi sans résister.

Que Ma Bénédiction soit sur chacun de vous : une foi inébranlable. Vous êtes Mon Grand Trésor.

Votre Jésus

 

MESSAGE DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
À LUZ DE MARIA
10 JUILLET 2024

Enfants bien-aimés de Mon Cœur Immaculé, Je vous aime, petits enfants, Je vous bénis.

JE VOUS DEMANDE DE DÉDIER UNE PARTIE DE VOS PRIÈRES QUOTIDIENNES À L’HUMANITÉ (cf. I Tim. 2, 1-4).

Enfants bien-aimés de Mon Divin Fils, lorsque les êtres humains parlent de paix, c’est la fausse paix qui arrive et la guerre devient plus forte.

La plupart des pays ainsi que leurs institutions sont en proie à de graves conflits. Les institutions qui étaient des piliers forts et donnaient de la solidité aux États, sont maintenant affaiblies par la permissivité à laquelle elles ont été exposées par leurs dirigeants.

Au nom de Mon Divin Fils, Je vous appelle à prier les uns pour les autres et à ne pas perdre la foi, à vivre selon les enseignements de Mon Divin Fils, en observant la Loi de Dieu, en respectant la saine Tradition et en pratiquant les Sacrements, qui sont si méprisés à l’heure actuelle.

Les gens errent de pays en pays, portant diverses idéologies avec eux, accélérant la chute de ce qui a été le soutien de la vie de l’homme.

DES PAYS, PRINCIPALEMENT EN EUROPE, SERONT ATTAQUÉS DE L’INTÉRIEUR, SANS QUE L’ON S’Y ATTENDE ; CE SERA À L’AUBE, CE SERA COMME UN ESSAIM D’ABEILLES QUI ATTAQUE DE MANIÈRE INATTENDUE.

Plusieurs pays seront attaqués en Europe :

En France, le sang coulera dans les rues…

L’Italie sera surprise par l’arrivée des troupes de pays communistes, ce sera le chaos…

L’Angleterre ne sera plus le pays qui montrait ses palais luxueux : le luxe disparaîtra et tout sera en ruines…

Le Moyen-Orient s’enflammera, les combats s’intensifieront et ne pourront être arrêtés ; la souffrance sera plus forte, les pays étrangers arriveront rapidement et en un clin d’œil le grand conflit augmentera…

Petits enfants, en Amérique du Nord, la Statue de la Liberté sera abattue : elle tombera dans la mer et coulera, préfigurant les souffrances de cette grande nation…

Les grands et les petits pays souffriront tous devant les esprits impitoyables qui ne pensent qu’à la victoire.

L’Amérique du Sud recevra beaucoup de Mes enfants en quête de sécurité. Avant que cela n’arrive, l’Amérique du Sud sera purifiée :

La révolution éclatera en Argentine, Mon Divin Fils en sera affligé…

Le Brésil souffrira et s’enflammera, les rires des carnavals ne se feront plus entendre, les êtres humains appelleront Dieu à la miséricorde.

Le Chili souffrira beaucoup, Mes enfants rechercheront leurs familles dans un grand désespoir.

En Colombie, les gens seront le point de tomber entre les mains de ceux qui n’ont aucune pitié, mais seront aidés par leurs pays frères.

TOUT CELA EST NÉCESSAIRE, PETITS ENFANTS, C’EST NÉCESSAIRE !
VOUS VIVREZ PARMI DES MIRACLES QUI SE PRODUIRONT GRÂCE À LA SUPPLICATION DE CEUX QUI VIVENT DANS LA PRIÈRE (cf. Mc 10, 27).

Les Légions Angéliques vous protègeront et vous délivreront des griffes de l’ennemi.

LA FOI EST NÉCESSAIRE, PAS L’EFFROI : PAS LA PEUR, MAIS LA FOI.

Mes enfants bien-aimés, Mon Divin Fils vous appelle à être des adorateurs permanents. Consacrez votre foyer à nos Cœurs.

Ceux qui doivent quitter leurs maisons ressentiront l’inspiration de l’Esprit Saint. Restez dans la foi, sans désespérer.

Vous savez ce que vous devez savoir. Continuez sur le chemin en ayant votre lampe allumée (cf. Mt. 25, 1-13) avec la meilleure huile : la foi dans les Promesses Divines.

EN TANT QUE MÈRE, JE VOUS ACCUEILLE, JE VOUS PROTÈGE ET VOUS BÉNIS. JE VOUS AI REÇUS AU PIED DE LA CROIX DE MON DIVIN FILS (Jn. 19, 25-27) ET JE NE VOUS ABANDONNERAI JAMAIS.

Je vous bénis, petits enfants, les moments de paix et de bénédiction continuelle viendront.

