Partager la publication "Fatima, apparition du 13 octobre : Je suis Notre-Dame du Rosaire"
Extrait du livre Mon Coeur Immaculé triomphera, Fatima, révélation des derniers temps, Marie-Michel, Editions du Jubilé 2017
Photo : la foule contemplant le miracle du soleil.
Fatima : Le peuple immense qui prie avec Marie…
« Ici, l’homme se sent tout livré et confié à Marie… Il vient pour être avec Elle comme on est avec sa propre Mère[1]… » Cette parole de Saint Jean-Paul II à Fatima nous ouvre admirablement à ce qui va se passer ce 13 octobre où la presse laïque nationale du Portugal se déchaînait contre les Apparitions. On essayait de décourager le peuple par des informations alarmantes ! Peine perdue, car l’effet fut d’attirer encore plus de monde : « Ce fut le moyen dont se servit le Ciel pour réunir un plus grand nombre de personnes. Accoururent les simples curieux, les croyants et les incrédules. La rumeur se répandit que les autorités allaient mettre sur le lieu des apparitions une bombe qui les tuerait tous. Cela ne fit renoncer personne, et encore moins les trois voyants[2]… » Si bien que face à tous ces dangers annoncés, les parents de Lucie décidèrent pour la première fois de l’accompagner !
Cependant, la pression restait vive à l’approche du 13 octobre car l’Ennemi de Dieu déployait toute sa stratégie de peur : « Un jour, trois gendarmes à cheval se présentèrent chez les enfants. Après un interrogatoire insolent, ils se retirèrent en disant : « Il faudra bien vous résoudre à révéler votre secret au sous-préfet, autrement il est décidé à vous faire tuer ! » – « Quel bonheur, s’écria l’intrépide Jacinthe ! J’aime tant Jésus et la Sainte Vierge : nous irons plus vite auprès d’eux[3] ! »
Dès la veille du 13 octobre, les routes et les chemins autour de Fatima étaient déjà saturés par des voitures, des bicyclettes et surtout une foule immense qui allait passer la nuit dehors, autour du lieu des apparitions. Ils marchaient en récitant le chapelet et en chantant de tout cœur des cantiques. Cependant, dès le 12 au soir commença l’épreuve : ciel couvert et pluie persistante sur ces chemins de Fatima où « un fleuve humain impétueux se déversait à la Cova da Iria, qui comme un sein maternel les accueillait tous. Trempés jusqu’aux os… chacun voulait seulement être le plus près possible du petit chêne vert, ce qui devenait de plus en plus difficile. En permanence, cette « mer » humaine étendait toujours plus ses limites, mais tous les visages se tournaient vers ce point le plus bas[4]… » où Marie avait promis de venir une dernière fois.
Le 13 au matin, la pluie continuait de plus belle et avait transformé la Cova en un vaste bourbier. Tout le monde était trempé et transis de froid. Un peu avant midi, la foule était estimée au moins à 70.000 personnes[5]. Comment oublier ici qu’avant ma conversion mariale à Fatima, j’ai été ce routard et Hippy qui participait avec passion à d’immenses pop-festivals en Angleterre et ailleurs. Et j’oserais dire ici que bien avant « Woodstock », la Vierge a fait fort à Fatima en suscitant un « festival marial » unique à l’époque ! Oui, enveloppé dans l’Arche du Cœur Immaculé de Marie, Fatima est un festival de « la joie de Dieu ». Elle n’est donnée aux pécheurs que dans la prière du chapelet, les sacrements et l’esprit de sacrifice qui libèrent nos cœurs si étroits.
Fatima nous met face à la réalité du péché qui mène en Enfer, mais nous place d’abord et surtout devant la beauté de Marie qui vient du Ciel où Dieu nous veut avec Lui. Envoyée par Jésus, avant sa seconde venue, Elle vient nous envelopper de sa tendresse et nous donner les armes décisives pour être sauvés. Car Fatima annonce la victoire du Cœur Immaculé de notre Mère qui vient nous « réveiller » pour le combat final face à l’Ennemi de l’homme. Et c’est pourquoi ce 13 octobre 1917 à la Cova, « un murmure descendait des collines environnantes, murmure qui ressemblait à la voix lointaine de l’océan… C’étaient des cantiques entonnés par des milliers de voix !… de milliers d’âmes en prière[6] !… » C’était le chant pauvre et unique des enfants de Marie.
