Obsèques de Charlie Kirk : « je lui pardonne », tout le visage de la miséricorde chrétienne exprimé par Erika, sa femme

Source : Tribune chrétienne

C’est cette communion spirituelle, née du pardon, qui a donné à la cérémonie une portée universelle

Hier Dimanche , au State Farm Stadium de Glendale, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées pour rendre hommage à Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA et figure conservatrice de la jeunesse américaine. Mais ce qui marquera l’histoire de ces obsèques, ce ne sont pas les discours officiels ni les considérations politiques, mais les paroles lumineuses de son épouse Erika.

Face à l’horreur de l’assassinat, elle a choisi le chemin du Christ. « Cet homme, ce jeune homme… je lui pardonne » , a-t-elle affirmé avec des larmes, soulevant une ovation de la foule. « Je lui pardonne parce que c’est ce que le Christ a fait et c’est ce que Charlie aurait fait. La réponse à la haine n’est pas la haine. La réponse, nous la connaissons par l’Évangile : l’amour, toujours l’amour. » ( vidéo)

Dans un monde où la tentation du ressentiment et de la vengeance est omniprésente, ce témoignage rappelle que le pardon chrétien est unique. Il n’est pas faiblesse mais puissance, il n’est pas oubli mais espérance. Au-delà de la haine, il y a l’amour. Cette vérité, proclamée par Erika au cœur de son deuil, transcende toute logique humaine pour manifester la victoire de la miséricorde.

Ce message tranche aussi avec les commentaires hostiles qui, sur certains réseaux et tribunes, ont cherché à minimiser le crime, voire à l’excuser au nom d’une idéologie prétendument légitime. Dans ce climat de confusion morale, où la violence est parfois justifiée dès lors qu’elle vise un adversaire politique, la voix d’Erika Kirk s’élève comme un rappel radical : aucune cause ne justifie le meurtre. Seul l’amour peut briser la spirale de la haine.

Lors de ces obsèques, l’on n’a pas vu l’émotion passagère d’une catégorie d’Américains. L’on a vu la communion d’esprit d’hommes et de femmes blessés, meurtris, rassemblés dans une même douleur et une même espérance. C’est cette communion spirituelle, née du pardon, qui a donné à la cérémonie une portée universelle.

Erika Kirk a décrit la douleur indicible de voir son mari inanimé, mais aussi la paix mystérieuse qu’elle a perçue sur son visage : « J’ai vu sur ses lèvres le plus léger sourire, comme une grâce qui me disait qu’il n’avait pas souffert. » Ses paroles tranchent radicalement avec le climat de violence verbale qui marque la politique américaine et planétaire. Tandis que certains responsables évoquaient le mal et l’affrontement, Erika a offert l’image d’une foi vivante, où la miséricorde n’est pas un concept mais une réalité vécue. L’émotion non feinte et le pardon vrai qu’elle a exprimés ne peuvent être moqués, brocardés ni dénoncés. Ils donnent le vrai visage de l’Évangile.Alors que les logiques humaines enferment dans la spirale du ressentiment et de la haine , le pardon chrétien libère et ouvre à la vie. Erika Kirk a invité chacun à revenir à la prière, à la lecture de la Bible, à la vie familiale enracinée dans la foi vers une lumière qui, même dans la nuit du drame, éclaire les cœurs et montre que la dernière parole appartient toujours à l’amour.




« Je n’ai pas entendu dire que Maman Marie agit, je l’ai vécu »

Dans une déclaration émouvante lors d’une interview accordée au média Actu People, déclaration devenue virale sur les réseaux sociaux, le chanteur ivoirien Kerozen est revenu sur un épisode spirituel marquant de sa vie. Il s’agit d’un moment de prière adressé à la Vierge Marie qui, selon lui, a changé le cours de sa carrière musicale.

Loin de toute posture dogmatique, le chanteur appelle à respecter les croyances religieuses de chacun, tout en livrant un témoignage personnel empreint de sincérité et de gratitude : « Je ne savais même pas réciter le “Je vous salue Marie” », confie Kerozen, de son vrai nom Yobo Constant Joël. En 2016, à peine rentré de Suisse et dans une situation financière critique, il s’est rendu dans une église, avec en poche son dernier billet de 5 000 francs CFA (environ 7 euros). Ce jour-là, il décide de s’adresser directement à « Maman Marie », la Vierge vénérée dans la tradition catholique, pour lui demander d’intercéder en faveur de sa nouvelle chanson : Mon heure a sonné.

Genoux à terre, bougie allumée, foi intacte malgré les moqueries de certains fidèles présents, l’artiste a formulé une prière simple et directe, sans artifice. Quelques jours plus tard, la chanson devenait un tube national, propulsant Kerozen au rang de star. « Je ne suis pas catholique, mais chrétien », insiste-t-il. Pourtant, c’est bien à la Vierge Marie qu’il s’est adressé, reconnaissant aujourd’hui son rôle dans ce tournant décisif. Il tient à le dire haut et fort : « Je n’ai pas entendu dire que Maman Marie agit, je l’ai vécu. »

Dans un monde où les tensions confessionnelles peuvent vite prendre de l’ampleur, le message de Kerozen résonne comme un hymne à la foi personnelle et à la liberté spirituelle.