Maman Marie




Noé ou Ninive ? Le message d’Akita à la lumière de la Bible…

« Dieu dit à Noé : « La fin de toute chair est arrivée, je l’ai décidé,

car la terre est pleine de violence à cause des hommes…

Entre dans l’arche, toi et toute ta famille,

Car je t’ai vu seul juste à mes yeux parmi cette génération… »

Genèse 6,13 – 7,1

Dans le message final de la Vierge du 13 octobre 1973 à Akita au Japon[1], une référence directe au déluge du temps de Noé est évoquée : « Ce sera un châtiment plus grand que le déluge, comme on n’en a jamais vu auparavant : un feu tombera du ciel et fera disparaître une grande partie de l’humanité… » Et Marie ajoute ce terrible détail : « Les survivants se trouveront dans une telle désolation qu’ils envieront les morts ! » Cependant, Elle laisse entrevoir qu’à travers la fidélité au Rosaire et à la Sainte Eucharistie, nous pourrons tenir debout comme la Vierge elle-même au pied de la Croix (Jn 19,25) :

« Les seules armes qui vous resteront alors seront le Rosaire et le Signe laissé par mon Fils. Chaque jour, récitez les prières du Rosaire… Le travail du Diable s’infiltrera même dans l’Église… »

Il nous faut comprendre ici le Cœur de la Vierge qui, depuis plus d’un siècle et demi, après ses Apparitions à La Salette, Lourdes, Fatima et tant d’autres… « voit » la descente aux enfers de l’humanité et le terrible risque, aujourd’hui plus que jamais, d’une apocalypse nucléaire ! Elle nous demande non seulement un « réveil spirituel », mais d’entrer en lutte contre le péché qui « envahit » les cœurs sous l’influence déchaînée du Dragon ! (Ap 12,3-5). Et cette lutte s’effectue chaque jour dans notre propre cœur si souvent « divisé » entre la grâce de Dieu, source de lumière et de paix, et le feu de l’Enfer qui nous assaille de ses ténèbres…

Cette tendresse prévenante de la Vierge à Akita est constante et ses Apparitions nous le rappellent avec force et douceur : voilà pourquoi elles sont si importantes… car même s’il est évident que « la béatitude de la foi » doit suffire comme l’a affirmé le Seigneur Jésus à Thomas (Jn 20,28) … Il n’a pas hésité à nous donner sa Mère à travers Jean (Jn 19,27) pour cheminer dans cette foi. Il nous l’a aussi envoyée dans ses Apparitions maternelles qui nous guident et viennent fortifier notre foi : un pèlerinage à Lourdes ou Fatima est une telle grâce pour la vie chrétienne !

Découvrir la tendresse prévenante de la Vierge est pour nous aujourd’hui d’une urgence absolue ! Car Marie est, en quelque sorte, comme une maman qui voit son petit enfant jouer sur les rails d’une voie ferrée : le TGV peut arriver d’un moment à l’autre et Elle accourt pour le prévenir et le protéger ! Mais entendra-t-il ses paroles urgentes ? Et voudra-t-il les écouter ?

Rien n’est moins sûr… Alors écoutons à nouveau notre Mère avec sérieux et attention :

« La pensée de la perte de tant d’âmes est la cause de ma tristesse. Si les péchés augmentent en nombre et en gravité, il ne sera plus question de pardon pour eux… »

La Vierge nous dévoile ici les souffrances de son Cœur Immaculé face à tant d’âmes perdues en Enfer… Qui comprendra l’abyssale tristesse de notre Mère ? Si peu de cœurs en réalité… Et devant une telle amnésie collective, Marie tente de nous réveiller en nous prévenant d’une mystérieuse « frontière » valable pour chaque personne et pour l’humanité : la généralisation et la gravité des péchés qui entraînera la fin du pardon…

La prophétie se réalise aujourd’hui sous nos yeux, à tous les étages de notre civilisation, où la normalisation de l’horreur nous fait aboutir à une décadence jamais vue sur terre ! Et face à cette situation tragique, il nous faut surtout éviter de subir les redoutables influences du Mal en cédant à un fatalisme qui tue l’espérance… an contraire, nous sommes appelés par l’Esprit à « une joie inédite » en continuant à lutter par la prière mariale du Rosaire et cette attention gratuite aux autres : elle « dit » l’infinie Miséricorde de Dieu révélée sur la Croix… Ne serait-ce que par un regard ou un service caché.

C’est ici qu’il est décisif de s’approcher un peu, beaucoup, passionnément de ce Cœur de Dieu dont l’éblouissante et mystérieuse miséricorde retentit partout dans Bible et à chaque instant de l’histoire. Notre appel est de lui ressembler… en se laissant aimer par Lui pour l’aimer « à la folie » comme les Saints et les Saintes de tous les temps ! L’humilité sur la terre d’exil prépare la gloire du Ciel. Tel est le mystère le plus profond de l’Eglise :

« L’Eglise a ses racines dans le Ciel et ses feuilles dans la tempête ! Quand on sait qu’elle renferme des pécheurs mais pas de péchés, alors on peut l’aimer ainsi, comme l’épouse de l’Agneau : on sait qu’elle est déjà à moitié dans les Cieux… Qui vit cela, sait qu’il a pour compagnons réels les Anges et les Saints[2] ! »

Quant à trop vouloir « savoir » le temps ou « prophétiser » le jour de la justice redoutable de Dieu… nous devons demeurer humbles et convaincus qu’il y a des « seuils » mystérieux que Dieu seul voit ! Car d’abord, l’infinie patience de Dieu en sa miséricorde est hors d’évaluation et nous dépassera toujours comme ce fût le cas à Ninive : Dieu annonce, par le prophète Jonas, la destruction de l’immense ville et, contre toute attente, le Roi et le peuple écoutent en choisissant la conversion : « On criera vers Dieu avec force, on se couvrira de sacs, et chacun se détournera de sa mauvaise conduite… Qui sait si Dieu ne se ravisera pas ? (Jon 3,6-10). Dieu vit… et revint sur sa décision ! »

