Le cardinal Sarah : « Le projet d’abolition de la messe en latin est diabolique ».

L’abolition du rite romain est « une insulte à l’histoire de l’Église », a déclaré le cardinal Robert Sarah lors de la présentation de son dernier livre, Dio Esiste ? (Dieu existe-t-il ?), organisée par LaNuovaBq.it à Milan le 20 janvier. Extraits.

– La tâche la plus urgente est de retrouver le sens de l’adoration et de la prosternation dans la foi et la révérence devant le mystère de Dieu.

– La perte de la valeur religieuse de l’agenouillement est la source de toutes les crises qui secouent le monde et l’Église, de l’insatisfaction que nous constatons dans notre société.

– La Sainte Messe n’est pas une réunion sociale pour nous célébrer nous-mêmes et nos actes, ce n’est pas une manifestation culturelle, mais le souvenir de la mort et de la résurrection du Seigneur, que l’Église a toujours célébrées depuis des siècles.

– Nous sommes infiniment plus bénis que le prophète Isaïe : il priait pour que Dieu déchire les cieux et descende (cf. Is 63, 19) ; nous le contemplons au milieu de nous.

– L’Église catholique est « le lieu où toutes les vérités se rencontrent », écrivait le grand Chesterton il y a presque cent ans, découvrant que la religion la plus ancienne s’avère être la plus récente, plus récente même que les soi-disant nouvelles religions – telles que le protestantisme, le socialisme ou le spiritisme. En effet, contrairement à elles, la tradition et la vérité catholiques ont conservé leur validité intacte pendant deux mille ans.

– L’abandon de Dieu a conduit à la conviction que le libéralisme moral conduit au progrès de la civilisation. L’observation de la réalité montre au contraire que ce prétendu progrès est en fait une décadence morale et anthropologique, une nouvelle forme de paganisme qui a désacralisé l’homme et ses relations : il prétend même déterminer qui a le droit de vivre, et ce sont les plus faibles qui en paient le prix.

– Dans cette défense de l’homme, du caractère sacré de sa vie, nous ne devons pas laisser les puissances de ce monde, exprimées dans les gouvernements nationaux ou supranationaux (pensons à l’ONU et à ses dérivés ; pactes militaires de défense qui deviennent ensuite offensifs), dicter des agendas utilitaires et inhumains. Méfions-nous de la nouvelle éthique mondialiste promue par l’ONU ; méfions-nous de l’idéologie du genre !

– Nous ne devons pas nous mutiler pour nous réaliser selon nos sentiments ou nos tendances, d’une manière différente de ce que Dieu nous a fait.

– Le projet d’abolir définitivement la messe tridentine traditionnelle, qui remonte au pape Grégoire le Grand (590-604) et même au pape Damase (366-384), s’il est avéré, me semble être une insulte à l’histoire de l’Église et à la Sainte Tradition. Il s’agit d’un projet diabolique qui cherche à rompre avec l’Église du Christ, des Apôtres et des Saints.

– Benoît XVI nous rappelle que « l’autorité du Pape n’est pas illimitée, elle est au service de la Sainte Tradition ».

https://gloria.tv/post/eetV9UsUPmFc1ZEmahkyj3ZSW




Jésus a protégé sa maison à Hollywood…




La Vierge Marie dénonce les ravages de nos médias officiels

Ce monde est au pouvoir de mon Adversaire, qui le domine de son esprit d’orgueil et de révolte, et entraîne une foule immense d’enfants de Dieu sur la route du plaisir, du péché, de la désobéissance à la Loi de Dieu, dans le mépris de sa Volonté. Mais rien ne peut résister à la force de l’amour miséricordieux de Dieu, qui veut transformer ce pauvre monde en une nouvelle création.

