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La grande fissure. Par Mark Mallett

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Nihil innovetur, nisi quod traditum est.
« Qu’il n’y ait pas d’innovation au-delà de ce qui a été transmis. »
Pape Saint Étienne Ier (+ 257)

 

L’autorisation accordée par le Vatican aux prêtres de distribuer des bénédictions aux « couples » de même sexe et à ceux qui entretiennent des relations « irrégulières » a créé une profonde fissure au sein de l’Église catholique.

Quelques jours après son annonce, presque des continents entiers (Afrique), des conférences épiscopales (par exemple la Hongrie, la Pologne), des cardinaux et des ordres religieux ont rejeté le langage contradictoire de Fiducia Supplicans (FS). La Déclaration, prétendument signée par le Pape, était également en contradiction avec sa précédente déclaration magistérielle deux ans auparavant en réponse à une question (dubia) demandant si les unions homosexuelles pouvaient être bénies. La réponse fut alors clairement non : seuls les individus pouvaient demander une bénédiction, car bénir le couple « ne manifesterait pas l’intention de confier ces individus à la protection et à l’aide de Dieu… mais d’approuver et d’encourager un choix et une manière de vivre qui ne peut être reconnue comme étant objectivement ordonnée aux plans révélés de Dieu » (voir Avons-nous franchi un cap ?).

La réponse au dubium proposé [« L’Église a-t-elle le pouvoir de donner la bénédiction aux unions de personnes du même sexe ? »] n’exclut pas les bénédictions données aux personnes      individuelles ayant des penchants homosexuels, qui manifestent la volonté de vivre dans la fidélité aux plans révélés de Dieu tels que proposés par l’enseignement de l’Église. Au contraire, il déclare illicite toute forme de bénédiction qui tend à reconnaître leurs unions comme telles. —Responsum de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi à un dubium concernant la bénédiction des unions de personnes du même sexe, 22 février 2021

Cependant, FS tente de légitimer de telles bénédictions en remplaçant le mot « union » par « couple », justifiant ainsi « la possibilité de bénir des couples en situation irrégulière et des couples de même sexe sans valider officiellement leur statut ni changer en aucune façon l’enseignement éternel de l’Église » sur le mariage. »[1] Mais le clergé du monde entier a immédiatement dénoncé ce jeu de mots comme étant une « double pensée »,[2] un « sophisme »,[3] et une « tromperie et une ruse ».[4]

Je me souviens que lorsqu’on discutait de la loi trans, nous étions en procession à la paroisse Saint-Ignace et des personnes trans sont venues me demander ma bénédiction et je leur ai donné une bénédiction. [C’est] une autre chose… de bénir un couple homosexuel. Là, ce n’est plus la bénédiction des personnes, mais celle du couple, et toute la tradition de l’Église, même un document d’il y a deux ans, dit que cela n’est pas possible. — Cardinal Daniel Sturla, archevêque de Montevideo, Uruguay, 27 décembre 2023, catholicnewsagency

Puisque le document traite les partenaires précisément sous l’aspect de la relation, dont l’activité déterminante est intrinsèquement et gravement mauvaise, il inclut dans le champ de la bénédiction un objet qui ne peut pas être béni. —Dr. Christopher Malloy, président et professeur de théologie à l’Université de Dallas, 30 décembre 2023 ; catholicworldreport.com

En fait, Jean-Paul II a mis en garde contre la tentative laïque de donner un sens au mot « couple » dissocié des différences sexuelles :

La valeur de l’indissolubilité conjugale est de plus en plus niée ; on demande la reconnaissance juridique des relations de fait comme si elles étaient comparables à des mariages légitimes ; et l’on tente d’accepter une définition du couple dans laquelle la différence de sexe n’est pas considérée comme essentielle. —Ecclesia en Europe, n. 90, 28 juin 2003