Son témoignage arrive à une époque où de nombreuses célébrités africaines commencent à assumer plus ouvertement leur spiritualité, parfois au risque de critiques. Pour Kerozen, la foi n’est ni un slogan ni un refuge passager, mais une ancre qui l’a sauvé quand il touchait le fond.




Gad Elmaleh en hospitalier à Lourdes, un véritable témoignage de foi

Source : Tribune Chrétienne

À l’occasion du pèlerinage à Lourdes (Hautes-Pyrénées) du diocèse de Tulle, du 17 au 21 août 2025, le comédien Gad Elmaleh a choisi de vivre une immersion unique : celle d’un hospitalier bénévole au sein de l’Hospitalité de Tulle.« Ce fut un très beau pèlerinage avec la présence durant les trois premiers jours du célèbre humoriste Gad Elmaleh qui voulait vivre l’expérience d’hospitalier au sein d’une hospitalité. Tous les hospitaliers et malades ont pu apprécier son humilité et ses échanges », a communiqué le diocèse de Tulle.

Dans le plus grand des secrets, Gad Elmaleh a passé trois jours comme simple hospitalier à Lourdes. Brancard, chariot, accompagnement des malades : l’humoriste s’est fondu dans le quotidien des bénévoles. La présidente de l’Hospitalité de Tulle souligne combien l’artiste s’est montré attentif et fraternel : « Durant ces quelques jours, Gad s’est montré très humble, très sympathique et très ouvert aux échanges en discutant avec tout le monde. Il attendait avec impatience la procession mariale de nuit. » Le message publié sur la page Facebook de l’Hospitalité de Tulle a résumé l’esprit de cette immersion : « Gad Elmaleh avait demandé au Sanctuaire de Lourdes de “vivre Lourdes” de manière plus intense. Le Sanctuaire lui a proposé d’intégrer une hospitalité et par chance ce fut l’Hospitalité de Tulle qui a été choisie. Durant ces quelques jours, Gad s’est montré très humble, très sympathique et très ouvert aux échanges en discutant avec tout le monde. Il voulait comprendre et a voulu vivre le pèlerinage comme un hospitalier, apprendre à manier un chariot, pousser le brancard… Bref, “vivre Lourdes”. Alors, merci Gad ! »

Pour les malades comme pour les bénévoles, cette présence inattendue fut un moment de grâce et de simplicité. Loin des projecteurs, le comédien a choisi de se tenir au service des plus fragiles. Ce n’était pas la première fois que Gad Elmaleh venait à Lourdes. Depuis sa découverte du sanctuaire en 2019, il est revenu régulièrement, jusqu’à coproduire la comédie musicale Bernadette de Lourdes. Mais cette immersion au sein d’une hospitalité marque une étape supplémentaire dans son chemin spirituel.Comme chaque été, des dizaines de milliers de pèlerins sont passés anonymement dans la grotte de Massabielle, là où la Vierge Marie est apparue à sainte Bernadette. Mais cette année, l’un d’entre eux n’est pas resté totalement invisible : Gad Elmaleh. Non pas pour être reconnu, mais parce que son attitude de service et son désir de « vivre Lourdes » ont profondément touché ceux qui l’ont côtoyé.

En choisissant de se mettre au service, l’humoriste a donné non pas un spectacle mais un témoignage. Un témoignage de foi vécue dans l’humilité, aux côtés des pèlerins et des malades du diocèse de Tulle.




VIDEO : La beauté et la dévotion à Marie de Miss Costa Rica

Source : Tribune chrétienne du 22 août 2025

Mahyla Roth - DR
Mahyla Roth – DR

Mahyla Roth a voulu rappeler par un signe concret que sa couronne reste un dépôt à offrir, un don à mettre sous la protection maternelle de Marie

Le 19 juillet, après avoir été couronnée Miss Universe Costa Rica 2025, Mahyla Roth a choisi de poser le premier acte public de son règne non pas sous les projecteurs, mais à genoux, dans le silence priant de la basilique de Notre Dame des Anges à Cartago. La jeune reine de beauté a expliqué qu’elle tenait une promesse faite en début d’année, offrir sa victoire à Dieu et confier sa couronne à la Vierge, patronne du Costa Rica :« Aller à la basilique de Notre Dame des Anges et lui apporter la couronne est une promesse accomplie et la réponse à beaucoup de mes prières, aujourd’hui je ne peux que dire MERCI », a-t-elle écrit sur ses réseaux sociaux, où elle a partagé une vidéo la montrant s’avancer à genoux vers l’autel, la couronne entre les mains, priant devant le Saint-Sacrement et l’image de « La Negrita », comme les Costariciens appellent affectueusement la Vierge des Anges.