Aujourd’hui, une grande partie des hommes n’observe plus les dix commandements du Seigneur. Votre Dieu est publiquement ignoré, nié, offensé et blasphémé. On profane de plus en plus le jour du Seigneur. Chaque jour on attente à la vie. Chaque année dans le monde, c’est par dizaines de millions que l’on tue les petits enfants innocents dans le sein de leur mère, et le nombre d’homicides, de violences, de pillages et de séquestrations grandit. L’immoralité déferle comme un déluge de boue et elle est propagée par les moyens de communication sociale, spécialement par le cinéma, la presse et la télévision.

C’est par cette dernière que pénètre dans chaque famille une subtile et diabolique tactique de séduction et de corruption. Les victimes les plus désarmées sont les petits enfants et les jeunes, que je regarde avec ma tendresse soucieuse de Mère. Seule une force puissante de prière et de pénitence réparatrice pourra sauver le monde de ce que la Justice de Dieu a préparé pour lui qui refuse obstinément d’accueillir toute invitation au repentir. Écoutez au moins maintenant la voix de votre Maman du Ciel ! »

 

Extrait d’un message reçu sous forme de locution intérieure par Don Stefano Gobbi, prêtre italien, le 31 décembre 1982

(1) Don Gobbi (22.03.1930 + 29.06.2011) est un prêtre italien ordonné en 1964, il appartenait à la Société Saint-Paul, fondée par Don Alberione. Il recevait des locutions intérieures de la sainte Vierge, et a fondé le Mouvement Sacerdotal Marial (MSM)




Le spectre du communisme mondial

Publié le 9 janvier 2025 par Mark Mallett

L’avancée, année après année,
des mondialistes bien placés qui prônent
le socialisme et le communisme,
et des organismes mondiaux qui tentent d’éradiquer le christianisme,
est bien organisée.
Elle est implacable, intrusive, insidieuse et luciférienne,
catapultant la civilisation à un endroit
auquel elle n’a jamais aspiré, ni œuvré.
L’objectif de l’élite mondiale autoproclamée
est le remplacement total des valeurs bibliques
dans la civilisation occidentale.
— Ted Flynn, auteur,
Garabandal,
L’avertissement et le grand miracle,
 p. 177

 

Voici une prophétie étonnante sur laquelle j’ai réfléchi pendant les vacances et maintenant, alors que 2025 se déroule. Une réalité qui donne à réfléchir m’envahit chaque jour alors que je « veille et prie » à la lumière des « signes des temps ». C’est aussi la Parole de Dieu au début de cette nouvelle année : nous sommes confrontés au spectre du communisme mondial …

Quand le communisme reviendra

Cette parole fut annoncée aux enfants du lieu des apparitions de Garabandal, en Espagne, en 1961, comme une sorte de suivi de l’avertissement de Fatima, au Portugal, en 1917. Notre-Dame avait alors averti que, si la Russie ne se consacrait pas à son Cœur Immaculé et que le monde ne répondait pas par la pénitence, la Russie « répandrait ses erreurs ». Quelles erreurs ? Les philosophies du socialisme, du marxisme et de l’athéisme, qui ont trouvé leur expression pratique dans le communisme. Le message de la Sainte Mère était clair comme de l’eau de roche :

Si mes demandes sont entendues, la Russie se convertira et la paix régnera ; sinon, elle répandra ses erreurs dans le monde entier, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés ; le Saint-Père aura beaucoup à souffrir ; plusieurs nations seront anéanties.  — Message de Fatima,  vatican.va

À l’époque des apparitions de Notre-Dame à Garabandal, [1] le communisme tenait dans son emprise glaciale plusieurs nations réparties sur onze fuseaux horaires. Les « erreurs de la Russie » étaient non seulement répandues dans toute l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), mais elles empoisonnèrent également l’Espagne, la Chine, Cuba, le Vietnam et d’autres nations, ne laissant derrière elles que mort et oppression. Plus alarmant encore, le communisme commençait à se frayer un chemin dans la pensée occidentale par l’intermédiaire des jeunes. [2]

C’est pourquoi le message de Notre-Dame à la voyante de Garabandal, Conchita Gonzalez (12 ans à l’époque), était si étonnant. Les soi-disant « avertissements, miracles et châtiments » prédits en partie à Fatima surviendraient lorsque le communisme reviendrait. Mais attendez, il n’était même pas parti !