Face à cette miséricorde si patiente avec un ennemi d’Israël, Jonas lui, perd patience devant cet incompréhensible Cœur de Dieu : « Je savais que tu es un Dieu de pitié et de tendresse ! » (Jon 4,1-4). Mais d’autre part, nous savons aussi qu’à la prière bouleversante d’Abraham pour sauver Sodome, Dieu ne trouva pas un seul juste dans la ville mais la dépravation générale la plus extrême… le feu du ciel tomba alors sur Sodome et Gomorrhe ! (Gn 19,23-24). Ainsi, Dieu nous surprendra toujours autant par sa miséricorde que par sa justice ! Alors, n’oublions jamais cette parole de sagesse de Jésus qui nous est adressée à travers Sainte Faustine :

« O malheureux, qui ne profitez pas maintenant de ce miracle de la miséricorde divine ; en vain vous appellerez, il sera déjà trop tard[3]… »

Il n’est bien sûr jamais trop tard pour se tourner vers Dieu… mais repousser à toujours plus tard de l’accueillir vraiment nous éloigne dangereusement de Lui. C’est pourquoi le Cœur Immaculé de Marie nous est donné : c’est l’Arche Refuge des derniers temps pour être à l’heure de la Miséricorde !

+M Mickaël

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[1] Akita est la suite de Fatima… pour mieux connaître ces Apparitions reconnues et incontournables : voir mes méditations sur « Akita » en janvier et août 2024.

[2] Cardinal Journet, Missel pour la forme extraordinaire du rite romain, Editions Sainte Madeleine, p.1032.

[3] Petit Journal, 1448.




Nihil obstat accordé aux apparitions de Pellevoisin

La Vierge Marie est apparue une quinzaine de fois au cours de l’année 1876 à Estelle Faguette, à Pellevoisin, dans l’Indre. Née dans une famille extrêmement pauvre, Estelle est forcée à renoncer à la vie religieuse suite à une lourde chute ; elle devient alors domestique et femme de chambre. En 1875, à 32 ans, elle est terrassée par une tuberculose. Les médecins la déclarent irrémédiablement perdue. Estelle écrit alors une lettre à la Vierge pour obtenir sa guérison, lettre qu’elle fait déposer devant une statue de Notre-Dame de Lourdes. Alors qu’Estelle est agonisante, la Vierge lui apparaît : « Ne crains rien, tu sais bien que tu es ma fille », et lui promet que son fils se laissera sûrement toucher et la guérira dans cinq jours. Elle demande en échange à Estelle de publier sa gloire (notamment par un ex-voto, dont la Vierge montre une vision précise à Estelle). Elle prononce aussi ces mots : « Ce qui m’afflige le plus, c’est le manque de respect qu’on a pour mon Fils dans la sainte communion. » Estelle est guérie – guérison qui sera officiellement reconnue par l’Église comme miraculeuse.

En juillet, la Vierge lui apparaît à nouveau, l’invitant notamment à davantage de « calme » et au «courage», l’assurant de son soutien, et lui parlant ainsi de son Fils : « Son cœur a tant d’amour pour le mien qu’Il ne peut refuser mes demandes. Par moi il touchera les cœurs les plus endurcis. » Enfin, en septembre, novembre et décembre, Marie se présente à nouveau à Estelle, portant un scapulaire à l’effigie du Sacré-Cœur (« J’aime cette dévotion »), et délivrant d’autres messages (« Je choisis les petits et les faibles pour ma gloire » ; « Dis-lui que […] rien ne me sera plus agréable que de voir cette livrée [le scapulaire] sur chacun de mes enfants, et qu’ils s’appliqueront tous à réparer les outrages que mon fils reçoit dans le sacrement de son amour »). L’Église reconnaîtra en 1904 la dévotion au scapulaire du Sacré-Cœur. Quant à la dévotion à Notre-Dame de Pellevoisin, elle est autorisée et encouragée par le diocèse, et maintenant reconnue (nihil obstat accordé) officiellement par Rome. Estelle meurt en 1929, à 86 ans.

Voici le récit qu’Estelle Faguette fit des apparitions :

1° apparition : Nuit du lundi 14 au mardi 15 février 1876

Je cherchais à me reposer, quand tout à coup apparut le diable au pied de mon lit… A peine était-il arrivé que la Sainte Vierge apparut de l’autre côté, dans le coin de mon lit… Elle lui dit sèchement :