Dans le même message, Mahyla Roth a exprimé sa gratitude et son abandon à la Providence en vue du concours international qui se tiendra en 2025 en Thaïlande. « Aujourd’hui je remercie Dieu qui m’a accompagnée dans chaque étape du processus et je confie tout le parcours de cette grande expérience à vivre, un nouveau chemin commence vers un nouveau rêve, je sais qu’avec la bénédiction de Dieu et de la Vierge ce sera un grand chemin. »

 

La démarche a touché un large public, parce qu’elle rejoint l’âme croyante d’un pays où la Vierge des Anges, découverte selon la tradition en 1635 et proclamée patronne du Costa Rica au XIXe siècle, demeure le cœur spirituel de la nation. La basilique de Cartago est le point d’arrivée de la grande romería annuelle du 2 août qui rassemble des centaines de milliers de pèlerins, signe d’une piété populaire simple et tenace.

Les réactions en ligne témoignent de cette émotion collective. Beaucoup ont salué l’humilité d’un geste qui replace la réussite sous le regard de Dieu. « Je ne suis pas fan de ces concours mais au moins elle est allée porter la couronne à la vraie Reine », écrit une internaute. « Toutes mes félicitations et bénédictions pour elle », ajoute une autre. « La petite Vierge des Anges, la patronne du Costa Rica, dans ma belle Cartago », confie un Costaricien fier de ses racines. « Cette jeune femme est un exemple que la foi déplace des montagnes », peut-on encore lire. Une formatrice de reines de beauté réagit ainsi, forte de son expérience de plus de vingt ans dans le milieu, « Cet acte est unique, j’ai toujours dit que la vraie et unique reine est Mamita María, et cette Miss Universe le sait. »

D’autres messages reprennent la tonalité filiale propre à la piété costaricienne, « Comme c’est beau, elle a tenu sa promesse à Notre Dame Reine des Anges, que Dieu la bénisse »

Quelques voix interrogent ou contestent la mise en scène publique de la dévotion, rappelant que les promesses se vivent dans le secret du cœur. « Faut-il l’applaudir, à ma connaissance on n’a pas à montrer au monde entier promesses, dévotions ni œuvres, tout le mérite se perd ainsi, Dieu se complaît en ce que nous offrons dans le secret », Ces réserves ne gomment pas l’essentiel, la vidéo a surtout éveillé reconnaissance et prière chez un grand nombre de personnes qui y ont vu un témoignage limpide, celui d’une jeune femme consciente que la gloire des podiums n’a de sens que si elle conduit à Celui qui est la source de toute beauté.

Au moment d’entrer dans la préparation de la 74e édition de Miss Univers, Mahyla Roth a voulu rappeler par un signe concret que sa couronne reste un dépôt à offrir, un don à mettre sous la protection maternelle de Marie. Dans une culture médiatique friande d’apparence, ce geste recentre l’attention sur la beauté intérieure, la gratitude et l’espérance chrétienne. La couronne présentée à Notre Dame des Anges devient ainsi plus qu’un symbole, elle dit un chemin, servir le bien et la vérité et témoigner de sa foi. Et peut-être qu’un jour, en France aussi, nous verrons une Miss avoir le courage de témoigner sa foi au grand jour, rappelant que la véritable royauté vient de Dieu et que la plus belle des couronnes est celle de la sainteté.




Mise au point du pape Léon XIV : assez de l’idolâtrie écologiste, seul le Christ sauve

Ce message s’adresse à tous ceux qui, dans l’Église en France et ailleurs, veulent faire de l’écologie la nouvelle religion du monde tout en rejetant l’enseignement du Christ sur l’essentiel

Cette mise au point doctrinale sonne le glas des inventeurs d’une religion de pacotille, créée par l’homme pour un homme en quête de lui-même, mais non de Dieu.Le Saint Père dit stop à l’indigénisme et à l’écologisme, affirmant que le salut ne se trouve pas dans la Pachamama mais dans le Christ. Par un télégramme adressé aux évêques d’Amazonie, Léon XIV signe le premier vrai changement radical avec le pontificat précédent : il place à nouveau Jésus-Christ au centre, refusant que l’homme devienne esclave ou adorateur de la nature.

Le message est bref mais il sonne comme une véritable mise au point spirituelle et doctrinale. À travers un télégramme envoyé à la Conférence ecclésiale de l’Amazonie, le pape Léon XIV a rappelé l’évidence que trop de voix dans l’Église avaient laissé s’obscurcir : les peuples amazoniens, comme tous les peuples de la terre, portent en eux le péché originel et ont besoin du salut que seul Jésus-Christ peut donner. Ni la Pachamama ni le « bien vivre » primitiviste ne sauvent, mais le Christ seul.