Apparition du 13 octobre : « Je suis Notre Dame du Rosaire ! »
La pluie continuait à tomber en cette matinée du 13 octobre et vu la foule immense, ce n’était pas facile pour les trois enfants de se frayer un chemin. Mais grâce au dévouement de quelques hommes, ils avancent vers la Cova. Et puis, respectueusement aussi, les gens s’écartent pour leur ouvrir la voie. Dans ces immenses remous, Jacinthe commença soudain à pleurer mais François et Lucie la mirent entre eux. Cette dernière est plus que jamais « décidée » car elle est si heureuse d’être enfin accompagnée par ses parents ! Vers 11h30, ils arrivent enfin devant le petit chêne vert. Pour ce jour béni, les mamans ont un peu endimanchés leurs enfants de beaux habits : les fillettes portent une robe bleue et une mante blanche ! Et puis, on récite le chapelet et, entre les dizaines, on chante des cantiques. Des personnes avaient eu la pieuse délicatesse d’orner le haut du chêne vert avec des fleurs et des rubans de soie. Là où la Vierge allait poser ses pieds !
A l’heure de midi, l’éclair traverse le ciel et Lucie s’écrie : « La voici !… La voici !… » Les trois enfants sont saisis par la présence de la Vierge et la pluie a cessé. Soudain, « la foule peut observer une légère nuée blanche qui, telle une fumée d’encens, se forme autour des petits voyants, s’élève à cinq ou six mètres de hauteur et se dissipe dans l’atmosphère. Ce phénomène se renouvelle trois fois, comme si un prêtre invisible était là, encensant liturgiquement la céleste Apparition[7]. » Alors commence le dernier dialogue où Lucie n’a pas oublié que la Dame avait promis de dire son nom et ce qu’Elle voulait. C’est pourquoi cette fois, l’enfant pose une double question :
– « Qui êtes-vous et que voulez-vous de moi ? dit Lucie.
– Je suis « Notre Dame du Rosaire », dit la Vierge, et je désire que l’on fasse ici une chapelle le chapelet tous les en mon honneur. Que l’on continue toujours à réciter le Chapelet tous les jours ! La guerre va finir, et les militaires reviendront bientôt chez eux.
– J’aurais beaucoup de choses à vous demander, dit Lucie : de guérir des malades, de convertir des pécheurs…
– Quelques uns, oui, d’autres, non. Il faut qu’ils changent de vie, qu’ils demandent pardon pour leurs péchés.
Alors, son visage devint triste et sa voix suppliante en disant :
– Que l’on n’offense pas davantage Dieu, Notre Seigneur, car il est déjà trop offensé ! »
« Ces paroles frappèrent fortement l’esprit des voyants ; ils gardèrent un profond souvenir de l’expression de douloureuse tristesse qui avait paru sur le visage de la Dame quand Elle les prononçait. Elles renferment l’essentiel du message de Fatima[8]. »
Commençant à se déplacer dans le ciel, la Sainte Vierge ouvrit les mains qui projetèrent des rayons lumineux sur le soleil… et pendant qu’Elle s’élevait, sa propre lumière ne cessait d’atteindre le disque lumineux. Alors, le regard fixé sur Marie, Lucie cria à la foule : « Elle s’en va !… Regardez le soleil ! » De fait, les trois enfants ne verront pas le prodige solaire, car une fois la Dame disparue dans le firmament, leurs yeux émerveillés commencent à découvrir près du soleil la Sainte Famille : « A droite du soleil et plus brillante que lui, Notre Dame du Rosaire avec un manteau bleu ; et à gauche, en robe rouge clair, Saint Joseph avec l’Enfant-Jésus qui bénissent le monde. Ensuite, ils virent, à droite du soleil, Notre Seigneur Jésus bénissant amoureusement le monde ; puis, à gauche, Notre Dame des Douleurs et enfin apparut Notre Dame du Mont Carmel avec le scapulaire dans la main droite[9]. » En méditant sur cette vision des enfants, on a découvert que le titre de Notre Dame du Rosaire que Marie se donne à Fatima révélait ici les mystères du Rosaire…
Le grand prodige : La danse splendide et la chute terrifiante du soleil !
Pendant que les enfants étaient plongés dans leur vision céleste pleine de joie et de paix, le signe promis par la Vierge se réalisa à travers le prodige du soleil : soudainement, la pluie cessa, les nuages s’ouvrirent et laissèrent passer les rayons du soleil… Le père de Jacinthe et François témoigne sur le début du prodige stupéfiant : « Le soleil lançait des faisceaux de lumière et peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol, l’air… Mais la grande preuve du miracle, c’est que le soleil ne faisait pas mal aux yeux. Tout le monde était immobile et se taisait…Tous regardaient le ciel[10]. » Car après ces quelques minutes surprenantes, le soleil s’arrêta. C’était le premier signe !
Et puis, il reprit son mouvement fantastique en tournant vertigineusement sur lui-même ! Il continua sa danse féerique quelques minutes et s’arrêta de nouveau comme pour permettre aux spectateurs un espace de repos. C’était le second signe !