« Quand le communisme reviendra, tout arrivera. » (Conchita)

L’auteur a répondu : « Que voulez-vous dire par revenir ? »

« Oui, quand cela reviendra », répondit-elle.

« Est-ce que cela veut dire que le communisme disparaîtra avant cela ? »

« Je ne sais pas », a-t-elle répondu, « la Sainte Vierge a simplement dit « quand le communisme reviendra » . —interview Garabandal – Der Zeigefinger Gottes ( Garabandal – Le doigt de Dieu ), Albrecht Weber

 

La guerre contre l’Église

Beaucoup de gens considèrent la chute du mur de Berlin et la disparition de l’Union soviétique en 1991 [3] comme l’« effondrement » du communisme. Mais le communisme a continué d’exister dans son état d’avant la guerre froide en Corée du Nord et est resté la philosophie dominante en Chine. Il n’a jamais quitté ce pays. Alors, que veut dire Notre-Dame par « quand le communisme reviendra » ?

Pour comprendre, il faut reconnaître le but sous-jacent du communisme et ses fondements philosophiques, enracinés dans la franc-maçonnerie. [4] Le communisme n’est pas seulement une idéologie politique, mais une idéologie destinée à supplanter l’Église catholique. La Russie n’était pas le but mais l’ expérience.

La Russie était considérée comme le terrain le mieux préparé pour expérimenter un plan élaboré il y a des décennies et qui, de là, continue à le diffuser d’un bout à l’autre du monde.  — PAPE PIE XI,  Divini Redemptoris , n. 24 ;  www.vatican.va

C’est pourquoi les papes se sont succédés pour condamner la franc-maçonnerie et/ou le communisme. [5] Ils étaient considérés comme la principale menace existentielle pour la chrétienté :

A cette époque, cependant, les partisans du mal semblent se grouper et lutter avec une véhémence unie, conduits ou aidés par cette association fortement organisée et répandue appelée les francs-maçons. Ne faisant plus mystère de leurs desseins, ils s’élèvent maintenant hardiment contre Dieu lui-même… Leur but ultime se dessine, à savoir le renversement complet de tout cet ordre religieux et politique du monde que la doctrine chrétienne a produit, et la substitution d’un nouvel état de choses conforme à leurs idées, dont les fondements et les lois seront tirés du simple naturalisme . — PAPE LÉON XIII, Humanum Genus , Encyclique sur la Franc-Maçonnerie, n° 10, 20 avril 1884

Pour répondre à notre question sur ce que Notre-Dame entend par « quand le communisme reviendra », il semble clair qu’elle fait référence au moment où le communisme menacera à nouveau la chrétienté – traditionnellement comprise comme la civilisation occidentale . En fait, on ne peut pas sous-estimer les implications prophétiques de l’effondrement actuel de l’Occident. Les premiers Pères de l’Église ont en fait compris la dissolution de l’Empire romain comme le principal signe avant-coureur qui lèvera le frein à l’ Antéchrist et à un système politique mondial que saint Jean appelait la « bête » (cf. Apocalypse 13:1-10).