Un langage clair, une rupture nécessaire

Depuis plus d’une décennie, sous l’impulsion de François et de sa « vision faussée » de l’écologie, l’Église a assisté à une dérive où l’indigénisme et l’écologisme ont pris le pas sur l’annonce de l’Évangile. Le Synode de l’Amazonie (2019) et l’exhortation Querida Amazonia en furent la traduction la plus visible, reléguant le Christ au second plan et présentant les peuples amazoniens comme détenteurs d’une sagesse quasi rédemptrice, devant laquelle l’Église devait s’incliner.Léon XIV rompt avec ce langage ambigu et dangereux. Avec sobriété et fermeté, il rappelle que « Jésus-Christ, en qui toutes choses se récapitulent, doit être annoncé avec clarté et immense charité », afin que les peuples puissent recevoir « le pain frais et pur de la Bonne Nouvelle » et « le pain du ciel de l’Eucharistie ».

« Ne pas être esclave ou adorateur de l’écologie »

C’est peut-être sur le terrain écologique que la correction est la plus forte. En citant saint Ignace de Loyola, Léon XIV souligne que l’homme est appelé à être administrateur de la création, non pas son adorateur ni son esclave. La nature ne doit pas être idolâtrée, car elle n’est pas une fin en soi mais un don confié par Dieu pour que l’homme loue son Créateur et cherche le salut de son âme.Cette mise au point tranche radicalement avec la confusion introduite par François, qui a trop souvent présenté la « Terre-Mère » comme objet de respect quasi sacré, allant jusqu’à tolérer des rituels païens au cœur du Vatican. Avec Léon XIV, le centre revient à sa juste place : le Christ, et non l’écologie, est le cœur de la foi.

Certes, il ne s’agit que d’un télégramme. Mais dans le climat actuel, où tant d’institutions ecclésiales, encouragées par l’orientation précédente, se consacrent davantage aux campagnes environnementales qu’à l’annonce des commandements de Dieu, cette clarification prend des allures de tournant historique. Pour la première fois depuis des années, le Saint Père remet clairement le cap sur l’évangélisation et replace l’écologie dans son cadre légitime : non pas une nouvelle religion, mais un service de l’homme ordonné à Dieu.Le premier vrai changement radical avec le pontificat de François est désormais visible. Léon XIV, sans bruit ni provocation, trace une ligne claire : l’Église n’est pas la gardienne d’un culte à la nature, mais le Corps du Christ envoyé pour sauver les âmes. Et il n’est plus question d’être « esclave ou adorateur de l’écologie », mais d’être disciples de Jésus-Christ, Créateur et Seigneur de l’univers.

On ne peut que souhaiter que Monseigneur Aveline, ainsi que les évêques de France dans leur ensemble, aient bien compris le message. Oui, l’« Église verte » peut avoir son utilité quand il s’agit de rappeler la responsabilité de l’homme envers la création, mais elle ne saurait jamais devenir la nouvelle religion de substitution. Car la véritable couleur de l’Église n’est pas le vert des slogans écologistes, mais le rouge : celui du sang du sacrifice du Christ et des martyrs, qui seuls rappellent le prix du salut.

Source  : article de Philippe-Marie,Tribune chrétienne du 20 août 2025



L’homélie choc du Cardinal Sarah à Sainte Anne d’Auray




VIDEO – Pascal Obispo plante une croix : et si la France retrouvait la foi aussi par ses artistes ?

Source : Tribune Chrétienne

Avec Notre Dame et la France, Pascal Obispo signe à sa manière une nouvelle lettre à la France, bien différente de celle que son idole Michel Polnareff lui adressait en exil. Là où Polnareff exprimait la nostalgie d’un pays perdu, Obispo ajoute une dimension sacrée

Dans un clip dévoilé le 19 mai 2025, le chanteur Pascal Obispo livre bien plus qu’une chanson : un acte de foi. À la fin de Notre Dame et la France, il plante une grande croix en bois au sommet d’une colline, dressant ainsi un calvaire face à l’histoire et à l’oubli. Ce geste symbolique, rare dans le paysage artistique contemporain, interpelle profondément les âmes chrétiennes et les cœurs attachés à l’identité de notre pays.Réalisé par Philippe Lellouche, le clip met en scène une errance poétique et douloureuse à travers les symboles d’une France blessée : Notre-Dame, Verlaine, Hugo, Van Gogh, Ravel, les Lumière… Tous semblent abandonnés au fil des couplets. Mais l’espérance renaît au dernier plan, là où le chanteur s’agenouille devant une simple croix, comme pour réparer, humblement, une trahison culturelle et spirituelle.

