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La mission de la Mère du Rédempteur

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A l’occasion de la fête de la Présentation de Jésus au Temple, nous vous proposons cette méditation, qui peut si bien s’appliquer à la fête de ce jour.

Extrait de Maria Valtorta, l’Evangile tel qu’il m’a été révélé, tome 2, chapitre 157 : « La nouvelle mission de la femme dans le discours aux disciples à Nazareth », page 527 à 529 .

[Jésus s’adresse à ses disciples et leur parle de Marie ] :

 » Vous savez ce qu’est Marie pour former les âmes à Dieu. Vous pouvez le rapporter à ceux et celles qui auront peur de ne n’avoir pas été préparés par moi à leur mission ou de l’être encore insuffisamment quand je ne serai plus avec vous. Elle, ma Mère, sera avec vous maintenant, quand je ne serai pas présent, et plus tard quand je ne serai plus au milieu de vous : Elle vous reste, et avec elle la Sagesse et toutes ses vertus. Suivez dorénavant tous ses conseils. […]

Ma Mère m’a dit : « Comme il est doux d’être la Mère du rédempteur ! » Oui, comme c’est doux, quand la créature qui vient au Rédempteur est déjà une créature de Dieu en laquelle il ne subsiste que le péché originel qui ne peut être lavé par un autre que moi. Toutes les autres petites taches des imperfections humaines, l’amour les a lavées. Mais, ma douce Mère, toi la très pure guide des âmes vers ton Fils, Etoile sainte qui les oriente, suave Maîtresse des saints, tendre nourrice des plus petits, Soin salutaire des malades, ce ne seront pas toujours des personnes qui ne refusent pas la sainteté qui viendront à toi… Mais des lèpres, des horreurs, la puanteur, un grouillement de serpents autour de choses immondes viendront ramper jusqu’à tes pieds, ô Reine du genre humain, pur te crier : « Pitié ! Viens à notre secours ! Conduis-nous à ton Fils ! » Et tu devras poser ta main, cette main pure, sus ses plaies, incliner ton regard de colombe du paradis sur des laideurs infernales, respirer la puanteur du péché, et ne pas fuit. Il te faudra au contraire serrer sur ton cœur ceux que Satan a mutilés, ces avortons, ces pourritures, les laver par tes larmes, puis me les amener… Alors tu diras : « comme il est dur d’être la Mère du Rédempteur ! » Mais tu le feras parce que tu es la Mère… Je baise et je bénis tes mains, ces mains par lesquelles viendront à moi tant de créatures dont chacune sera l’une de mes gloires. Mais, avant de l’être pour moi, elle sera une de tes gloires, Mère sainte.

Quant à vous, chères femmes disciples, suivez l’exemple de celle qui fut ma Maîtresse, […] et celle de tous ceux qui veulent se former sans la grâce et la sagesse. Suivez sa parole. C’est la mienne qui s’est faite plus douce. Il n’y a rien à y ajouter, car c’est la parole de la Mère de la Sagesse.

 

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