« Que fais-tu là ? Ne vois-tu pas qu’elle porte ma livrée et celle de mon Fils ? »
Il disparut en gesticulant.
Alors elle se retourna vers moi et me dit doucement :
« Ne crains rien, tu sais bien que tu es ma fille ? ».
…« Courage , prends patience ; mon fils va se laisser toucher. Tu souffriras encore cinq jours, en l’honneur des cinq plaies de mon fils. Samedi, tu seras morte ou guérie. Si mon Fils te rend la vie, je veux que tu publies ma gloire. »
Aussitôt je vis entre elle et moi une plaque de marbre blanc que je reconnus pour être un ex-voto. Je luis dis : Mais ma bonne Mère, où faudra-t-il le faire poser ? Est-ce à Notre-Dame des Victoires, à Paris ou à Pellevoi… ? Elle ne me donna pas le temps d’achever le mot Pellevoisin. Elle me répondit :
« A Notre-Dame des Victoires, ils ont bien assez de marques de ma puissance, au lieu qu’à Pellevoisin, il n’y a rien. Ils ont besoin de stimulant ».
… Je lui promis de faire ce qui dépendrait de moi pour sa gloire. Elle me dit encore : « Courage, mais je veux que tu tiennes ta promesse. »

2° apparition : Nuit du mardi 15 au mercredi 16 février 1876

La seconde nuit, je revis le diable… La Sainte Vierge parut presque aussitôt que lui et elle me dit :
« N’aie donc pas peur, je suis là. Cette fois, mon Fils s’est laissé attendrir, il te laisse la vie ; tu seras guérie samedi. »
Là-dessus je répondis : « Mais ma Bonne Mère, si j’avais le choix, j’aimerais mieux mourir pendant que je suis bien préparée. » Alors la Sainte Vierge me dit en souriant :
« Ingrate, si mon Fils te rend la vie, c’est que tu en as besoin. Qu’a-t-il donné à l’homme sur la terre de plus précieux que la vie ? En te rendant la vie, ne crois pas que tu seras exempte de souffrances ; non, tu souffriras et tu ne seras pas exempte de peines. C’est ce qui fait le mérite de la vie. Si mon fils s’est laissé toucher, c’est par ta grande résignation et ta patience. N’en perds pas le fruit par ton choix. Ne t’ai-je pas dit : S’il te rend la vie, tu publieras ma gloire ? »
Le marbre blanc était présent, et à côté, autant de papier de soie blanc qu’il y avait d’épaisseur de marbre cela en formait une quantité. Je cherchai à soulever quelques feuillets, cela me fut impossible. La Sainte Vierge me regardait toujours souriant.
« Maintenant regardons le passé. » Son visage devint un peu plus triste, mais toujours très doux… Je garde le silence sur ce que la Sainte Vierge me dit en particulier. Je dirai seulement qu’elle me fit de graves reproches que j’avais bien mérités… La Sainte Vierge me regarda avec bonté, puis elle disparut sans rien dire. Combien j’avais de chagrin !

3° apparition : Nuit du mercredi 16 au jeudi 17 février 1876

La troisième nuit et la quatrième nuit, je revis le diable. Il se tenait si loin que c’est à peine si je distinguais ses gestes… La Sainte Vierge me dit :
« Allons, du courage mon enfant. »
…Elle me fit de nouveaux reproches, mais avec tant de douceur que je me suis rassurée.
« Tout ceci est passé ; tu as, par ta résignation, racheté ces fautes. » Elle me fit voir quelques bonnes actions que j’avais faites. C’était bien peu de chose à côté de mes fautes. La Sainte Vierge vit bien ma peine, car elle me dit :
« Je suis toute miséricordieuse et maîtresse de mon Fils. Ces quelques bonnes actions et quelques prières ferventes que tu m’as adressées ont touché mon cœur de mère entre autres cette petite lettre que tu m’as écrite, au mois de septembre. Ce qui m’a le plus touchée, c’est cette phrase : Voyez la douleur de mes parents, si je venais à leur manquer ; ils sont à la veille de mendier leur pain. Rappelez vous donc ce que vous avez souffert, quand Jésus votre fils fut étendu sur la Croix. J’ai montré cette lettre à mon fils ; tes parents ont besoin de toi. A l’avenir, tâche d’être fidèle. Ne perds pas les grâces qui te sont données, et publie ma gloire. »

4° apparition : Nuit du jeudi 17 au vendredi 18 février 1876

La quatrième nuit a été à peu près de même que les autres. Je revoyais chaque nuit ce qu’elle m’avait dit les fois précédentes. Cette nuit-là, il me sembla qu’elle resta moins longtemps. Je voulais lui demander des grâces, mais je n’ai pas pu. Mes pensées se précipitaient. Je voyais dans mon esprit les paroles que la Sainte vierge m’avait répétées (…lors des apparitions précédentes).
Pourquoi, pendant que la Sainte Vierge était là, qui regardait, elle qui est si bonne et douce, n’ai-je pu rien lui demander ? Elle partit comme les autres nuits, en me répétant :
« Tu publieras ma gloire. »
J’essayai encore de dire : Comment ; je n’en ai pas eu le temps ; elle répondit en partant : « Fais tous tes efforts. »»