« Je vous salue Marie, amour année zéro » : cette parole, extraite du refrain, sonne comme une oraison funèbre pour une France qui a renié ses racines, mais aussi comme une prière pour sa résurrection. En plantant un calvaire, Pascal Obispo fait plus qu’un hommage : il confesse, en images, la nécessité d’un retour aux sources. Un retour au Sacré.Dans un paysage artistique souvent acquis à des valeurs contraires à la foi chrétienne, ce clip fait figure d’exception. Loin des provocations stériles, Notre Dame et la France assume un patriotisme incarné, doux et grave, enraciné dans la foi, la beauté et la mémoire. Il ne s’agit pas d’un pamphlet politique, mais d’un cri du cœur – celui d’un homme qui, après avoir « fermé le piano », rouvre le ciel.

On aurait pu s’attendre à voir un artiste comme Vianney, chanteur ouvertement catholique, s’approprier une telle démarche spirituelle et symbolique. Mais c’est finalement Pascal Obispo qui a osé aller jusqu’au bout de ce témoignage silencieux mais percutant, en laissant parler le bois de la croix.Ce geste trouve d’ailleurs un écho profond dans les déclarations que l’artiste a faites au fil des années. En 2017, à l’occasion de sa participation à la comédie musicale Jésus, il confiait au magazine Famille Chrétienne : « Moi, j’ai notamment reçu le catéchisme. Cela m’a nourri, cela reste ancré en moi », avant d’ajouter cette phrase bouleversante : « Jésus ne m’a jamais quitté ». Une affirmation rare, sincère et courageuse dans le paysage médiatique français.




Vianney, après la vie d’artiste, la vie d’ermite

Source : Aleteia

Marguerite Droullé – publié le 24/06/25

Peut-être qu’il faut que je sois charpentier pour réapprendre à devenir chanteur », a affirmé Vianney, le coach de The Voice, à ses fans sur son compte Instagram ce 23 juin… Un petit clin d’œil à saint Joseph ? Le chanteur de variété française prend une décision radicale. Après s’être produit dans de nombreux projets, il a besoin de calme, de se retirer du monde et de la scène musicale pour se retrouver et puiser son inspiration en pleine nature.

« Je veux construire une cabane, un refuge, un endroit où je puisse mettre un piano, un lit, une table que je construise de mes mains surtout ». Un retour aux choses simples pour se concentrer sur l’essentiel et pour retrouver le sens du concret, pour « non plus produire mais construire ». Bien qu’il affirme ne pas y connaître grand-chose en construction, c’est pour lui une nouvelle aventure, cette fois-ci plus intérieure et spirituelle. Peut-être un hommage à son grand-père qu’il admirait beaucoup et qu’il évoque dans une de ses chansons lorsqu’il écrit « serré tes mains de travailleur ».

Revirement inattendu pour le chanteur, qui avait déjà surpris ses fans, il y a deux ans, lorsqu’il avait annoncé qu’il ne se produirait plus en concert pour privilégier sa famille. Après le chant, il a fait quelques pas dans l’univers de la mode, en créant sa marque de vêtements Vrai. À présent, les poutres et les clous deviennent ses nouveaux instruments. Un musicien et père de famille qui a décidément plusieurs cordes à sa guitare !




Mgr Strickland à propos de Léon XIV

Mes chers fils et filles dans le Christ,

Bienvenue à ce nouvel épisode de La Voix d’un Berger.

Nous sommes arrivés à un autre moment dans la vie de l’Église qui appelle à la foi, à la patience et à la clarté d’âme. Un nouveau pape a été élu Léon XIV et je sais que pour de nombreux fidèles catholiques, en particulier ceux qui aiment la Tradition de l’Église, ce moment apporte non seulement des questions, mais des chagrins, des préoccupations et des craintes pour l’avenir. Et pourtant, nous nous souvenons aussi que chaque nouveau pontificat commence avec la possibilité de la grâce. Nous ne savons pas ce qu’il peut encore faire. Nous le confions à la miséricorde de Dieu, et nous prions pour qu’il reçoive la force et le courage de défendre la foi avec clarté et amour.

Ce n’est un secret pour personne que ce nouveau Saint-Père vient du cœur d’un mouvement dans l’Église qui, au cours des dernières décennies, s’est éloigné de la doctrine, a assoupli son emprise sur la tradition et a souvent cherché à plaire au monde plus qu’à le contester. Ces choses doivent être dites clairement, mais elles ne doivent pas être dites avec amertume, ni dans un esprit de rébellion, mais dans la vérité et dans l’amour. Dans le même temps, nous devons nous rappeler que le passé d’un homme ne dicte pas toujours son avenir. Dieu a déjà opéré des retournements surprenants dans les cœurs des dirigeants, et Il peut le faire à nouveau.

Permettez-moi donc de commencer par une parole de l’Écriture Sainte, qui a été une force pour l’Église à chaque époque de souffrance:

Dieu est notre refuge et notre force, un secours qui ne manque jamais dans la détresse (Psaumes 45:2).

Nous ne sommes pas orphelins. Christ est toujours avec son Église. Il règne. Même dans Sa Passion.