 

 

Je reconnais que, de même que Rome, selon la vision du prophète Daniel, succéda à la Grèce, de même l’Antéchrist succède à Rome, et notre Sauveur le Christ succède à l’Antéchrist. Mais il ne s’ensuit pas que l’Antéchrist soit venu ; car je ne reconnais pas que l’empire romain ait disparu. Loin de là : l’empire romain subsiste encore aujourd’hui… Et comme les cornes, ou royaumes, existent toujours, en fait, nous n’avons donc pas encore vu la fin de l’empire romain. — Saint John Henry Newman (1801-1890), The Times of Antichrist , Sermon 1

Cette révolte ou chute est généralement comprise par les Pères de l’Antiquité comme une révolte contre l’empire romain, qui devait d’abord être détruit avant la venue de l’Antéchrist. On peut peut-être aussi l’entendre comme une révolte de nombreuses nations contre l’Église catholique, qui s’est déjà produite en partie par l’intermédiaire de Mahomet, Luther, etc., et on peut supposer qu’elle sera plus générale aux jours de l’Antéchrist. — note de bas de page sur 2 Thess 2:3, Douay-Rheims Holy Bible , Baronius Press Limited, 2003 ; p. 235

Mais aujourd’hui, saint John Henry Newman serait facilement d’accord avec Benoît XVI qui, en 2010, comparait l’état actuel de l’Occident à l’ effondrement de l’ancien Empire romain.

Malgré tous les nouveaux espoirs et toutes les nouvelles possibilités, notre monde est en même temps troublé par le sentiment que le consensus moral est en train de s’effondrer, consensus sans lequel les structures juridiques et politiques ne peuvent pas fonctionner… Ce consensus fondamental, issu de l’héritage chrétien, est en danger… En réalité, cela rend la raison aveugle à l’essentiel. Résister à cette éclipse de la raison et préserver sa capacité à voir l’essentiel, à voir Dieu et l’homme, à voir ce qui est bon et ce qui est vrai, est l’intérêt commun qui doit unir tous les hommes de bonne volonté. L’avenir même du monde est en jeu. — PAPE BENOÎT XVI, Discours à la Curie romaine, 20 décembre 2010 ; catholicherald.co.uk

Si nous nous trouvons aujourd’hui dans la phase finale de l’effondrement de cet « Empire romain » dans sa forme résiduelle, c’est précisément parce que le communisme a commencé son retour :

Le communisme revient donc sur le monde occidental, parce que quelque chose y est mort : la foi inébranlable des hommes dans le Dieu qui les a créés. — Vénérable archevêque Fulton Sheen, « Communism in America », cf. youtube.com

La vision prophétique du vénérable Sheen a été ponctuée, voire scellée, des décennies plus tard par le cardinal Robert Sarah dans une critique cruciale de l’effondrement spirituel du monde occidental :

La crise spirituelle concerne le monde entier. Mais sa source se trouve en Europe. Les Occidentaux sont coupables de rejet de Dieu… L’effondrement spirituel a donc un caractère très occidental… Parce que [l’homme occidental] refuse de se reconnaître comme héritier [du patrimoine spirituel et culturel], l’homme est condamné à l’enfer de la mondialisation libérale dans laquelle les intérêts individuels s’affrontent sans aucune loi pour les régir, hormis le profit à tout prix. — Catholic Herald ,  5 avril 2019

Cette « mondialisation libérale » n’est rien d’autre que ce que l’on appelle le « Grand Reset » – une révolution transhumaniste mêlant capitalisme et principes communistes [6] pour faire surgir une bête mondiale avec un contrôle et une surveillance totale sur tous les aspects de nos vies (voir La Révolution finale ). Les deux principaux « leviers » de contrôle de l’élite mondiale sont les « pandémies » et le « changement climatique » :

Convaincre le public de renoncer aux steaks et aux droits de propriété est agaçant, c’est pourquoi l’excuse de « l’urgence climatique » a été créée comme une raison non négociable pour démanteler le marché libre et la gouvernance démocratique… Un modèle se dessine. Les bureaucraties internationales utilisent le Net Zero pour forcer les gouvernements à détruire leurs secteurs agricoles. La richesse disparaît immédiatement des classes moyennes et ouvrières, déclenchant de graves troubles civils. Une crise est déclarée, à laquelle on ne peut échapper que si le public accepte les aumônes et une qualité de vie réduite de manière permanente, au bénéfice de la générosité de l’État. La nation est « réinitialisée » avec un transfert important de richesses et de droits. —Flat White, 11 juillet 2022, The Spectator 