5° apparition : Nuit du vendredi 18 au samedi 19 février 1876

…La Sainte Vierge s’approcha au milieu de mes rideaux. Mon Dieu comme elle était belle ! Elle resta longtemps immobile sans rien dire ; elle se tenait au milieu d’une vapeur claire…Elle était souriante, elle me rappela mes promesses .
Je voyais ma plaque, mais cette fois elle n’était plus toute blanche. Il y avait aux quatre coins des boutons de roses d’or, dans le haut, un cœur d’or enflammé, avec une couronne de roses, transpercé d’un glaive. Voici ce qu’il y avait d’écrit : « J’ai invoqué Marie au plus fort de ma misère. Elle m’a obtenu de son fils ma guérison entière. »
Je lui ai promis de nouveau de faire tout ce qui dépendrait de moi pour sa gloire. Elle me dit : « Si tu veux me servir, sois simple et que tes actions répondent à tes paroles. »
Je lui ai demandé si, pour la servir, je devais changer de position. Elle m’a répondu : « On peut se sauver dans toutes les conditions ; où tu es, tu peux faire beaucoup de bien et tu peux publier ma gloire. »
Après un petit instant, elle me dit (à ce moment elle devint triste) :
« Ce qui m’afflige le plus, c’est le manque de respect qu’on a pour mon Fils dans la Sainte Communion, et l’attitude de prière que l’on prend, quand l’esprit est occupé d’autres choses. Je dis ceci pour les personnes qui prétendent être pieuses. »
Après ces paroles, elle reprit son air souriant. Je lui ai demandé si je devais parler de ce qu’elle m’avait dit tout de suite ; la Sainte Vierge me répondit :
« Oui, oui, publie ma gloire ; mais avant d’en parler, tu attendras l’avis de ton confesseur et directeur. Tu auras des embûches ; on te traitera de visionnaire, d’exaltée, de folle ; ne fais pas attention à tout cela. Sois moi fidèle, je t’aiderai. » .
Je regardais toujours ; mes yeux la fixaient sans se fatiguer, et puis tout doucement la Sainte Vierge s’éloignait. Je n’ai jamais rien vu de si beau. Petit à petit elle disparaissait, il ne restait plus que la buée (douce clarté) qui était autour d’elle, et ensuite tout disparut.

A ce moment je souffrais horriblement … Je demandai l’heure, il était minuit et demi.
Je me sentais guérie, excepté mon bras droit, dont je n’ai pu me servir qu’après avoir reçu le bon Dieu…

6° apparition : Samedi 1er juillet 1876

…J’étais à genoux devant ma cheminée, quand, tout à coup, je vis la Sainte Vierge tout environnée d’une douce lumière, comme je l’ai déjà vue ; seulement je la vis tout entière, de la tête au pieds.
Quelle beauté et quelle douceur ! Son cordon de taille tombait presque au bas de sa robe. Elle était toute blanche et se tenait debout. Ses pieds étaient à la hauteur du pavé ; seulement le pavé avait l’air d’être baissé. En la voyant d’abord, elle avait les bras tendus, il tombait de ses mains comme une pluie.
Elle fixait quelque chose ; puis ensuite elle prit un des ses cordons, le porta jusqu’à sa poitrine où elle croisa ses mains. Elle souriait. « Du calme, mon enfant, patience, tu auras des peines, mais je suis là. »
Le cordon qu’elle tenait retomba…La Sainte Vierge resta encore un petit instant, puis elle me dit : « Courage, je reviendrai. ».

7° apparition : Dimanche 2 juillet 1876
Fête de la visitation de la Sainte Vierge

…Je me suis mise à genoux et j’ai récité la moitié du Je vous salue, Marie. La Sainte Vierge était devant moi. …Elle était de même qu’hier, la pluie tombait de ses mains, et dans le fond clair qui l’environnait, il y avait une guirlande de roses…
« Tu as déjà publié ma gloire. »
« Continue. Mon fils a aussi quelques âmes plus attachées. Son cœur a tant d’amour pour le mien qu’Il ne peut refuser mes demandes. Par moi il touchera les cœurs les plus endurcis. » A ce moment, elle était si belle !
…Le papier que j’avais vu du 15 au 16 février me revint à l’esprit. Alors j’ai dit : Ma bonne Mère, que faudra-t-il faire de ce papier ? « Il servira à publier ces récits comme l’ont jugé plusieurs de mes serviteurs. Il y aura bien des contradictions, ne crains rien, sois calme.»
« Est-ce que ta guérison n’est pas une des plus grandes preuves de ma puissance? Je suis venue particulièrement pour la conversion des pécheurs. »

8° apparition : Lundi 3 juillet 1876 – La Vierge Marie est couronnée à Lourdes 

« Je voudrais que tu sois encore plus calme. Je ne t’ai pas fixé l’heure à laquelle je devais revenir, ni le jour. Tu as besoin de te reposer, je ne resterai que quelques minutes. »
Elle me dit souriante : « Je suis venue pour terminer la fête. »

9° apparition : Samedi 9 septembre 1876
octave de la nativité de la Sainte Vierge,
veille de la fête du Saint Nom de Marie

…Depuis plusieurs jours, j’avais le désir d’aller dans la chambre où je fus guérie. Enfin aujourd’hui, le 9 septembre, j’ai pu m’y rendre. Je finissais de dire mon chapelet quand la Sainte Vierge est venue.
« Tu t’es privée de ma visite le 15 août ; tu n’avais pas assez de calme. Tu as bien le caractère du Français. Il veut tout savoir avant d’apprendre, et tout comprendre avant de savoir. Hier encore je serais venue ; tu en as été privée. J’attendais de toi cet acte de soumission et d’obéissance. » A ce moment je compris très bien que si je ne m’étais pas soumise et si je n’avais pas obéi, j’aurais été privée de la voir davantage…
« Depuis longtemps les trésors de mon fils sont ouverts ; qu’ils prient. »
En disant ces paroles, elle souleva la petite pièce de laine qu’elle portait sur sa poitrine. J’avais toujours vu cette petite pièce, sans savoir ce que c’était, car jusqu’alors je l’avais vue toute blanche. En soulevant cette pièce, j’aperçus un cœur rouge qui ressortait très bien. J’ai pensé de suite que c’était un scapulaire du Sacré-Cœur. Elle dit en le soulevant : « J’aime cette dévotion. » Elle s’arrêta encore ; puis elle reprit : « C’est ici que je serai honorée. »