Aujourd’hui, je veux partager avec vous une réflexion – pas une condamnation, pas une prédiction de malheur, mais une réflexion. Et je veux le faire en regardant deux hommes qui portent le même nom : Léon XIII, et maintenant, Léon XIV. Il y a deux hommes. Deux moments dans l’histoire. Deux chemins très différents. Et pourtant une seule Église. Une couronne. Un roi crucifié.

Revenons un instant au pape Léon XIII.

Il a été élu en 1878, après le long pontificat du bienheureux Pie IX. Le monde changeait rapidement. Le pouvoir temporel de la papauté était tombé. L’Église était entourée par les forces du modernisme, du socialisme, de l’athéisme et beaucoup à l’intérieur de l’Église commençaient déjà à s’adapter à l’esprit de l’époque.

Pourtant, Léon XIII est resté ferme. Il écrivit Rerum Novarum affirmant la dignité du travail, mais la fondant sur la loi divine, et non sur des slogans révolutionnaires. Il a publié plus d’encycliques sur le Rosaire que tout autre pape de l’histoire. Il a composé la prière à Saint Michel l’Archange. Et il a consacré le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus.

Il savait que les erreurs modernes ne pouvaient pas être vaincues par la seule diplomatie. Il fallait leur donner la doctrine, la sainteté et une fidélité indéfectible à la vérité.

Le pape Léon XIII n’était pas un homme pompeux. C’était un homme de vision. Un homme qui a regardé le mal en face et a répondu avec toute la force de l’enseignement catholique. Il ne l’a pas dilué. Il ne l’a pas déguisé. Il l’a proclamée. Ce faisant, il a donné à l’Église une boussole sûre pour le siècle qui a suivi.

On a un autre Léon. Il a pris un nom qui porte un grand poids, et avec lui, peut-être, une prière inconsciente de suivre les traces de son homonyme. Nous espérons et prions que ce nom l’inspirera à s’élever au-dessus de l’esprit de l’époque et à prendre le manteau du vrai berger.

Nous ne savons pas encore ce qu’il écrira, dira ou fera. Mais on sait d’où il vient. Nous connaissons sa trajectoire. Et ce n’est un secret pour personne qu’il s’est aligné sur la voie progressiste tracée par le pape François : une voie qui place souvent le dialogue au-dessus de la doctrine, l’accompagnement au-dessus de la clarté et l’adaptation pastorale au-dessus de la vérité objective.

Encore une fois, je ne dis pas cela dans un esprit de rébellion, mais dans un esprit de tristesse et de résolution. Parce que vous, les croyants, méritez d’entendre la vérité clairement, et rappelez- vous que votre foi ne repose pas sur les préférences ou la prudence d’un seul homme. Elle repose sur Jésus-Christ. Il repose sur le dépôt de foi. Elle repose sur les promesses de Dieu, qui a dit:

« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle » (Matthieu 16:18).

Qu’est- ce que cela signifie quand il semble parfois y avoir un échec dans cette promesse? Qu’est- ce que cela signifie quand un pape lui- même semble conduire l’Église sur une voie de confusion?

Cela signifie que nous marchons avec Christ dans Sa Passion.

Ce n’est pas une métaphore. C’est la réalité de notre époque.

Tout comme Notre Seigneur a été couronné d’épines, moqué dans des vêtements royaux, et proclamé « roi » par ceux qui ne croyaient pas en Sa royauté, ainsi l’Église, Son Corps Mystique, endure maintenant un temps où l’honneur extérieur masque parfois la souffrance intérieure. Une époque où la couronne n’est pas dorée, mais transpercée. Ce n’est pas l’âge du triomphe. C’est le jardin de Gethsémani.

Mais ne désespérons pas. Rappelons-nous que le Christ n’était pas moins Roi le Vendredi saint que le dimanche de Pâques. En fait, c’est sur la Croix qu’Il a régné dans la plénitude de l’amour. De même, l’Église ne perd pas sa constitution divine lorsqu’elle est humiliée ou mal comprise. Elle est en train de se purifier. Elle est crucifiée avec son Seigneur.

Ce n’est pas la première fois.

Au 4ème siècle, quand Saint Athanase s’est tenu presque seul contre la marée de l’arianisme même lorsque la plupart des évêques étaient tombés dans l’erreur il s’est tenu fermement au dépôt de la foi. Et il a été dit de lui: « Athanasius contre mundum » – Athanasius contre le monde.

Il l’a emporté. Pas par un compromis. Pas par le silence. Mais par fidélité.

À notre époque, la tentation est différente. Ce n’est pas une hérésie ouverte, mais une érosion silencieuse. Pas un coup de marteau, mais une lente dissolution de la certitude. On nous dit : Les doctrines changent, la tradition doit évoluer, L’Esprit nous conduit au-delà des Écritures. Ce sont des mensonges. Ce sont de vieux mensonges déguisés en un nouveau langage. Et il faut y répondre, non avec colère, mais avec clarté, paix et vérité inébranlable.