D’autres encore, comme les évêques canadiens, ont émis une interprétation beaucoup plus douce : « Le principe directeur de la Déclaration est le fait que la demande même d’une bénédiction représente une ouverture à la miséricorde de Dieu et peut être une occasion pour une plus grande confiance en Dieu. »[5] Cependant, cela présuppose que le couple – déjà dans un état de péché objectif grave – recherche en fait la miséricorde de Dieu. Et si tel est le cas, cela soulève une autre question :

Pourquoi demandent-ils cette bénédiction en couple, et non en tant que personne seule ? Bien sûr, une personne seule qui a ce problème d’affection homosexuelle peut venir demander une bénédiction pour vaincre les tentations, pour pouvoir, avec la grâce de Dieu, vivre chastement. Mais en tant que célibataire, il ne viendra pas avec son partenaire – ce serait une contradiction dans sa manière de vivre selon la volonté de Dieu. —Mgr Athanasius Schneider, 19 décembre 2023 ; youtube.com

Déformation de l’autorité papale

Il semble que presque tous les jours, des nouvelles selon lesquelles davantage de membres du clergé rejettent le FS font la une des journaux.[6] En fait, le rite oriental de l’Église catholique a catégoriquement dit « non » à ce que FS appelle un « nouveau développement » dans les bénédictions.[7] Cela a déclenché une crise sans précédent dans laquelle les évêques résistent à un document signé par le pape, qu’ils jugent « impossible » à mettre en œuvre tel qu’il est écrit.

Mais une poignée de commentateurs influents sur les réseaux sociaux attaquent tout membre du clergé ou laïc qui exprime ses inquiétudes face au langage contradictoire de FS. Ils prétendent que le Magistère (de François) a parlé, qu’il doit être obéi sans aucun doute et qu’un pape ne peut pas se tromper même dans son « magistère ordinaire ».

Cependant, leurs arguments sentent l’ultramontanisme, une hérésie moderne par laquelle les pouvoirs pontificaux sont grandement exagérés, déformant les limites du charisme papal d’infaillibilité.

Le Catéchisme de l’Église catholique déclare :

Le Pontife romain, chef du collège des évêques, jouit de cette infaillibilité en vertu de sa charge, lorsque, comme pasteur suprême et maître de tous les fidèles — qui confirme ses frères dans la foi, il proclame par un acte définitif une doctrine relative à la foi ou aux moeurs —n. 891

Il s’agit d’un acte ex cathedra – de la part de Pierre – et d’un acte rare en plus. Bien sûr, l’inverse est alors vrai : un pape peut donc être faillible lorsqu’il exerce le reste de son autorité pédagogique ou « magistère ».[8]

Un de ces cas dans l’histoire de l’Église est celui du pape Honorius qui a proposé que le Christ n’avait qu’une « seule volonté » (l’Église, plus tard, a affirmé comme doctrine les « deux volontés » du Christ). Le pape Agathon (678-681) condamnera plus tard les propos d’Honorius. Néanmoins, voici un exemple où un pape pourrait effectivement être flou, ambigu, se tromper et avoir besoin d’une correction filiale. Le dernier cas d’erreur théologique d’un pape fut celui de Jean XXII (1316-1334) lorsqu’il enseigna sa théorie selon laquelle les saints ne jouiraient de la vision béatifique qu’après le Jugement dernier lors de la seconde venue du Christ. Mgr Athanasius Schneider note que le traitement de ce cas particulier à cette époque était le suivant : il y avait des remontrances publiques (Université de Paris, roi Philippe VI de France), une réfutation des fausses théories papales faites à travers des publications théologiques et une correction fraternelle, au nom du cardinal Jacques Fournier, qui devint finalement son successeur en tant que pape Benoît XII (1334-1342). »[9]

Et enfin, à notre époque, les commentaires et opinions sur les vaccins ou le changement climatique ne constituent pas un enseignement de l’Église et ne sont pas moralement contraignants pour les fidèles chrétiens car ils échappent à la compétence ecclésiale.[10]