Ce qui est remarquable, et étonnamment trompeur, c’est que beaucoup pensent que les mesures obligatoires en matière de « santé » et de « climat » sont prises « pour le bien commun ». En réalité, elles sont utilisées pour introduire une monnaie numérique de banque centrale (CBDC), des cartes d’identité numériques, des passeports vaccinaux et des mesures d’austérité qui finiront par instaurer un régime néocommuniste sur l’ensemble du globe. Quand ?

Lorsque nous nous serons jetés sur le monde et que nous dépendrons de lui pour notre protection, et que nous aurons renoncé à notre indépendance et à notre force, alors [l’Antéchrist] pourra éclater sur nous avec fureur aussi loin que Dieu le lui permettra. Alors, soudain, l’Empire romain pourra se désintégrer, et l’Antéchrist apparaîtra comme un persécuteur, et les nations barbares environnantes feront irruption. — Bienheureux John Henry Newman, Sermon IV : La persécution de l’Antéchrist

Aujourd’hui, Satan ne se cache plus. Son caractère est pleinement exposé : « Meurtrier depuis le commencement… et père du mensonge. » [7] Oui, c’était la prophétie de Jésus sur le communisme en pleine floraison ! [8]

 

La confrontation finale

Avec la chute du mur de Berlin, saint Jean-Paul II a compris exactement ce que le monde et l’Église venaient de traverser… mais aussi, à quoi elle était confrontée.

Nous nous trouvons aujourd’hui face à la plus grande confrontation historique que l’humanité ait jamais connue. Je ne pense pas que de larges cercles de la société américaine ou de la communauté chrétienne en prennent pleinement conscience. Nous sommes aujourd’hui face à la confrontation finale entre l’Église et l’anti-Église , entre l’Évangile et l’anti-Évangile du Christ contre l’anti-Christ… C’est un procès… de 2000 ans de culture et de civilisation chrétienne, avec toutes ses conséquences pour la dignité humaine, les droits individuels, les droits de l’homme et les droits des nations. — Cardinal Karol Wojtyla (JEAN-PAUL II), au Congrès eucharistique, Philadelphie, PA ; 13 août 1976 ; cf. Catholic Online (citation confirmée par le diacre Keith Fournier qui était présent)

Je suis convaincu que la bête terrifiante que le prophète Daniel a prédite [9] et que saint Jean a décrite en détail dans Apocalypse 13, et qui se lève maintenant parmi nous, est essentiellement ce que la Femme vêtue du Soleil a annoncé à Fatima : la montée du communisme . C’est la bataille entre l’ancien serpent, le dragon – Satan – contre la Femme et sa progéniture : Jésus et son Église (cf. Genèse 3, 15). C’est pourquoi les apparitions de Notre-Dame dans le monde entier ont explosé de manière exponentielle au cours du siècle dernier. C’est pourquoi les icônes et les statues de Notre-Dame et du Seigneur ont pleuré dans le monde entier. [10] C’est pourquoi Dieu a répandu un esprit de prophétie dans ces derniers jours… car l’apparition de l’Antéchrist signale l’imminence du « Jour du Seigneur » :

« Dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai mon esprit sur toute chair. Vos fils et vos filles prophétiseront, vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des songes. Voici, dans ces jours-là, je répandrai mon esprit sur mes serviteurs et mes servantes, et ils prophétiseront. Je ferai des prodiges en haut dans le ciel, et des signes en bas sur la terre: du sang, du feu et une nuée de fumée. Le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant que le jour du Seigneur arrive, ce jour grand et glorieux; et quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Actes 2:17-22)

En d’autres termes, comme l’a dit Notre-Dame à Garabandal : « Quand le communisme reviendra, tout arrivera… »