Je vous exhorte à connaître votre Foi. Lisez le Catéchisme pas les nouvelles révisions, mais les enseignements éternels. Lis les conseils. Lisez les encycliques du pape Léon XIII, du pape Pie X, et oui, même les avertissements de Notre-Dame de Fatima, qui parlent d’une grande confusion au sein de l’Église.

Mais même en lisant n’ayez pas peur. Restez enraciné. Il est ferme. Et rempli d’espoir.

Parce que l’espoir n’est pas optimisme. L’espérance est la vertu qui croit aux promesses de Dieu même quand tout ce qui est visible semble les contredire. L’espoir est ce que Notre Dame avait sous la Croix. L’espoir est ce que les saintes femmes avaient le samedi saint. Et l’espoir est ce que vous devez avoir maintenant.

Écoutez ces paroles de saint Paul:

Nous sommes troublés de toutes les manières, mais nous ne sommes pas dans la détresse; nous sommes en difficulté, mais nous ne sommes pas désespérés ; nous sommes persécutés, mais nous ne sommes pas abandonnés; nous sommes jetés à terre, mais nous ne sommes pas perdus (2 Corinthiens 4:8-9).

C’est l’esprit de l’Église dans sa Passion.

Je sais que certains d’entre vous se demandent: « Que faisons-nous maintenant ? » Vous vous sentez désorienté. Peut-être même trahi. Vous pourriez être tenté de vous retirer complètement. Mais ce n’est pas la bonne façon.

C’est le moment d’approfondir votre prière. Ancrer vous-même dans la Sainte Messe en particulier la Messe traditionnelle latine, où la clarté de la doctrine et le sacrifice de la Croix sont si magnifiquement préservés.

C’est le moment d’enseigner à vos enfants non seulement à être de bons catholiques, mais aussi à être des saints. Des guerriers vertueux. Ils aiment la vérité. Les bâtisseurs du futur.

Il est temps de soutenir vos fidèles prêtres. Pour encourager votre religion. Pour écrire des lettres, oui, mais aussi pour allumer des bougies. Il est trop rapide. Pour offrir réparation.

Le diable veut que vous abandonniez. Le Christ veut que tu te tiennes au pied de la Croix avec Lui.

Alors je vous le dis, restez debout. Ne vous enfuyez pas. Ne dites pas de gros mots. Ne calomniez pas. Mais ne mentez pas non plus. Ne dites pas : « Tout va bien », quand ce n’est pas le cas. Dites la vérité, en saison et hors saison. Il est amoureux.

Nous sommes passés au crible. Et c’est une grâce.

Alors que nous regardons vers l’avenir, ne cherchons pas les triomphes terrestres. Regardons à la Croix. La croix n’est pas l’échec de l’Église, c’est son chemin. C’est le trône d’où Christ règne. Et maintenant, en ces temps de confusion et de souffrance, nous marchons de la même manière avec Lui.

Mais souvenez-vous que le Calvaire n’est pas éternel.

Il y a un samedi saint, oui un silence. Une attente. Mais ensuite, c’est Pâques. Et à chaque époque, même dans les heures les plus sombres, Dieu a suscité des saints. Il va le refaire.

Vous pourriez être tenté de penser que parce que nous avons maintenant un pape qui suivra probablement la voie libérale de son prédécesseur – quelqu’un qui pourrait éloigner l’Église de ses doctrines, de ses traditions, de sa clarté – que tout est perdu. Mais ce n’est pas le cas. Nous ne connaissons pas la fin de son histoire. Nous ne savons pas non plus quelles grâces Dieu peut encore verser dans son âme. Ne nous jugeons pas. Prions plutôt avec ferveur non seulement pour nous, mais pour lui qu’il soit un digne successeur de Pierre, le lion qui garde le troupeau.

Christ n’est pas surpris. Il n’est pas vaincu. L’Église peut être flagellée. Elle peut être couronnée d’épines. Mais elle est toujours son épouse. Et Il n’a pas lâché sa main.

Vous vous souvenez peut-être que le pape Léon XIII, après avoir eu une vision du pouvoir de Satan sur le monde, a composé la prière à saint Michel. Il ne l’a pas fait par panique. Il l’a fait en homme de vision et de force. Et nous devons le suivre – pas dans la peur, mais dans la fermeté.

Saint Michel l’Archange, …

Répétez-le tous les jours. Enseignez- le à vos enfants. Faites-en partie de votre armure.

Et oui, puisez de la force dans ce qui est encore bon. Il y a beaucoup de prêtres fidèles. De nombreux évêques fidèles. Beaucoup de familles s’accrochent tranquillement à la foi dans leurs maisons, leurs chapelles, leurs écoles. L’Église n’est pas morte. Elle souffre, mais la souffrance n’est pas la mort.