10° apparition : Dimanche 10 septembre 1876
fête du Saint Nom de Marie

Le 10 septembre, la Sainte Vierge vint à peu près à la même heure. Elle ne fit que passer en disant : « Qu’ils prient, je leur en montre l’exemple. » En disant cela, elle a joint ses mains, puis elle a disparu. Le coup des Vêpres sonnait.

11° apparition : Vendredi 15 septembre 1876
Octave de la nativité de la Sainte Vierge

« Je te tiendrai compte des efforts que tu as faits pour avoir le calme ; ce n’est pas seulement pour toi que je le demande, mais aussi pour l’Eglise et pour la France. Dans l’Eglise, il n’y a pas ce calme que je désire. »
Elle soupira et remua la tête, en disant : « Il y a quelque chose. » Elle s’arrêta. Elle ne me dit pas ce qu’il y avait, mais je compris tout de suite qu’il y avait quelque discorde. Puis elle reprit lentement : « Qu’ils prient et qu’ils aient confiance en moi. »
Ensuite la Sainte Vierge me dit tristement (elle ne pleurait pas) : « Et la France ! Que n’ai-je pas fait pour elle ! Que d’avertissements, et pourtant encore elle refuse d’entendre ! Je ne peux plus retenir mon fils. » Elle paraissait émue en ajoutant : « La France souffrira. » Elle appuya sur ces paroles. Puis elle s’arrêta encore et reprit : « Courage et confiance. » Alors, à cet instant je pensais en mon cœur : Si je dis ceci, on ne voudra peut-être pas me croire ; et la Sainte Vierge m’a comprise, car elle m’a répondu : « J’ai payé d’avance ; tant pis pour ceux qui ne voudront pas te croire, ils reconnaîtront plus tard la vérité de mes paroles. » Puis tout doucement elle partit.

12° apparition : Mercredi 1er novembre 1876
Fête de la Toussaint

Enfin, aujourd’hui 1er novembre, je revis cette bonne Mère du ciel. Elle était comme toujours, les bras tendus, et portait le scapulaire qu’elle me fit voir le 9 septembre. En arrivant, comme toujours, elle fixait quelque chose que je ne pouvais pas voir ; puis elle regarda de tous côtés. Elle ne m’a rien dit. Puis elle jeta les yeux sur moi et m’a regardée avec beaucoup de bonté et partit.
Je ferai tout ce qui dépendra de moi pour votre gloire.

13° apparition : Dimanche 5 novembre 1876

Vers 2 h ½, je suis allée dans ma chambre pour dire mon chapelet et lorsque je l’eus fini, je vis la Très Sainte Vierge. Elle était belle comme toujours. En la voyant je pensais que j’étais bien indigne de ses grâces et que tant d’autres que moi méritaient plus que moi ses faveurs et pouvaient davantage publier sa gloire. Alors elle me regarda et sourit en me disant :
« Je t’ai choisie. »
« Je choisis les petits et les faibles pour ma gloire . »
Elle s’arrêta encore et me dit :
« Courage, le temps de tes épreuves va commencer. »
Puis elle croisa ses mains sur sa poitrine et partit.

14° apparition : Samedi 11 novembre 1876

…Lorsqu’elle est venue, la Sainte Vierge était comme les autres fois, les bras tendus et avait son scapulaire. (Qu’il est donc beau, comme il ressort sur sa poitrine !) En arrivant, comme toujours, elle resta un bon moment sans rien dire, puis elle me regarda et me dit quelque chose pour moi. Puis elle me dit :
« Tu n’as pas perdu ton temps aujourd’hui ; tu as travaillé pour moi. »
(J’avais fait un scapulaire.) Elle était souriante, puis elle ajouta :
« Il faut en faire beaucoup d’autres. »
Elle s’arrêta assez longtemps, et après elle devint un peu triste, et me dit : « Courage » Et puis elle partit, en croisant ses mains sur sa poitrine. Elle cacha entièrement son scapulaire.