Le pape ne peut pas commettre d’hérésie lorsqu’il parle ex cathedra, c’est un dogme de foi. Cependant, dans son enseignement en dehors des déclarations ex cathedra, il peut commettre des ambiguïtés doctrinales, des erreurs et même des hérésies. Et puisque le pape n’est pas identique à l’Église entière, l’Église est plus forte qu’un seul pape égaré ou hérétique. Dans un tel cas, il faut le corriger respectueusement (en évitant la colère purement humaine et les propos irrespectueux), lui résister comme on résisterait à un mauvais père de famille. Pourtant, les membres d’une famille ne peuvent pas déclarer leur mauvais père déchu de la paternité. Ils peuvent le corriger, refuser de lui obéir, se séparer de lui, mais ils ne peuvent pas le déclarer destitué. —Mgr Athanasius Schneider, 19 septembre 2023 ; onepeterfive.com

Alors que certains s’opposent à l’affirmation selon laquelle un pape peut être hérétique,[11] le Catéchisme indique clairement qu’un pape peut commettre certaines erreurs faillibles en dehors des actes ex cathedra qui peuvent nécessiter une correction filiale de la part de ceux chargés de l’interprétation de la Parole de Dieu.

La tâche d’interpréter authentiquement la Parole de Dieu a été confiée uniquement au Magistère de l’Église, c’est-à-dire au Pape et aux évêques en communion avec lui. —CEC, 100

Mais les néo-ultramontanistes insisteront sur le fait que les évêques doivent se soumettre à tout ce que dit le Pontife – même lorsque cela pose des problèmes théologiques. Ils citeront le pape Léon XIII, qui écrivait :

C’est pourquoi il appartient au Pape de juger avec autorité ce que contiennent les oracles sacrés, ainsi que les doctrines qui sont en harmonie et celles qui sont en désaccord avec elles ; et aussi, pour la même raison, pour montrer quelles choses doivent être acceptées comme justes et lesquelles doivent être rejetées comme sans valeur ; ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter de faire pour atteindre le salut éternel. Car autrement, il n’y aurait pas d’interprète sûr des commandements de Dieu, ni de guide sûr montrant à l’homme la manière dont il doit vivre. —Sapientiae Christianae, n. 24

Cela signifie qu’un pape peut « juger avec autorité » (c’est-à-dire définitivement) et qu’une telle tâche « lui appartient ». Mais cela ne veut pas dire qu’il le fait toujours. En tant que tel, nous avons l’exemple où Paul a corrigé Pierre en face pour son comportement hypocrite dans ses incongruités pastorales entre les Juifs et les Gentils. Même si Léon XIII dit qu’un pape peut montrer « ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter de faire », cela ne veut évidemment pas dire qu’un pape le fait toujours lui-même :

Et quand Céphas [Pierre] est venu à Antioche, je lui résistai en face parce qu’il avait clairement tort. (Galates 2,11)

Le Pierre de l’après-Pentecôte… est ce même Pierre qui, par peur des Juifs, a démenti sa liberté chrétienne (Galates 2, 11-14) ; il est à la fois un rocher et une pierre d’achoppement. Et n’a-t-il pas été ainsi, tout au long de l’histoire de l’Église, que le Pape, successeur de Pierre, a été à la fois Pétra et Skandalon, à la fois le rocher de Dieu et la pierre d’achoppement ? —PAPE BENOÎT XIV, de Das neue Volk Gottes, p. 80.

Suivre le Magistère Authentique

Selon la Constitution dogmatique de l’Église, Lumen Gentium :

Cette soumission religieuse d’esprit et de volonté doit se manifester d’une manière particulière au magistère authentique du Pontife Romain, même lorsqu’il ne parle pas ex cathedra… —n. 25, vatican.va

Notez le mot authentique. Il vient du latin Authenticum, qui signifie « faisant autorité ». Ainsi, un enseignement appartient au « magistère authentique » s’il a été enseigné avec autorité.