Ne passez pas tout ton temps à lire des scandales et des chagrins. Lisez les Écritures. Lisez les saints. Lisez les anciens papes. Remplissez votre esprit et votre âme de ce qui est vrai, bon et beau. Ne vivez pas dans le brouillard du découragement. C’est ce que veut l’ennemi. Vous êtes les fils et les filles du Roi.

Car tout ce qui est né de Dieu est victorieux du monde: et c’est ici la victoire qui a vaincu le monde, notre foi (1 Jean 5:4).

Mon message pour vous aujourd’hui est le suivant: n’abandonnez pas la barque de Pierre même quand il semble dériver. N’abandonnez pas ce qui vous a été confié. Ne confondez pas les épreuves de l’Église avec sa défaite.

De Léon XIII à Léon XIV. Rappelez-vous, même si c’est la gloire à l’épreuve, la clarté à la confusion, la papauté reste une partie du plan divin, mais ce n’est pas toujours un signe d’approbation. Parfois, c’est un test. Et parfois, c’est une couronne d’épines.

Restez calme.

Accrochez-vous au Sacré-Cœur de Jésus. Au Cœur Immaculé de Marie. À la vérité transmise, non altérée, non diluée, mais brûlée par le feu divin.

Laissez ce moment purifier votre foi. Mettez moins l’accent sur les hommes et plus sur le Christ. Laissez-le vous conduire à vos genoux pas dans le désespoir, mais dans la confiance.

Je ne sais pas ce que les mois à venir apporteront. Mais je sais que le Christ règne. Il règne dans Sa Passion. Il règne de la Croix. Il règne en toi si tu restes fidèle.

Alors allez-y. Pas avec amertume. Pas avec la peur. Mais avec la joie des saints. La joie qui souffre, mais qui chante.

Que Dieu vous bénisse. Puisse-t-Il vous fortifier. Puisse-t-Il vous préserver dans la seule vraie foi.

Et la lumière brille dans les ténèbres: et les ténèbres ne l’ont pas comprise (Jean 1:5).

Marchons comme des enfants de lumière.

Saint Michel l’Archange, défends-nous dans la bataille. Sois notre protection contre la méchanceté et les pièges du Diable. Que Dieu le réprimande, nous le prions humblement; et toi, ô Prince de l’armée céleste, par la puissance de Dieu, jette en enfer Satan et tous les mauvais esprits qui rôdent dans le monde à la recherche de la ruine des âmes.

Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.




Je suis allée au ciel » : Une petite fille affirme avoir rencontré Jésus, sa guérison miraculeuse a été vérifiée

L’histoire d’Annabelle Beam a longtemps captivé le public, car elle est tombée dans un arbre creusé en 2011, a fait une chute de 30 pieds et s’est cogné la tête en bas – une situation qui aurait pu être mortelle.

Annabelle, qui souffrait d’une maladie digestive rare et débilitante avant cet incident, était déjà affaiblie et en difficulté. La chute l’a obligée à être secourue pendant des heures.

La panique s’est emparée de ses parents.

Mais si Annabelle a finalement pu être récupérée à l’intérieur de l’arbre, c’est ce qu’elle affirme s’être passé pendant qu’elle était coincée à l’intérieur qui a laissé sa famille – et le public – absolument stupéfaits. Après être sortie de l’arbre, Annabelle a dit à ses parents qu’elle avait visité le paradis, rencontré Jésus et reçu une guérison surnaturelle.

Elle m’a tout simplement dit le lendemain : « Tu sais, maman, je suis allée au paradis quand j’étais dans cet arbre » », a déclaré sa mère, Christy Beam, à CBN News. Elle m’a dit qu’elle s’était assise sur les genoux de Jésus et qu’elle lui avait dit : « Je veux rester avec toi », et il lui a répondu : « Je le sais, mais j’ai des projets pour toi sur terre que tu ne pourras pas réaliser au ciel ».

Et ce n’est pas tout. Selon elle, Jésus a continué : « Mais quand les pompiers te sortiront de là, Annabelle, tu n’auras rien d’anormal. »

Ce fait est remarquable pour deux raisons : Annabelle souffrait déjà d’une maladie grave au moment de l’incident, et les ambulanciers avaient également donné à sa famille un terrible avertissement au sujet de la chute.

Tous les pompiers, les ambulanciers, tout le monde… disaient : « Maman, nous voulons juste te préparer. Nous n’avons jamais vu un enfant tomber de trois mètres et ne pas souffrir de paralysie ou de fractures« », a déclaré Mme Beam.

Regardez ses explications :

Non seulement Annabelle s’est remise physiquement de la chute, mais sa mère affirme que son état digestif a disparu par la suite et qu’il n’est jamais revenu.

https://cbn.com/news/us/i-went-heaven-little-girl-claims-she-met-jesus-her-miraculous-healing-has-been-verified

Son histoire a donné lieu à un film que vous pouvez facilement vous procurer : Les miracles du Ciel