15° apparition : Vendredi 8 décembre 1876
Fête de l’Immaculée Conception

Aujourd’hui après la grand-messe, j’ai revu cette douce Mère. Elle était plus belle que jamais ; il y avait autour d’elle sa guirlande de roses, comme au mois de juillet. En arrivant, tout d’abord, elle resta sans rien dire comme les fois précédentes ; puis elle me dit :
« Ma fille, rappelle toi mes paroles. »
A ce moment, je les revis toutes depuis le mois de février… Parmi ces paroles, j’en revis encore beaucoup d’autres. J’en garderai le secret. Tout ceci passa très vite. La Sainte Vierge me regardait toujours ; elle me dit :
« Répète les souvent ; qu’elles te fortifient et te consolent dans tes épreuves. Tu ne me reverras plus. »
Alors je me suis mise à crier : Qu’est-ce que je vais devenir sans vous ma Bonne Mère ? La Sainte Vierge m’a répondu :
« Je serai invisiblement près de toi. »
Je voyais à cet instant, dans le lointain, à gauche, une foule de gens de toute sorte ; ils me menaçaient et faisaient des gestes de colère. J’avais un peu peur. La Sainte Vierge souriait ; elle me dit :
« Tu n’as rien à craindre de ceux-ci. Je t’ai choisie pour publier ma gloire et répandre cette dévotion. »
La Sainte Vierge tenait son scapulaire des deux mains. Elle était si encourageante, que je lui dis : « Ma bonne Mère, si vous vouliez me donner ce scapulaire ? » La Sainte Vierge n’eut pas l’air d’entendre. Elle me dit en souriant :
« Lève toi et embrasse le. » Oh ! alors je me suis levée vivement. La Sainte Vierge se pencha vers moi et je l’ai embrassé. Ce fut pour moi un moment de délices. Puis la Sainte Vierge se releva, et me dit, en parlant de son scapulaire :
« Tu iras toi-même trouver le Prélat, et lui présenteras le modèle que tu as fait. Dis-lui qu’il t’aide de tout son pouvoir, et que rien ne me sera plus agréable que de voir cette livrée sur chacun de mes enfants, et qu’ils s’appliqueront tous à réparer les outrages que mon fils reçoit dans le sacrement de son amour. Vois les grâces que je répands sur ceux qui le porteront avec confiance et qui t’aideront à le propager. »
En disant ceci, la Sainte Vierge étendit ses mains ; il en tombait une pluie abondante, et dans chacune de ces gouttes, il me semblait voir les grâces écrites telles que : piété, salut, confiance, conversion, santé ; en un mot toutes sortes de grâces plus ou moins fortes. Puis la sainte Vierge ajouta :
« Ces grâces sont de mon fils ; je les prends dans son Cœur ; il ne peut me refuser. »
Alors je dis : ma bonne Mère, que faudra-t-il mettre de l’autre côté de ce scapulaire ? La Sainte Vierge me répondit :
« Je le réserve pour moi ; tu soumettras ma pensée, et l’Eglise décidera. »
Je sentais que cette bonne Mère allait me quitter et j’avais du chagrin. Elle s’élevait doucement ; elle me regardait toujours, et me dit :
« Courage. S’il ne pouvait t’accorder tes demandes (la Sainte Vierge parlait du prélat), et qu’il s’offre des difficultés tu irais plus loin. Ne crains rien, je t’aiderai. »
Elle fit le demi-tour de ma chambre, et disparut à peu près où était mon lit.
Mon Dieu, que j’avais de la peine ! Merci, ma bonne Mère, je ne ferai rien sans vous.

Pour en savoir plus, cliquez ici pour visiter le site officiel du sanctuaire de Pellevoisin.




Trevignano Romano : messages de juillet et août 2024

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisella le 3 septembre 2024

Chers enfants, merci d’être ici en prière et d’accueillir mon appel dans vos coeurs. Mes enfants, mes larmes sont le signe de ma souffrance qui continue pour ceux qui n’écoutent pas mes paroles.

Mes enfants, dans tant de mes apparitions, je vous ai mis en garde, vous et le monde entier, mais l’humanité ne veut pas revenir à Dieu, elle préfère le chemin du monde, plus facile peut-être mais moins sûr pour son âme.

Mes enfants, je vous rappelle que ma souffrance a été supportée avec humilité dans le silence de mon coeur. Je vous demande pour ces temps, humilité et silence. Soyez en paix entre vous ! Marchez unis vers le salut, en priant constamment, en vous aimant les uns les autres, en pardonnant à ceux qui vous ont fait souffrir, même Jésus a demandé au Père de pardonner à ceux qui l’ont crucifié.

Mes enfants, la persécution ne fait que commencer, soyez forts et luttez. Ne soyez pas hypocrites, mais de dignes enfants de Dieu.

Je vous bénis maintenant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisela le 30 août 2024

Ma fille, ne crains pas ce qui arrive. Pourquoi désespères-tu, ne sais-tu pas que tout est entre les mains de mon Père ?
Mon enfant bien-aimée, je sais que tu ne veux plus entendre ma voix et je connais ton cœur, mais dis-moi : à qui puis-je faire confiance en ce moment ? Ne me laisse pas seule non plus. Ma fille, la purification sera pour tous et cette douleur, pour toi, sera un don du ciel.
Je veux t’éloigner de ceux qui servent Satan, je veux te protéger de toutes les manières possibles, n’aie pas peur.

La purification sera pour tous, non pour punir mais pour vous faire entrer dans Mon Royaume. Cherchez les choses d’en haut. J’ai déjà dit que la Justice viendra bientôt, surtout pour ceux qui sont pleins d’orgueil, qui veulent être égaux ou supérieurs à Dieu et c’est pour eux que je pleure du sang, c’est toujours pour eux que je suis triste et découragé mais, à la fin, ils devront plier les genoux de force et comprendre que je suis qui je suis, qu’il n’y a pas d’autre Dieu que moi.