Le communisme n’a pas disparu, il refait surface au milieu de cette grande confusion sur la Terre et de cette grande détresse spirituelle. — Notre-Dame à Luz de Maria Bonnila, 20 avril 2018 ; avec l’imprimatur de l’évêque

Nous voyons comment le pouvoir de l’Antéchrist s’étend, et nous ne pouvons que prier pour que le Seigneur nous donne des bergers forts qui défendront son Église en cette heure de besoin contre le pouvoir du mal. —PAPE BENOÎT XVI, The American Conservative ,  10 janvier 2023

 




La conversion de Roy H. Schoeman

C’est au cours d’une longue promenade dans la nature que je reçus la grâce la plus exceptionnelle de ma vie. Je marchais seul, écoutant les oiseaux chanter lorsque je suis « tombé au ciel ». C’est-à-dire que je me suis retrouvé consciemment et matériellement en présence de Dieu.

Je vis ma vie jusqu’à ce jour étalée devant moi. Je sus en un instant que le but de ma vie était d’aimer et de servir mon Seigneur et mon Dieu ; je vis de quelle manière son amour m’enveloppait et me soutenait à chaque instant de mon existence ; je vis comment chacune de mes actions possédait un contenu moral, pour le bien ou pour le mal ; je vis comment tout ce qui était arrivé dans ma vie était ce qui pouvait m’arriver de mieux, la chose la plus parfaite arrangée pour mon bien par un Dieu très bon et très aimant, surtout les événements qui me causaient le plus de souffrance !

Je vis chaque heure que j’avais gaspillée à ne rien faire qui eût de valeur aux yeux de Dieu, quand à tout moment de mon existence je baignais dans la mer de l’immense amour inimaginable de Dieu.

La réponse aux questions que je me posais intérieurement m’était instantanément présentée, à une exception près, capitale : le nom de ce Dieu qui se révélait à moi ! Je priais pour connaître son nom, pour savoir quelle religion me permettrait de le servir et de le vénérer : « Faites-moi connaître votre nom – cela m’est égal si vous êtes Bouddha, Appolon ou Krishna pourvu que vous ne soyez pas le Christ et que je ne doive pas devenir Chrétien ! ». Et en conséquence, bien que Dieu eût entendu ma prière, je ne reçus aucune réponse à ce moment-là.
Un an et un jour après cette grâce, je reçus en rêve la seconde plus grande grâce de ma vie. Pourtant, quand je me suis couché, je ne savais pas grand-chose du Christianisme et je n’avais pas de sympathie pour lui ! Mais quand je me suis réveillé, j’étais devenu éperdument amoureux de la bienheureuse Vierge Marie et ne désirais rien d’autre que de devenir aussi totalement chrétien qu’il me serait possible.

Le « rêve » se déroulait comme suit : on m’avait conduit dans une salle où il me fut accordé une audience avec la plus belle jeune femme que je pouvais imaginer et je compris qu’il s’agissait de la Vierge Marie. Elle était prête à répondre à toutes mes questions ; je me revois debout, considérant nombre de questions possibles, et lui en adressant quatre ou cinq. Elle y répondit, puis me parla pendant plusieurs minutes puis l’audience prit fin. Je me rappelle tous les détails, y compris, bien sûr, les questions et les réponses ; mais tout cela pâlit devant l’extase d’avoir été simplement en présence de la Vierge, dans la pureté et l’intensité de son amour.

Extrait du livre Le salut vient des juifs  de Roy H. Schoeman (éditions – FX de Guibert 2005) traduit de l’américain par Judith Cabaud




De retour : Notre Dame prend possession de Notre Dame

 

Des milliers de catholiques français ont accompagné la célèbre statue blanche de la Vierge lors d’une procession aux flambeaux pour la remettre à sa place dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 15 novembre dernier. La statue, connue sous le nom de « Vierge du pilier », a été retrouvée intacte après l’incendie d’avril 2019 (photo ci-dessous).