Après une courte pause, « le soleil reprend, plus varié et coloré que jamais, son fantastique feu d’artifice, sans doute le plus grandiose et le plus pathétique que les hommes aient jamais pu contempler sur la terre[11] ». C’était le troisième signe !
La foule est immobile et extatique face à ce spectacle qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire contemporaine. Ce phénomène inouï fut aperçu clairement jusqu’à plus de 40 kilomètres à la ronde de Fatima. C’était le grand miracle promis par la Sainte Vierge. Mais il n’était pas terminé car la descente vertigineuse du soleil allait en être l’issue bouleversante, le point culminant. En effet, au milieu de sa danse effarante de feu et de couleurs, le soleil commença à se détacher du firmament et à se précipiter en zigzag sur la foule épouvantée, irradiant une chaleur de plus en plus intense ! Alors, tous le peuple pensa que les signes évangéliques de la fin du monde se réalisaient là sous leurs yeux (Mc 13,24-25) et « la multitude, saisie de peur, commença à crier et beaucoup confessaient à haute voix leurs péchés, faisant des actes de foi et demandant pardon ! Il semblait que le soleil venait en direction de la terre pour réduire en cendres la foule entière[12]… »
Tout ce peuple qui était venu en grande partie pour « voir un miracle » se trouvait maintenant confronté à un phénomène imprévisible et effrayant de « fin du monde ! » Tous étaient là, à genoux, criant « pardon » pour leurs péchés comme s’ils étaient arrivés au dernier moment de leur vie ! « Dieu est Amour » (1 Jn 4,16), mais faire l’expérience de l’Amour pour des pécheurs est une mise en lumière terrible de tout ce qui résiste encore à la splendeur de l’Amour divin. Le 13 octobre, à Fatima, c’est cette expérience de Dieu que fit le peuple en contemplant la danse du soleil : il a d’abord vu comme une image de sa splendeur qui l’a ravie et il était venu d’abord pour ce spectacle merveilleux… puis, il a fait l’expérience de la folle descente du soleil qui l’a acculé à une expérience de fin de vie : là, tout est mis en lumière dans chaque vie ! Là, on n’est plus spectateur mais acteur : il n’y a plus de temps intermédiaire pour relativiser mais un terrible instant où il faut choisir d’accueillir la Lumière sur sa vie, seule voie pour être immergé dans l’Amour… on pourrait parler ici d’une « blessure de la lumière » : reconnaître qu’on l’a tous crucifié[13], c’est tous pleurer d’avoir si mal aimé en découvrant qu’Il nous a tant aimé… Son Amour aura le dernier mot !
Saint Jean le confirme : « En ceci consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu mais c’est lui qui nous aimé et qui a envoyé son Fils en victime d’expiation pour nos péchés » (1 Jn 4,10). Mais il ajoute cette parole décisive : « Nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous et nous y avons cru ! » (1 Jn 4,16). C’est là où Jésus et sa Mère veulent nous conduire. Car la miséricorde de Dieu tentera jusqu’au dernier instant d’ouvrir une brèche dans le cœur de l’homme pour qu’il se découvre follement aimé…comme un Pierre, juste après son reniement, lorsqu’il croise[14] le Regard de Jésus.
Finalement, le soleil arrêta sa chute vertigineuse et remonta à sa place en reprenant son éclat normal. Alors, se relevant, l’immense assemblée commença à chanter un credo… Qui décrira l’émotion de toute cette foule ? Un vieillard, jusque là incroyant, est tout en larmes, et les bras tendus vers le ciel comme un prophète, il crie : « Vierge sainte ! Vierge bénie ! » Et de tous côtés se déroulent des scènes analogues… Détail marial touchant : cette scène apocalyptique se termine par un cadeau délicat et très concret qui révèle la tendresse maternelle de Marie envers ses enfants : alors que l’immense foule était trempée, chacun eut la joie de se sentir protégé et délicatement aimé, après le prodige du soleil, en découvrant soudain ses habits absolument secs.
Ce prodige du 13 octobre 1917 suscité par la Vierge de Fatima n’en finira plus de faire des vagues à travers le Portugal[15], d’abord, et au-delà dans l’histoire moderne jusqu’à nous aujourd’hui. Cent ans après, il est comme le signe visible et unique qui vient prophétiser l’urgence du message de Marie à Fatima que même les hommes d’Eglise et le Peuple de Dieu ont mis trop de temps à accueillir… et que le monde moderne ignore en se noyant dans l’océan du matérialisme omniprésent. Alors, comment ne pas faire ici le lien avec les Evangiles eschatologiques en nos temps dangereux où les menaces globales sont grandes : « Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur la terre, les nations seront dans l’angoisse… des hommes mourront de frayeur, dans l’attente de ce qui menace le monde habité, car les puissances des cieux seront ébranlées…quand cela commencera d’arriver, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance est proche ! » (Lc 21,25-28). Nous vivons ces temps actuels si dangereux et la Vierge nous invite à entrer en son Cœur Immaculé d’où viendra la victoire du Dieu de la paix. En ce sens, Elle nous tend le chapelet afin de « relever la tête », pour faire face aux combats déroutants des temps de la fin.