Mes enfants, je souhaite que vous sentiez toujours mon souffle sur vous. Vous serez instruits au bon moment, n’abandonnez pas la prière, ne m’abandonnez pas Moi et ma Très Sainte Mère, n’abandonnez pas mon Père.
Priez les guerriers, priez pour combattre le mal, priez et combattez.

Je vous bénis maintenant au nom de la Très Sainte Trinité.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisela le 24 août 2024

Mes enfants, merci d’être en prière et de plier les genoux. Ma fille, où sont mes enfants ! Ils cherchent les idoles du monde sans comprendre l’urgence de la prière que cette période impose.

Enfants, soyez prudents car bientôt l’antéchrist fera officiellement son entrée.

Mes enfants, n’ayez pas peur quand vous parlez de Jésus, car Mes anges sont prêts à vous protéger. Enfants, priez pour les pasteurs aveugles qui conduisent les fidèles à l’aveuglement, priez pour ceux qui ont peur de la vérité du ciel.

Mes enfants, soyez toujours en prière parce que les temps sombres et les persécutions seront de plus en plus forts, mais écoutez ce que J’ai prédit aujourd’hui et dans le passé.

Maintenant, je vous bénis au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, Amen.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisella le 15 août 2024

Chers enfants, merci d’être ici en prière. Mes enfants, je suis l’Assomption, je viens à vous avec un cœur plein d’amour, aidez vos frères à se convertir, je suis ici pour apporter la paix. Mes enfants, les ténèbres arrivent, les ténèbres continuent de descendre sur cette humanité désintéressée par les appels du ciel. Maintenant je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Amen.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisela le 10 août 2024

Chers enfants, merci de répondre à mon appel dans vos cœurs et de plier les genoux en prière.

Enfants aimés du Ciel, il y aura tant de mauvaises choses que vous verrez dans le monde ! Ce qui a été révélé à Fátima est dans son plein accomplissement.

Mes enfants, battez-vous ! Ne vous contentez pas de regarder, critiquer, sans rien faire, quand Dieu est enlevé à mes enfants. Votre conscience sera claire lorsque vous parlerez de Dieu, mais le libre arbitre vous fera choisir le chemin à prendre.

Enfants, lorsque vous faites ce que Mon Fils bien-aimé (Jésus) vous a commandé, vous pourrez demander tout ce que vous voulez et Il vous accordera. C’est le moment !

Maintenant, je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisela le 3 août 2024

Mes chers enfants, merci d’être ici en prière et de plier les genoux. Mes enfants bien-aimés, soyez toujours unis dans la foi. Méfiez-vous des confusions qui sont créées… vous avez un moyen infaillible d’être avec Dieu : vivez dans la Loi du Seigneur, suivez Ses commandements, ayez une vie pleine de Foi… de vraie Foi ! Faites du bien à vos frères, et aimez-vous les uns les autres. Malheureusement, je vois cette humanité aller vers l’autodestruction… Mais je vous aime et je vous demande de revenir à Dieu. Mangez l’Eucharistie ! Assistez à son sacrifice et repentez-vous de vos péchés. Mes enfants, faites-le et n’ayez pas peur ! Dieu vous pardonnera et fera descendre sa miséricorde sur vous. Préparez-vous à la vie éternelle… Mes enfants, n’ayez pas de mauvaises pensées et de mauvais coeurs. Courez et buvez là où tout est possible… au pied de la Croix… Maintenant je vous bénis, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit Amen !

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisella le 20 juillet 2024

Enfants bien-aimés, merci d’avoir répondu à mon appel dans vos coeurs et d’avoir plié les genoux dans la prière. Mes enfants, je vous demande de ne pas avoir peur des temps qui viendront… Je sais que vous êtes inquiets pour l’avenir de vos enfants. Mais alors, ne faites-vous pas confiance à mes paroles ? Priez, priez, priez beaucoup, afin d’avoir ma protection. Mes enfants, criez sans crainte ! En particulier, dites aux prêtres de ne pas accepter le monde ! Mais ils doivent parler de Dieu pendant les messes, pendant les réunions avec les fidèles, dans les familles et sur les places. Priez mes enfants pour apaiser la colère de Dieu ! Priez pour la France qui a perdu la foi ! Priez pour l’Angleterre et pour l’Italie, où la famine commence à se faire sentir. L’Italie qui m’est si chère, mais qui est traître…, où l’hérésie et le blasphème sont approuvés avec tant de liberté. Je vous bénis maintenant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Votre Mère.

Message de la Reine du Rosaire donné à Gisella le 13 juillet 2024

Mes enfants, merci d’avoir répondu à mon appel dans vos coeurs, d’avoir plié les genoux dans la prière. Ma fille, tu dois dire à mes enfants que Dieu n’aime pas les sanctuaires froids. Il n’a pas besoin de grandes églises et de grandes œuvres construites avec des murs. Il cherche des âmes qui peuvent revenir à Lui. Mes enfants, les temps sont cruciaux. Venez et priez pour la paix. Faites pénitence, pénitence, pénitence… ! Maintenant je vous embrasse et je vous bénis au nom de la Très Sainte Trinité, Père et Fils et Saint-Esprit.