L’archevêque de Paris, Mgr Laurent Ulrich, a déclaré à la foule que la Vierge était « de retour chez elle » à Notre-Dame. Depuis cinq ans, elle s’est réfugiée dans l’église Saint-Germain l’Auxerrois.

La statue utilisée lors de la procession était une réplique, mais l’archevêque Ulrich a béni la vraie statue dans la cathédrale. La procession était le dernier événement diocésain avant la réouverture de la cathédrale le 7 décembre.

Source : https://gloria.tv/post/aQH9zFY2Xu1H1MBf3qe2jMCtd

 

 




Nicolas Sarkozy et Jésus




Miracle Eucharistique à Bogota, 10 août 2024




« Elle est toujours là ! » Alain Delon et la Vierge…

Alain Delon est parti vers le Seigneur ce 18 août 2024… Il restera un acteur emblématique, une sorte d’icône cinématographique qui traverse le temps : qui ne se souvient de ses rôles cultes dans « le Samouraï », « Plein soleil », « Mélodie en sous-sol » avec Gabin, « la Piscine » ou « le Cercle rouge » … et tant d’autres ! La beauté unique de son visage et de certains de ses rôles resteront gravés dans l’histoire du cinéma.

De même ses compagnes successives dont certaines sont considérées comme des « icônes » du septième art :  l’inoubliable Romy Schneider ou la remarquable Mireille Darc, avec laquelle il vivra les quinze plus belles années de sa vie… son témoignage sur leur relation unique et le rayonnement de Mireille sur la vie d’Alain laisse entrevoir une lumière où la beauté de l’Evangile n’est pas loin :

« Un jour, elle m’avait écrit un mot que j’ai gardé : « Si je pouvais te donner de ma philosophie, tu serais enfin heureux ! Elle me disait aussi : « Je sais que si j’essaie de rendre les gens heureux, alors je pourrai mourir heureuse ! »

Mireille était la femme de ma vie. Nous avons été si heureux ensemble, et heureux de tout… Nous avions tout, et elle était tout pour moi. Nous étions heureux d’être acteurs tous les deux et de jouer ensemble, mais si nous avions été coiffeurs, nous aurions connu le même bonheur pourvu que nous ayons été ensemble. Elle était ma moitié. On ne se posait pas de questions, on se complétait… Maintenant, elle ne sera plus là. Ce n’est pas une partie de ma vie qui s’en va, c’est ma vie ! C’est une femme irremplaçable, généreuse et positive comme personne. Elle comprenait tout… Dès que quelqu’un n’allait pas bien, elle voulait s’en occuper… Je n’avais pas besoin de lui parler, elle savait toujours quand ça n’allait pas[1]

Sur la fin de sa vie, après cette plénitude humaine avec Mireille Darc, Delon est remonté à la Source des sources de la beauté de la femme :  la Vierge Marie ! La plus belle des femmes… Car, témoigne Delon, dans son indicible splendeur : « Elle est toujours là ! » N’est-ce pas la réponse ultime à cette solitude existentielle qui l’a fait avouer : « Même quand j’aimais une femme, je me sentais seul… » Sa jeunesse tragique l’a marqué à jamais : il a été « placé dans une famille d’accueil » et n’a « jamais vu ses parents ensemble ». Alors, en pleine campagne, dans son immense propriété de Douchy, Delon a une chapelle et il vit une relation mystérieuse avec Celle que l’Apocalypse nomme « la Femme enveloppée du soleil ! » (Ap 12,1). Ecoutons son témoignage qui semble être comme le sceau final de sa vie :

« Ma passion, c’est Marie ! Parce que j’aime cette femme, j’aime tout ce qu’elle fait… Je lui parle, je lui dis des choses. Elle m’apporte un soulagement, elle m’apporte une compagnie que je n’ai pas, elle est toujours là [2] ! »

+Marie-Mickaël

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[1] Paris Match, 4 septembre 2017.