Je veux conclure ici par le signe fort que nous donne la Vierge à travers la vision des enfants et ce prodige unique du soleil : d’un côté les trois petits qui contemplent les mystères du Seigneur, de sa Mère et de la Sainte Famille ! Il leur est donné de voir comme « vivants » les mystères du Rosaire… signe que cette prière en Eglise nous protège et nous garde dans le Cœur de Marie, les yeux de la foi fixés sur Jésus, Prince de la paix.
De l’autre, pour la foule, le signe splendide et terrifiant du soleil qui semble à un moment venir s’écraser sur la terre pour anéantir l’humanité. La Vierge nous adresse un double message dans ces deux événements : exercer et rayonner sa foi en priant le Rosaire pour être du côté du salut en route vers le Ciel, ou rester trop du côté du monde en subissant dans la peur les phénomènes terribles de la fin des temps.
Cependant, ce signe prodigieux refusé par Jésus aux pharisiens dans l’Evangile (Mc 8,11-13), « Notre Dame du Rosaire l’a maternellement accordé au monde moderne afin que tout le monde croie… car ce qui est vraiment unique à Fatima, c’est le caractère grandiose et extraordinaire de ce « Signe dans le ciel ». En face d’un tel prodige, on se demande instinctivement : que se passe-t-il donc de si particulièrement grave à notre époque au point de vue religieux, pour que la Mère de Dieu daigne intervenir sur la terre, par une manifestation de la toute-puissance divine si éclatante, que les assistants se sont réellement crus à la fin du monde, décrite dans l’Evangile ?… Ainsi donc, la Sainte Vierge venait réveiller notre foi face aux desseins terribles de Satan qui va chercher à implanter un nouvel ordre mondial, une nouvelle religion qui nie le vrai Dieu. Il faut donc saisir que la grandeur de ce prodige inouï de Fatima est ainsi proportionné à la grandeur des dangers qui menacent le monde[16]…» Il est vrai que tous seront confrontés aux épreuves des temps de la fin… mais ceux qui prient le chapelet en vivant et rayonnant humblement leur foi sont déjà entrés dans l’Arche du Cœur Immaculé de Marie.
[1] Cité par Joaquim Maria Alonso, Fatima – Message et consécration, op. cit., p.29.
[2] Carmel de Coimbra, Un chemin sous le regard de Marie, op. cit., p.101.
[3] J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.40.
[4] Carmel de Coimbra, Un chemin sous le regard de Marie, op. cit., p.101-102.
[5] Le Dr Almeida Garrett, Académicien et professeur à la Faculté des sciences de l’Université de Coimbra se trouvait à un endroit privilégié le 13 octobre et a pu évaluer la foule à plus de 100.000 personnes.
[6] Père De Marchi, Témoignages sur les Apparitions de Fatima, op. cit., p.160.
[7] J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.42.
[8] Chanoine C.Barthas, Fatima 1917 – 1968, Histoire des Apparitions, op. cit., p.130.
[9] J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.43-44.
[10] Père De Marchi, Témoignages sur les Apparitions de Fatima, op. cit., p.169.
[11] J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.45.
[12] Carmel de Coimbra, Un chemin sous le regard de Marie, op. cit., p.106.
[13] « Tous les pécheurs furent les auteurs de la Passion du Christ » : Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 598.
[14] Lc 22,61-62. « Devant le reniement de Pierre, le Seigneur ne lui adresse aucune parole, mais celle bien plus profonde du regard : « la parole du Regard » qui dit tout… » Marie-Michel, Jésus-Porte de la miséricorde, Jubilé 2016, p.115.
[15] Je pense ici au célèbre poète portugais Alfonso Lopes Vieira qui a vu le prodige solaire du balcon de sa maison à 40 kms de Fatima ou à Avelino d’Almeida, rédacteur en chef à Lisbonne, du grand journal laïc « Seculo » : dans un article, il se moquait des Apparitions le 13 au matin et publia le 15 un autre article où il se dit bouleversé après avoir vu le miracle du soleil. Il faudrait citer aussi d’autres témoins connus comme l’académicien Marques da Cruz ou le savant Almeida Garrett. Voir J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.48 à 57.
[16] J.C. Castelbranco, Le prodige inouï de Fatima, op. cit., p.58 à 60.