Dans de nombreux messages de voyants du monde entier, Notre-Dame nous a avertis de rester fidèles au « véritable magistère » de l’Église :

Quoi qu’il arrive, ne vous écartez pas des enseignements du véritable Magistère de l’Église de Mon Jésus. —Notre-Dame à Pedro Regis, le 3 février 2022

Mes enfants, priez pour l’Église et pour les saints prêtres afin qu’ils restent toujours fidèles au véritable Magistère de la foi. —Notre-Dame à Gisella Cardia, le 3 février 2022

Enfants, priez pour que le véritable Magistère de l’Église ne soit pas perdu. —Notre-Dame de Zaro à Angèle, 8 juillet 2023

Ce qui constitue le « vrai » ou « authentique » magistère d’un pape ou des évêques, c’est lorsqu’ils transmettent ce qui leur a déjà été transmis et qui est conforme au « dépôt de la foi ».[12] Comme le Christ l’a ordonné à ses apôtres. avant Son ascension :

Allez donc et faites de toutes les nations des disciples… apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. (Mt 28, 19-20)

Ils doivent enseigner les commandements du Christ, et non les leurs. Vatican I a affirmé que « le Saint-Esprit a été promis aux successeurs de Pierre, non pour qu’ils puissent, par sa révélation, faire connaître quelque nouvelle doctrine, mais pour que, par son aide, ils puissent garder religieusement et exposer fidèlement la révélation ou le dépôt de foi transmise par les apôtres. »[13] Et ainsi…

Le pape n’est pas un souverain absolu dont les pensées et les désirs font loi. Au contraire, le ministère du pape est le garant de l’obéissance au Christ et à sa parole. —PAPE BENOÎT XVI, Homélie du 8 mai 2005 ; Union-Tribune de San Diego

Même les papes ne peuvent pas « développer une doctrine » qui s’écarte de la Tradition sacrée.[14]

Toute expression de doctrine ou de pratique non conforme à la Révélation divine, contenue dans les Saintes Écritures et dans la Tradition de l’Église, ne peut constituer un exercice authentique du ministère apostolique ou pétrinien et doit être rejetée par les fidèles. (Cardinal Raymond Burke, ancien membre de la Signature apostolique, la plus haute autorité judiciaire de l’Église ; 19 avril 2018 ; ncronline.org

Alors que certains soutiennent qu’aucun pape n’est mort hérétique (et même les cas cités ci-dessus d’Honorious et de Jean XXII ne fournissent sans doute pas cette preuve[15]), le problème en question n’est pas celui d’une hérésie mais d’un apparent échec tragique de la logique et une prudence pastorale qui peut faire scandale et qui fait scandale. Même si la Fiducia Supplicans dit qu’un prêtre ne peut pas bénir « l’union », bénir le couple revient en fait à reconnaître ce qui fait d’eux un couple : leur union sexuelle. Et c’est ce que soutiennent de nombreux membres du clergé :

…ils peuvent recevoir la bénédiction pour leur croissance dans la grâce et pour le succès de leurs efforts moraux et de leurs prochains pas dans la bonne direction, mais pas en couple à cause de l’incompréhension et de l’impossibilité d’une telle bénédiction. —Mgr Marian Eleganti, 20 décembre 2023 ; lifesitenews.com de kath.net

En tant que tel, certains soutiennent que la Fiducia Supplicans n’est pas un exercice authentique du « vrai magistère » et constitue, en fait, un danger pour celui-ci.

Pour le dire brièvement, l’ambiguïté intentionnelle de Fiducia Supplicans ouvre la porte à presque toutes les subversions du mariage exigées par les ennemis de la foi, mais cette même ambiguïté signifie que le document est édenté. —P. Dwight Longnecker, 19 décembre 2023 ; dwightlongenecker.com

L’avertissement et la présence de Notre-Dame…

Dans un message adressé à Pedro Regis, qui bénéficie du soutien de son évêque, Notre-Dame aurait déclaré :

Des vents contraires éloigneront le Grand Navire du port sûr et un grand naufrage causera la mort de beaucoup de mes pauvres enfants. Donnez-moi vos mains et je vous conduirai à mon Fils Jésus. Il [le navire] partira à la dérive à cause de la faute du commandant, mais le Seigneur viendra en aide à son peuple. —1er janvier 2024

Et le message de Notre-Dame d’Akita est désormais bien en vue :