[2] Le Figaro, 11 janvier 2018.




Ces célébrités attachées à la Vierge Marie : Alain Delon

Source : Aleteia, 2019

Sa gueule d’ange au regard ardent est si familière au public français que la maison Dior n’a pas hésité à l’associer l’année dernière à son célèbre parfum “Eau sauvage” : une photo de 1966 où Alain Delon, cheveux aux vents, barbe de quelques jours, sourcils un tantinet froncés est irrésistible de jeunesse et de charme. Qu’il ait aujourd’hui 83 ans, une tignasse couleur de neige et d’imposantes poches sous ses yeux de braise n’y change rien : Alain Delon est et restera avec près de 90 films à son actif l’un des mythes du cinéma français. N’a-t-il pas reçu en mai dernier la Palme d’or d’honneur au Festival de Cannes pour sa prestigieuse carrière ? De son propre aveu, ce sont les femmes qui l’ont poussé à faire du cinéma. Il a tourné avec les plus grandes actrices (Simone Signoret, Claudia Cardinale, Catherine Deneuve, Ornella Muti, Lauren Bacall…), et courtisé certaines d’entre elles : au premier rang duquel Romy Schneider, sa fiancée pendant quatre ans.

On lui connaît des flirts avec plusieurs vedettes (Dalida, Anne Parillaud…) et des liaisons plus stables et durables avec trois femmes successives : Nathalie, sa première épouse, mère de son fils Anthony ; la comédienne Mireille Darc, sa compagne pendant 15 ans, sa fidèle amie par la suite ; enfin, le mannequin hollandais Rosalie, sa seconde épouse, dont il eut deux enfants (Anouchka et Alain-Fabien), avant de s’en séparer après 14 ans de vie commune.

Mais aujourd’hui, alors qu’il vit seul et que ses forces déclinent, il n’aurait plus qu’une seule femme dans sa vie : la Vierge Marie ! Une révélation surprenante de la part de ce sempiternel séducteur, qui confie qu’il aurait aimé endosser le rôle du Christ : il croit beaucoup au Fils, mais non au Père… Trop désincarné pour lui ? Marie, elle, a bien les pieds sur terre. Serait-ce le secret de l’attraction qu’elle exerce sur la star ? « Je crois beaucoup [en Marie]. Je [lui] parle beaucoup, a-t-il assuré au Figaro Magazine, en mai dernier [2019]. C’est ma chérie, ma confidente. La femme que j’aime le plus au monde.

Déjà, en novembre 2018, dans l’émission Thé ou Café, il avait déclaré sa flamme à la Vierge :

« J’ai une passion folle pour Marie. C’est la femme au monde qui pour moi représente le plus, (…) la femme au monde qui me fait le plus penser et sûrement celle à qui je m’adresse le plus souvent (…) Je lui parle chez moi, je lui parle chez moi, seul, et je lui dis ce que j’ai à lui dire. » A la grande surprise de l’animatrice, Catherine Ceylac, l’acteur avait alors sorti de sa poche une statuette de Marie qui ne le quitte jamais, et décrété en l’embrassant : « c’est plus qu’une mère (…), elle m’accompagne partout ».

Les habitués de Paris Match furent peut-être les seuls à n’être pas désarçonnés par les propos d’Alain Delon. Il les avait en effet déjà tenus quelques mois auparavant dans l’hebdomadaire : « J’aime tout ce que [cette femme] a fait. (…). Elle m’apporte un soulagement, elle m’apporte une compagnie que je n’ai pas, elle est toujours là. Elle m’écoute et me réconforte. » Une profession de foi qui résonne avec force alors que le film poignant de Thierry Demaizière et Alban Teurlai consacré à Lourdes rend compte du rayonnement de la Vierge sur les cœurs de nos contemporains, de quelque horizon qu’ils viennent.