L’œuvre du diable s’infiltrera jusque dans l’Église de telle manière qu’on verra des cardinaux s’opposer à des cardinaux, des évêques contre des évêques. Les prêtres qui me vénèrent seront méprisés et combattus par leurs confrères… les églises et les autels seront saccagés ; l’Église sera pleine de ceux qui acceptent les compromis et le démon poussera de nombreux prêtres et âmes consacrées à quitter le service du Seigneur… — à Sœur Agnès Sasagawa d’Akita, Japon, 13 octobre 1973

Alors qu’une bonne partie de l’Église catholique ignore encore, voire méprise, la prophétie[18], je pense que nous devrions y prêter attention – veiller et prier (Marc 14, 38). À la fin de l’exhortation apostolique de Jean-Paul II citée plus haut, il désigne la Femme combattant le dragon, pour nous rappeler à la fois les dangers qui nous attendent et la victoire assurée.

Le dragon est « l’ancien serpent, appelé le Diable et Satan, le trompeur du monde entier » (Ap 12, 9). Le conflit est inégal : le dragon semble prévaloir, tant son arrogance est grande devant la femme sans défense et souffrante… Continuez à contempler Marie, sachant qu’elle est « maternellement présente et partageant les nombreux problèmes compliqués qui assaillent aujourd’hui le monde, la vie vies des individus, des familles et des nations » et « aide le peuple chrétien dans la lutte constante entre le bien et le mal, pour garantir qu’il « ne tombe pas » ou, s’il est tombé, qu’il « ressuscite ». —Ecclesia en Europe, n. 124, 28 juin 2003

Les enfants, que personne ne vous trompe.
Celui qui agit avec justice est juste,
tout comme il est juste.
Celui qui pèche appartient au Diable,
parce que le Diable a péché dès le début.
En effet, le Fils de Dieu s’est révélé pour détruire les œuvres du Diable…
De cette façon,
les enfants de Dieu et les enfants du Diable sont clairement indiqués ;
Celui qui n’agit pas selon la justice n’appartient à Dieu,
ni celui qui n’aime pas son frère.
(1 Jean 3, 7-10)

 

Article traduit de l’anglais.

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Notes

1. 4 janvier 2024, Zénith
2. Fiducia supplicans, Sur le sens pastoral des bénédictions Présentation
3. Mgr Charles Chaput, archevêque émérite
4. Fr. Thomas Weinandy
5. Mgr Athanase Scheider
6. cccb.ca
7. Par exemple, un évêque péruvien interdit les bénédictions pour les personnes de même sexe  lifesitenews.com ; Des prêtres espagnols lancent une pétition pour l’annulation du FS  infovaticana-com ; Les prêtres allemands rejettent FS comme contradictoire, cf. lifesitenews.com
8. cf. catholicherald.co.uk
9. Les papes ont fait et font des erreurs et ce n’est pas une surprise. L’infaillibilité est réservée ex cathedra [« depuis le siège » de Pierre, c’est-à-dire les proclamations de dogmes fondées sur la Tradition sacrée]. Aucun pape dans l’histoire de l’Église n’a jamais commis d’erreurs ex cathedra. -Tour. Joseph Iannuzzi, théologien et expert en patristique
10. Mgr Athanasius Schneider, onepeterfive.com
11. Révérend Joseph Iannuzzi, STL, S. Th.D., Newsletter, automne 2021 ; cf. Il n’y a qu’une seule barque
12. Non pas un schisme, mais évidemment une séparation d’avec ce qui n’est pas en accord avec la Sainte Tradition
13. cf. Le pape peut-il être un hérétique ?
14. Voir Qu’est-ce que le « Vrai Magistère »
15. Pasteur aeternus, Ch. 4:6
16. cf. La splendeur de la vérité qui se dévoile
17. cf. Le pape peut-il être un hérétique ?
18. « Ne méprisez pas les paroles des prophètes, mais éprouvez tout ; retenez fermement ce qui est bon… » (1 Thessaloniciens 5, 20-21)

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